Le retour de de quelqu'un. [Tout le monde peut venir]

Ce mercredi matin, la personne qui regardait le haut d'un escalier de marche traditionelle japonaise, venait d'arriver en métro. Il s'était habituer à apprécier les moyens de loccomotion non-magique, et, avec l'habitude, s'était fait à ce que le temps passe lentement. Il avait déjà perdu la notion du temps de son absence, ayant préfèrer arrêter de compter après la trente-troisième minute. Pour quelqu'un qui se déplacait plus vite que la lumière (et donc l'image du temps qui passe), et donc, qui pouvait avancer le temps juste en se propulsant en se débrouillant pour que ces circuits magique s'ouvre sur ces jambes, c'était affreusement long de marcher dans la rue avec tout les gens silencieux. Quand il était partie à Okinawa, il n'avait rien pris si ce n'est les habits qui étaient sur lui lors de la décision de prendre des vacances loin de Mahora, qui lui était source problème la plupart du temps. Ouai, il avait laisser ses amis sans rien dire,s'était déconnecté de tout moyen magique et avait appris à se débrouiller pour pas crever la dalle, pas mourir de froid, sur une île près d'Okinawa. En tout cas, ca n'empêchait pas quelque curieux à venir le voir. Faut dire qu'il avait quand même une grosse reserve de mana en lui, et ca passait pas inapercu. De ce fait, le matin, il avait pris le métro, et, en cette après-midi ensoleiller, il marchait timidement les marches de l'escalier commencant au début de l'allées des cerisiers, qui était en fleur. Ses cheveux voletant au gré du vent, tandis que les pétales de cerisiers venaient fouettait avec une extrème douceur, son uniforme qui était sur lui, avec la cravate si famillière autour de son cou... il était rare que Atios avait le trac, et pourtant là, au porte de là où se trouvait tout ses amis, il doutait. Il sentait venir les remarques cinglantes et ingrate de Médusa, les coups de poing de Misoka, ou tout autre réactions varier de ses amis. Mais dans ces réactions, il en attendait quand quelque une plus que les autres, nottament celle de son deuxième meilleur amis, j'ai nommée Soma, aussi connu sous le nom de Nashi, enfin, il croyait car Atios n'avait jamais pu faire de différence entre eux. Bien entendu, il s'attendait à voir Len, quoi que... et Misoka, Satsuki, Sarisa, Iris, Misaki... bref, j'en oublie surement mais Atios voulait les revoir. Ca serait peut-être une surprise, mais prenant son souffle, il posa son pied sur la première marche pour commencer la dur escalade à pied des marches, sous les ombres des cerisiers.

- Tadaima...

[Libre à tous sauf Médusa.
- Mwahaha~ Comme si j'allais m'incruster.]

Plutôt que de passer la nuit chez elle sans dormir, Sakaime les passait chez Shiia, à veiller qu'aucun pervers ne voudrait profiter de la naïve asperge, mais à ses risques et périls. Oui, à ses risques et périls vu que lorsqu'elle faisait ça, Shiia tenait à habiller la faucheuse, qui se trouvait avec des vêtements qui n'étaient pas du tout de son genre. Aujourd'hui, Shiia avait insister pour que Sakaime porte une tenue de Maid noire et blanche qui ne rendait pas bien sur elle étant donner qu'elle n'avait aucune forme pour remplir sa tenue...

N'ayant pas envie de passer la journée avec Shiia, qui aujourd'hui aidait au Chao Bao Zi, Sakaime était parti tôt, en marchant au hasard dans l'école. Elle aurait peut-être dû passer chez elle avant pour se changer, car le destin avait décider de mener ses pas à l'allée des cerisiers. Elle marchait donc dans l'allée des cerisiers, allant tout droit, trainant des pieds et regardant tantôt le ciel, tantôt devant elle. Au bout d'un moment, elle remarqua au loin une silhouette qui étrangement lui semblait familière. En s'approchant, elle reconnut une vielle connaissance, qu'elle ne pouvait pas oublier étant donné que son corps avait longtemps gardé des marques de leur première rencontre.

"Tiens, un revenant..."

Atios ne fut pas surpris quand quelqu'un dans son dos venait de dire qu'elle avait vu un revenant. Et c'était bien ce qu'il était, dans le sens où il était un revenant à Mahora, et pas un revenant avec le bide ouvert, les tripes en décomposition, et avec une bouche en quête de cerveau. Non, lui il était en quête de... son frigo. Dans sa main, il tenait ce qui ressemblait à un sac contenant des courses. . Enfin, pas que ca. Deux paquet de six oeuf, du fromage, du pain, Coca, eau, limonade, une dizaine de fromage de toute sorte pour fondue et de quoi faire un gâteau. Quand il vu Sakaime, il sourit et dit.

- Ca te dit une fondue savoyarde? J't'invite en plus. Tiens, si tu vois plusieurs de tes amies, hésite pas à les inviter hein =) !

Atios adressait à une de ses meilleurs amie un sourire assez amical. Bien que cette dernière, sur ordre de l'un de ses ex-congénère, l'avait retarder dans sa fuite, et que Atios l'avait quasiment tuer, Atios et Sakaime était devenu amis avec le temps. Première nouvelle, depuis qu'Atios était partie, il avait mûri dans un sens quand même un peu douteux : Il était devenu assez narcissique de sa personne, et avait gagner un coté dragueur, même si Atios restait toujours le même. Ainsi donc, Atios, sûr de lui, à la limite de la provocation.

- Pas de nouvelle de Fate? Franchement, ce mec est un vrai rabougri des couilles pour s'être barrer alors qu'il avait une petite amie assez jolie, malgrès le fait qu'elle soit un peu... plate. Ah, et dire qu'il jouait à l'intelligent, quel con c'ti'l'âl! Atios venait de dire ca sur un ton serieux mais à la fois insouciant et toujours en souriant, même si lorsqu'Atios aborda la poitrine de Sakaime, il eut l'air un peu pincé.

<< Des salsfis, dommage Saka, c'est exactement ca, des salsifis muhuh >>

Atios préparait déjà à preparer un coup de faux, on est jamais trop sûr avec les faucheuses.