Here we come. Like the fool, who is infinite, who is 0, who is nothing and all, It shall begin again~~
Atios, ce matin, s'était réveiller tôt. Main dans les poches, après un court petit-déjeuner et une douche, malette sous le bras, il était parti hors de sa chambre, et s'était rendu en cours, baillant. Les conversations était nombreuse. Atios, him, was enjoying is peaceful life, lately. Mais, bien qu'il soit devenu normal, et qu'il ne se servait quasiment plus de ses pouvoir, si ce n'est les masquait aux autre, savait qu'à un moment ou à un autre, tout se briserait, tel un mirroir. Son passé était derrière lui, et avec lui, beaucoup de ses amis n'osait plus lui parler. Après tout, pourquoi apprécier quelqu'un, le respecter, sans savoir pourquoi? C'était un peut triste, mais Atios savait que l'amitié, était un lien qui passait à travers les souvenir, la mort, et les distances. Et puis, sa mémoire à lui était encore bien là, et il pouvait chérir tout ses tendre moment. Son mp3 afficher "Kimi no Kioku", et d'un air serein, avancer sur l'allée des cerisier. Il était déjà l'heure du dîner. Son bentô était mal fait, puisqu'il n'avait pas le luxe d'avoir une petite amie qui, le matin, le ferait tendrement en mettant ses sentiments dedans. Assis sur les marches, le vent dans ses cheveux, et carressant son visage, la douce voix de la chanteuse de l'Ost de Persona 3 bercait son corps. Mais soudain, quelqu'un qu'il connaissait vint troubler sa quiétude.

Le spectacle routinier des quelques feuilles verdoyantes arrachées de leurs branches par ce vent d'été qui les faisait ensuite danser en spirale sur le bitume de l'allée : la première vision d'Iris en ouvrant les yeux. Alors que sa langue claquait dans sa mâchoire, ses poings frottaient lentement ses paupières. Il se laissait glisser de la branche du cerisier où il s'était endormi la veille, retombant sur ses pieds et étirant ses bras haut vers le soleil, déjà si élevé à cette heure. Oui, il. Le résultat de quelques expériences ratés de cette chère Chao, la mort prouve que le corps n'a pas d'importance, alors être un mâle ou une femelle, pour Iris cela revenait au même... L'heure du déjeuné, pourquoi ne pas attendre un peu avant d'aller prendre le repas ? Oui, marchons pour profiter de cette agréable brise de saison. C'est ainsi que les pas calmes et fluides de la carte Queen des Kanshu l'embarquèrent dans un tour lunatique du campus. Déjà plus d'une année et demi d'histoire ici. Tournant la tête dans un soupir lassé, ses yeux se posèrent sur un garçon, seul, en train de manger dans les escaliers. Pourquoi est-ce que ce garçon retenait son attention ? Parce qu'il l'avait déjà croisé, auparavant. Debout derrière ce fameux jeune homme, faisant basculer son corps en avant, les cheveux ébouriffés d'Iris retombèrent en avant et son visage surplomba le crane du protagoniste. Combien de chances d'être reconnu ? ...Qui s'en souci ?

- Yoh, Atios-san.

- Ohayo I... Euh.. Sumimasen, j'ai du confondre avec quelqu'un d'autre. Tu t'appelle comment? dit-il, sur un ton cachant le fait qu'il reconnaissait Iris, une des ses amies, dans ce corps de garçon... Ca l'avait rater sa transformation, et c'était plutôt perturbant de voir Iris sous une forme de garçon sans pour autant pouvoir lui dire.

**Kaze no koe hikari no tsubu madoromu kimi ni sosogu
wasurenai yasashii hohoemi kanashisa kakushita hitomi wo
negau koto tsurakutemo tachimukau yuuki kimi ni moratta
dakara yukune yume no naka mezametara mata aeruyo

Tooi kioku mune ni hime utau** raisonait hors des oreilles du lycéens (enfin je crois ?! ô_o) assis sur les marches. Atios avait eut vent des Kanshus. La première chose qu'il avait eut envie de faire, en voyant que les cartes de tarots et leurs rangs avait était mélanger, c'éttait de crier aux scandale. En parlant de ca, Atios sortie un deck de carte de Tarot, et pris la première carte dans l'ordre des arcanes majeurs dans ses deux doigt.

- La carte 0. Le fou, qui n'est rien, mais qui peut-être plus grand que tout, dont les possibilitées sont infinis. C'est la seule que j'arrive à tirer de mes cartes de Tarot... Je dois vraiment n'avoir aucune chance, car elle reprèsente le doute. M'enfin, c'est mieux que si je tirai l'arcane de la mort, non? lui dit-il, en souriant en rengeant la carte, avant de battre le jeux de tarot.

Redressant la tête et fixant le ciel, coloré d'un bleu pâlit et parsemé de nuages blancs poussés par la brise, les seuls mots d'Iris furent lâchés aussi forts que clairement mais pourtant, ils semblaient être tout comme ces nuage, poussés par un lent et long soupir.

- Selon moi, c'est une bonne carte... Mais je ne crois pas aux jeux et à la bonne aventure.

Se décalant et posant son derrière à côté du revenant, il plaça ses mains en arrière et bascula calmement, de nouveau le visage vers l'étendu de bleu infini, loin d'être beau cela en était irritant, frustrant. Même si Atios avait changé de ton en annonçant qu'il ne l'avait finalement pas reconnu, le rouquin ne doutait pas une seconde de cela : toute personne ne l'ayant qu'un tout petit peu fréquenté le reconnaîtrait, sa voix, ses expressions et ses mimiques étaient les mêmes, il n'y avait donc rien d'illogique à être capable de comprendre qui était ce minuscule garçon juste en écoutant quelques mots de sa part.

- Je n'avait pas le souvenir que de tels choses t'intéressaient ou t'amusaient. Dit-il en fixant le jeu de carte qui ne cessait de remuer et de se mélanger sous les mains d'Atios qui semblait serein. Boku wa Iris Backer desu, pyon. Pourquoi avait-il dit son nom, s'il savait que cela était inutile ? Peut-être pour ne pas brisé une quelconque morale, ou peut-être était-ce juste une réaction, sur le moment.

Atios arrêta de battre ses cartes de tarot et s'arrêta. Aucune des 22 arcanes majeur n'était dans l'ordre. Atios en retira une et la retourna. C'était encore le fou. Atios sourit. Il pouvait les battres autant qu'il le voulait, il ne tomberait que sur cette arcane là. Atios s'amusa à les ranger encore une fois dans l'ordre puis dans son sac. Il soupira quand Iris parla de la vérasciter et sa foi en ce genre de pratique.

- Après tout, pourquoi la divination grâce au tarot serait fausse si tout les élèves du collège on vu des phénomène anormaux? D'ailleurs, je songe à crée une sorte de cabinet là dessus, pour enquêter sur ces phénomène. Comme le Kokiri-san, Cupid-san, Orikiri-sama. Selon mes livres sur le paranormal, ce ne sont que des déformations d'un rituel pour appellez un esprit. Mais ca m'étonnerai que des novices puisse réussir à invoquer des esprits. Mais il y à tout de même des phénomènes étrange non? Peut-être que je devrai m'éloigner de ce genre de chose. dit-il, sur un ton presque amusé de ce genre de chose. Atios, se limitait au savoir des mortels quant à la magie. Bien qu'il savait plus de chose là dessus que beaucoup de personne, il était determiné à enquêter comme un humain sur ce genre de chose, comme un passe temps, les jours où son baito ne l'occupait pas.

**hakanaku tayutau sekai wo kimi no te de mamottakara
imawa tada tsubasa wo tatande yukkuri nemurinasai
eien no yasuragi ni tsutsumarete love through all eternity
yasashiku mimamoru watashi no kono te de nemurinasai
waratteta naiteta okotteta kimi no koto oboeteiru
wasurenai itsumademo kesshite until my life is exhausted**

- Néanmoins je ne comprend pas pourquoi tu as changer de sexe. Tu était une fille dans mes souvenirs. Et même une plutôt jolie. Tu as fais de la chiurgie estéthique ? dit-il sur un ton innocament surpris.

La tête du rouquin bascula en avant, le menton collé à son torse, ses cheveux en pétard créaient une ombre qui couvrait une grande partie de son visage et donc, de l'air emmerdé qu'il affichait juste à ce moment-là. Pourquoi les gens restent coincés là-dessus, I-kun ou I-chan, c'était la même chose non ? Pour la personne au centre de ce problème oui, mais visiblement pas pour les autres. Posant ses mains sur ses genoux, il redressa son crane et se tourna vers Atios qui malgré lui, semblait ambiance de calme plat, cela faisait une éternité qu'Iris n'avait plus été victime d'une telle impression, plus depuis que Rikuo avait rencontré Satsuki en fait. Était-il sérieux quand il parlait de ce cabinet, l'idée semblait amusante mais une fois de plus, Iris la regardait de haut... Mais au fond, les esprits ça n'était pas trop son fort, se fighter avec eux ça n'avait rien de drôle, ils ne pissaient pas le sangs, ça ne se mange pas à la fin du combat, rien de vraiment barbare donc... Et la tactique, ça n'est pas encore son fort.

- Je m'y connais pas vraiment, ou plus clairement, rien ne m'attire dans ce genre de plans. Comme on dit, chacun son truc... Pour ce qui est de mon corps, les commentaires sont à laisser à cette Chao Lingshen, de 3A. C'est si différent que ça... ? Marmona-t-il en faisait craquer chacun de ses dix doigts. Mais les derniers mots étaient plus des pensées parlées qu'une réelle question.

- J'imagine que tu as surement du croiser d'anciennes connaissances, pyon ?

Atios remarqua l'air d'Iris. Ou plutôt d'I-kun, puisque pour Atios, Iris n'était nul autre qu'une fille. Mais il savait qu'à l'intérieur du vilain petit canard qui composait l'enveloppe Charnelle d'I-kun, se cachait Iris. Cette vision le calma un peu intérieurement, car Atios était toujours sous le choc, même s'il ne le montrer pas. Atios soupira. Cette Chao Lingshen n'avait pas de goût! Atios soupirait alors qu'il tirait la carte du Fou, pour la troisième fois après avoir battu le jeux. Néanmoins, Atios fixa dans les yeux I-kun, et finalement, Atios lui sourit. Après tout, qu'importe l'extérieur, à l'intérieur tu est toujours la même. Dit-il, toujours en lui faisant un scincère sourire. Quant au cabinet, ce n'est qu'une idée. J'ai même pas de matos pour, ni de thune! Mais j'aime bien les histoires de fantôme. Et puis, exorciser des fantomes peut-être excitant! Je ne sais pas bien le faire... mais ce doit être comme ca : Rin, Pyou, Tou, Sha, Kai, Jin, Retsu, Zai, Zen! s'était-il mis à dire, après avoir coller son index et son majeur, et d'avoir replier les deux dernier doigts de la mains, laissant le pouce légèrement ecarter du majeur et de l'index, en visant le vide avec son doigt. Ca c'était la façon "Prêtresse japonaise", mais celle des moines boudhiste me fait rire. Réciter un mantra sans rire est à mes yeux, trop dur. Enfin, quant à ton corps, c'est totalement différent. Peut-être est-ce parce que je suis un garçon, mais je te préferais en fille, en plus c'est vachement perturbant! Cette Chao Lingshen ne devrait pas avoir le droit de toucher à ton corps comme elle le fait... sinon, non, tu est la première que je rencontre depuis quelque mois. Peut-être le destin fait que nous nous evitions, mais il semblerait que ce dernier ai decider de nous réunir...

[HJ: Nee, a changé les apparences d'Iris. I-kun c'est Kidd-kun maintenant. *SBAAF*]

I-kun avait regardé Atios du début à la fin, alors les prêtresses japonaises exorcisaient réellement les mauvais esprits de cette manière, en agitant leurs doigts et en criant une foule de petits mots !? Ça n'était vraiment pas la manière dont Iris aimait régler un problème. Cogner son adversaire jusqu'à ce que son sang s'écoule par la bouche et le nez, voilà une des visions qu'Iris aime dans un combat. Bien entendu, un combat où l'on ne se fait pas laminer en échange des coups portés, ça n'est pas drôle. C'est pour cela que jamais Iris ne pourra être attiré par les esprits, du moins pour le moment. Néanmoins, tous ces bidouilles et bidules semblaient amusant à regarder.

- Omoshiroi... Mais, penser que des gens peuvent faire ça sérieusement, c'est sans doute ça qui me fait le plus rire.

Le commentaire sur Chao intrigua tout de même l'asymétrique qui se mit à tripoter une mèche de ses cheveux touchée par une bande blanche. Déjà, en quoi le fait qu'Atios soit un garçon perturberai son jugement ? Après tout, l'orientation sexuelle d'Iris est Vide alors, il ne peut pas comprendre ce genre de détail. Mais plus que ça, ce fut le passage sur le "pas le droit" qui le laissa un tontiné sous le choque.

- Pourquoi n'en aurait-elle pas le droit ? Lâchant sa mèche et fixant sa propre mais avant de la reposer sur les dalles des escaliers où ils étaient assis depuis tout à l'heure. Je suis la première personne que tu rencontres depuis ton arrivée, hein ? Asse étonnant je trouve, j'aurais pensé que tu aurais déjà parlé à Lenny ou Misoka. Au son du déjà très célèbre surnom de Len, les yeux d'Iris se fronçaient légèrement. Réflexe, sans doutes.

[ mon sera Rp naze, j'ai la flemme ô_____o]

Atios sentait que Iris ne comprenait que c'était encore très doux comme méthode, en même temps, on ne pouvait cogner contre un esprit! Bah oui, esprit égale mort, mort égale plus physique (ou alors on apelle ca un monstre...) et plus physique était égale à intuable physiquement, donc, seul les sorts de banissement marchait contre les fantômes. Iris-chan préférait surement frapper jusqu'à ce qu'une marre de sang se forme et ce que le problème meurt.. Néanmoins, penser qu'un esprit était innofensif était une grave erreur. Au fur et à mesure qu'un esprit restait seul, pendant des années, retenue sur la terre, et encore plus si la fin de la vie de l'esprit était tragique, il n'était pas rare que l'esprit devienne mauvais et dangeureux pour un être humain et son entourage. Certain esprit devenait même parfois des monstres, ou tuer des gens, les maudissaient, ou pire encore. Non, même pour quelqu'un qui à un grand pouvoir magique, un esprit pouvait être dangeureux. Il existe une légende vrai que la rancoeur humaine se cristalisait à certain endroit. Et ceux qui l'absorbait recevait des grands pouvoir, mais était posséder par toute la rancoeur qui avait donner naissance à ce pouvoir. Ce phénomène était accentuée par les mauvais esprits, qui étaient génèralement attirer par ce genre de cristal. Len en avait déjà absorber un et était devenu beaucoup plus fort en très peu de temps, mais fut perverti pendant un bon moment. Atios pria une fois de plus pour que ce genre d'objet maléfique ne tombe pas entre de mauvaise mains. Les élèves de Mahora avait tous eut plus ou moins un Dark mode comme ils l'appellaient. Atios aussi en avait eut un, mais il en avait eut raison et savait contrôler ce genre de chose, ce qui n'était pas le cas de tous. Les meurtres de canibalisme était courant ici, preuve des nombreux passage des élève sous Dark Mode. La magie, le pouvoir, attisait les risques de passer sous cette forme ; Hors, Mahora était un centre magique énorme, la puisssance magique qui était ici était énorme! Les élèves étaient forcément sous l'influence de la magie s'émanant de certains élèves, tel qu'Iris, Len, Médusa et d'autre. Cela pourrait devenir un problème si les meurtres commencaient à se multiplier.

- Un grand pouvoir implique de grande responsabilitées... murmura t-il en se remémorant ses propres meurtres. Il s'excusait en lui-même pour l'avoir fait. Atios avait fait d'horrible de chose, lui aussi, mais c'était fini, et il ferait de son mieux pour empêcher ce genre de crime de continuer et de se multiplier. M'enfin, Atios entendit et sorti des ses pensées une question de Iris :

- Tu sais, c'est TON corps, tu en fais donc ce que tu veux, et toi seul, et uniquement toi seul à le droit d'en faire ce que tu veux.

- Les esprits hein ? Non, moi je ne peux dévorer que les âme... La tête blottit contre ses bras, le faux garçon semblait légèrement dépressif. Encore une fois, le/la voilà face à son incapacité, devenir quelqu'un de puissant n'est pas simplement faire preuve de force brute, il/elle le savait. Les Harpies ont le pouvoir de ravir les âmes, mais avec pouvoir actuel, Iris ne pourrait pas vaincre un esprit ayant baigner dans sa solitude et ses regrets asse longtemps pour s'en prendre aux êtres humains.

Le murmure d'Atios le/la fit écarquiller les yeux alors que sa tête reposait encore sur ses bras. Relevant le crane d'un coup, certaine de ses mèches furent soulevée par le mouvement et retombèrent sur son front. "Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités" ce genre de phrases, ces morales de grands chemins... Ça ne voulait strictement rien dire, aux yeux du monstre, un grand pouvoir implique d'en faire ce que l'on en veut. Mais aujourd'hui, est-ce que les choses étaient différentes, est-ce que le regret est contagieux ?

- Mon corps est un sujet d'étude intéressant : un organisme ayant besoin de chaire et de sang humain. Ça n'est pas par sadisme que Chao m'examine ou expérimente ses divers produits et sorts...

Une légère fumée noirâtre s'échappant de la veste de la Harpies, donnant l'impression d'être crachée par son écharpe, les trois rayures blanches sur le coin de son crane n'étaient plus là. Okaeri, Iris femelle. À la prochaine, Iris mâle. Une fois encore, elle n'avait pas remarqué que son corps venait de changer, puisque ces transformations sont sans douleurs. L'estomac de la créature venait de hurler à la famine, c'était vraiment l'heure du déjeuné, relevant les yeux et fixant un groupe d'étudiantes, elle leva le regard au ciel. "Non, les regrets, je n'en veux pas." À quoi bon regardé ces jeunes filles ? Chacun de leurs gestes est haïssable, est sont haïssable, chaque être vivant de ce Monde mérite d'être hais.

Un esprit était aussi une pourtant. Quelque chose en lui bouillonait pourtant. Comme si quelque chose cherchait à se reveiller. Mais ce sentiment parti très vite quand Iris pensa que cette phrase ne voulait rien dire. Atios etait assez fort pour capter de pensée de la part des gens quand il le voulait, même scellée. Il était un peu triste de ce que disait en elle-même Iris. La phrase qu'Iris dit alors fit un déclic dans Atios. Ses yeux prirent les couleurs du mode reversed. La harpie, Iris-chan, changea et passa en mode fille. Atios regarda Iris en train de fixer une groupe d'étudiante, des poufs sûrement, mais qui donnait envie à Iris. Atios la regarda et dit lentement non de la tête. Atios, toujours en reversed mode plaqua Iris au sol et se mit à quatre patte au dessus d'elle et Atios n'hésita pas une seconde à l'embrasser avant de se relever et dire, toujours à croucrou sur Iris :

- T'est pas un monstre, t'est bien une fille au fond~~ J'éspère que le bonheur que je t'ai transmis te fera arrêter ce genre de penser déprimante et triste. Deplus, l'humain ressemble au cochon, si tu veux je te ferai un steack de porc au Chao Bao Zi!

hj: *Jubile comme un conard*

[EDIT: Nan, j'aime vraiment pas la faire agir en Tsundere. On change ! è_é xD]

Allongée sur le bitume, étalée et bloquée par Atios à quatre patte sur sa petite personne, la Harpie venait de se faire lamentablement rouler une galoche, comme dirait l'autre. C'était plutôt honteux de sa part, de ne pas avoir été capable de prévoir les déplacement d'Atios, mais à ce moment-là, c'était plutôt à ces collégiennes qu'elle pensait.

- Sono me...

Les couleurs plus qu'étranges se dégageant des yeux d'Atios ne la surprenait pas tant que ça, puisqu'elle restait sans bouger, l'air insensible. Elle fixait ses yeux, elle n'était pas surprise, elle était fasciné, mais pourquoi ? Visiblement le garçon avait le pouvoir de transmettre du bonheur par la bouche (non mais c'est quoi ce plan tordu ? xD), du bonheur pour exaucer un souhait. Mais Iris ne possédait aucun vœux, du moins, elle ne semblait et ne pensait pas en posséder. Mais ses yeux... Son souhait était de les posséder. L'épaule coincée par la main d'Atios, elle pouvait tout de même relever le bras, rapprochant lentement sa main du visage du Truc sans nom, elle la posa sur la joue de ce dernier, ses doigts frottant la paupière du type qui ne devait pas penser à mal.

- Si j'avais ces yeux, Ao reviendrait peut-être...

Arrêt sur image. L'expression d'Iris avait changé du tout au tout quand elle avait réaliser ce qu'elle venait de dire. Ses yeux étaient ronds et écarquillés, ils tremblaient presque. Sa bouche à demi ouverte, balbutiait quelques syllabes inaudibles. Sa main s'était détachée de la face d'Atios, elle semblait perturbée de ses propres paroles. Fronçant les sourcils, grimaçant comme elle le faisait en règle générale, le ton de sa voix semblait être redevenu "normal".

- Mo, iia. De toute façon, je n'aime que la viande saignante... Elle avait détourné le regard, tentant tant bien que mal d'éviter le regard du garçon... toujours accroupi sur elle. Dis... Qu'est-ce que t'as essayé de faire... ? Elle ne parlait pas seulement du kisu (Sa-chan, soit pas jalouse ôO xD *MÉGA-SBAAF*) mais de tout ce qui allait avec, la petite quantité bonheur qu'il lui avait filé, le plaquage, les yeux colorés...

- Quoi mes yeux ? Ouai, j'sais qu'ils sont super beau et classe! dit-il en lui souriant et en lui tirant la langue tout en lui faisant un clin d'oeil.

*au loin, une voix rauque chantant une chanson de merde : Quoi ma geule ? Qu'est-ce qu'elle à ma geule ?!*

Les couleurs des yeux d'Atios semblait inspirer le respect à la vue. "Sono me" comme disait Iris, n'était autre que la preuve qu'Atios était un gardien de l'équillibre, là pour empêcher une concentration de pouvoir pouvant causer le chaos. Atios se retourna et regarda le groupe de collègienne, qui restèrent sans voix face aux yeux d'Atios. Chaque être vivant sur terre pouvait sentir qu'Atios était là pour eux, d'une façon ou d'une autre. Après tout, son patron, "THE WORLD" n'était autre que la vonlonté de chaque forme de vie sur terre. Atios avait la facultée de transmettre le bonheur à quelqu'un par la bouche! C'était tordu, mais ca marchait... le bonheur non utiliser resterait dans le corps de la persone, la rendant euphorique jusuq'à ce qu'un souhait soit exaucable. Atios sourit aux collègienne avant de regarder de nouveau Iris, qui se mit à lui toucher les yeux pour frotter ses paupières.

- On peut pas revivre le passé, quoi qu'on fasse, Queen-chan! dit-il sur un ton comphréensif et sympathique, tout en lui souriant.

Atios, avec ses yeux, possédaient tout les attraits masculin possible. Il semblait parfait, et c'était là aussi la manifestation des gens vivant sur la planète. Tout les hommes les plus beau qui composait son pouvoir avec les autres forme de vie se reflétait en lui, Atios n'avait que le meilleur des hommes. C'était soit-disant un avantage, mais néanmoins... Atios restait lui-même, quand on le regardait, se dégageait de lui le sentiment de perfection physique, en réalité, il ne l'était pas, et encore heureux.

- Moi ? rien du tout si ce n'est te faire plaisir. Qu'attend tu de moi? Qu'elle est ton souhait ? Je suis là pour te l'exaucer. avait-il dit, son regard intense plantée dans celle qui était sous lui avec un ton, quasi surnaturel, et très sensuel. Mais à l'intérieur de lui, il rigolait qand même beaucoup.

Atios était toujours aussi présent de par sa position « pesante » sur Iris. Sa réponse était horriblement troublante pour la Harpie, lui faire plaisir, ce qu'elle attendait de lui, exaucer son souhait, ça n'était pas du charabia dans ses oreilles mais pourtant elle pataugeait là. À regarder les yeux d'Atios, comme ça : les multiples couleurs qui y défilaient les rendaient impossibles à fixer, ce "détail" n'était pas pour arranger les affaires d'Iris qui ne supporte pas être dans l'incapacité de se rattacher à une image... Fixement. Et puis ce sentiment qui se dégageait du corps de son interlocuteurs semblait plutôt agir comme une odeur sur elle, comme si cette "pseudo" perfection masculine embaumait l'air à la manière d'une bouteille de parfum que l'on aurait renversé, pourtant c'était inodore. Et pendant ce temps, la rouquine réfléchissait. Tant bien que mal, entre ce sentiment qui l'étouffait plus que légèrement, ce regard insaisissable, pis les paroles d'Atios... Son souhait, c'est à ça qu'elle réfléchissait. Elle savait que si elle en trouvait un, tout ce bordel dans sa tête prendrait fin. Mais là c'était un peu trop, ça se mélange, ça tourne, ça roule, roule, roule... Ah! Merde! Mais ce sont ses yeux qui roulent là ! De belles spirales accompagné de marmonnement digne d'une personne qui aurait le mal de mer. Son tain habituellement si pâle était en train de virer au rouge, tu m'étonnes, ça c'était la faute à l'euphorie. Ah ouai, parce qu'elle avait jamais ressentit ça de sa vie en même temps, de l'euphorie...

- Ya-Yameru...

Tendant le bras vers le visage d'Atios, elle lui pinça une joue. Trouvant là le parfait moment pour se redresser, elle poussa sur son autre bras pour enfin prendre une position assise. Elle n'était plus aussi rouge, mais ses joues restaient sur un ton rosé.

- Mon souhait... Même si c'est pas vraiment pareil...

Lui lâchant enfin la fossette, elle put alors prendre appuis sur ses deux membres pour ne pas retomber, nan mais il lui bloque quand même les jambes, j'aimerais bien vous y voir vous, à sa place ! Bref, l'air ni-saoule ni-fatiguée, visiblement à cause de tout ce remue-méninge, la voilà qui relève la tête et limite si elle colle pas son nez à celui d'Atios.

- J'en veux un troisième... Parce que j'aime bien.

Atios savait que ses mots étaient troublant. Atios avait rarement fait un transfert de bonheur, et Atios se sentait triste, vu que son prore bonheur était partie en Iris. Mais il garda son sourire. Les yeux d'Atios avait des couleur vraiment jolie, mais incroyablement dur à fixer, tant elles étaient en train défiler, comme une danse infinie. Les collégiennes voulait voir divers chose. Elles avaient toute la sensation de l'avoir sous les yeux. L'une son frère, mort... l'une, une star qui passer à la télé. Une autre encore, elle voyait le sourire de son petite-amie... et pour finir, la dernière voyait une tablette de chocolats Milka et un pot de Nuttella. On pouvait y voir tout et n'importe quoi, puisqu'Atios était une porte vers le Monde, qui était l'incarnation de la vonlonté de tous. Atios regarda Iris. Un instant, l'image fugitive d'un prénomée Ao apparut et disparu. Bientôt, Iris pinca la joue d'Atios qui fit une grimace en se mordant la langue tellement elle le pincait fort. Puis elle le repoussa et Atios se laissa tomber anrrière, allongé par terre sur les escalier. Les ombres des arbres rafraicchisait une atmosphère qui était un peu en ébullition. La cravate d'Atios s'était désserée et pendouillait vers la gauche. Atios ne bougeait plus et l'écouta dire son voeu.

- Vache, j'embrasse si bien que ca ? Remarque, tes lèvres sont un délice, Iris. dit-il en la fixant dans les yeux avec un sourire charmeur. Atios ne bougeait plus, docilement allongée contre les marches. Il était là, à la portée de Iris et de son voeu. Vasy, alors, je suis tout à toi. dit-il, alors qu'ils étaient nez-à-nez et que Iris avait pris la posititon d'Atios, que ce dernier avait prise précédament. Le chasseur avait dominer la proie et maintenant c'était l'inverse, il fallait croire. Mais Chasseur et proie aimaiennt bien ces "baiser" voler, apparament.

Un sourire fin et léger se dessina sur les lèvres de la créature, le regard amusé de la rouquine dériva du visage du locuteur pour se relever vers les branches dansantes des cerisiers. En ce début d'après-midi calme et ensoleillé, les ombres mouvementées de ces mêmes branches bougeaient sur son visage devenu si enfantin et relaxé. Laissant s'échapper un soupir semblable à un petit rire, la Harpie remua lentement la tête de droite à gauche, de gauche à droite, et ainsi de suite, comme si elle suivait une mélodie. Elle disait simplement "non". Non à quoi ? Ça on ne sait pas vraiment, après tout elle avait toujours été instable et insaisissable, pas le genre de papillon qu'on attrape avec un filet.

- ...T'es marrant.

Avait-elle lâché en posant son indexe sur le nez du jeune garçon. Se relevant toujours aussi calmement, elle repoussa du revers de ses mains les quelques mèches de sa longue chevelure orangée qui lui avaient glissé par-dessus les épaules, puis elle plaça ses deux mains dans son dos. Maintenant debout, elle recula jusqu'à ne plus être au-dessus d'Atios, lui laissant la possibilité de se relever. Cette manière délicate de se retirer ne lui ressemblait pas trop, elle qui était du genre bourrue et rentre-dedans.

- C'est une journée cool, la passe pas étalé sur des escaliers vieux. C'est le genre de jour qu'on devrait passer à boire. Et a faire la sieste...

Vieux, un tic de langage qui semblait pourtant avoir disparut avec le temps. Comme cet air si serein et cette liberté d'esprit. Donnant deux, trois tapes sur ses épaules et sa jupe dans le but de les époussetés, elle posa les poings sur les hanches, fixant le lointain, au-delà de l'allée, alors que ses épis flottaient au vent.

- Tu me payeras un sake.

Atios rigola en voyant qu'elle se défilait, pas déçu, amusé surtout. Alors que les ombres dansaient sur son visage et que la lumière du soleil tentait de percer l'épais plafond de branche et de feuille que formait les cerisiers de l'allée, la lumière, éblouissante se faufilant au travers de quelque faille à travers les feuilles qui se caréssait lentement dans une valse infinie au gré du vent, Atios tira la langue en regardant Iris, qui posait son index sur son nez. Le vent doux était une agréable brise, calme mais parfaite pour accompagner le soleil d'été qui faisait chauffer le bîtume. Raffraichissante que c'était même, ce courant d'air frais. Les élèves qui précédament étaient là, ne l'était plus : Sûrement lasser du spectacle un peu zarbi qui s'offrait à eux, et leurs estomac ronflant, elles avaient dut partir à la caféteriat. Atios était marrant selon Iris. Hum; depuis qu'il avait perdu ses pouvoirs, il était sûrement pas le plus rigolo du coins. Sentant un poids assez lourd se retirant, Atios sentit qu'il pouvait enfin quitter le sol.

Il fallait l'avoué, Iris était trop bien foutu ! Atios, alors étalait par terre, les coudes en arrière et les genous plier regardait Iris qui s'époussetait, et remettait ses mèches en place. Ce qui d'ailleurs, le fit chipoter un peu : Pour une cannibale fana de viande humaine (qui ressemble au cochon, notons-le), se retirer aussi doucement alors qu'elle était souvent cru, était vraiment bizarre ? Atios avait-il marquer un point... ? Ca lui rappellait ce Jeux-vidéo où il suffisait de parler trois fois ou deux à une même personne pour nouer des liens avec. Par exemple, au début elle te faisait vraiment pas confiance, et à la fin, elle te permettait de rentrer dans sa chambre ou filer au héros des objets très précieux lui appartenant : était-ce le cas avec Iris, qui était plus "calme" qu'avec les autres gens avec lui ?

- Hai, pas de problème pour que je me lève ; s'executa t'il en s'epousstant à son tour et en remettant sa cravate droite - Néanmoins, I-chan, je ne bois pas moi~~ Et j'ai pas le droit d'en acheter non plus, donc désolé.

Petit arrêt. Que dis-je ? Gros panneau STOP. Iris venait de se figer, poings sur les hanches, droite face au bas des escaliers. Le vent souffla lentement, une de ses fines brises d'été qui ont tout juste la force d'arraché une des petites feuilles verdoyantes que brandissent fièrement les branches de cerisiers. Un vent tout à fait différent de celui qui soufflait quelques seconde plus tôt, il souleva avec peine quelques mèches de la Harpie pour les envoyé flotté sur sa droite. Et elle, les yeux en grains de riz, quelques perles de sueur sur le front, elle se tourna vers Atios lentement. Comme un robot, à un rythme si saccadé que l'on aurait crut que le temps s'arrêtait toute les seconde et la stoppait dans son élan. Quand enfin elle fut face à lui elle leva le bras pour le pointé d'un indexe hésitant et totalement perdu, elle était désorientée à la limite j'aurais même put dire ébranlé par les mots du garçon qui ajustait encore sa cravate alors qu'elle lâchait d'une voix qui ne collait pas du tout à son état, une voix immature, surprise et choquée.

- Y'a un âge pour boire ?

Et bien non, Iris ne savait que la loi interdit l'alcool aux mineurs mais soyons francs, même si elle n'a jamais suivi les lois du monde des humains, depuis l'enfance qu'elle est placée dans un univers de vis, dans tout ce qui incarne le côté sombre de l'humanité, alcool (pour lequel elle éprouvait une terrible addiction), drogue (qu'elle n'avait jamais touché par simple non-envie), luxure (mais ça elle ne l'avait jamais comprit, la perversité lui vole au-dessus du crane sans entrer), meurtre (ça elle connait bien) et j'en passe. Alors, qu'il y ai un âge pour boire lui paraissait inimaginable et allait très certainement déclencher son hilarité, oui bientôt un rire fort, franc et enfantin allait se rependre dans l'allée, il suffisait juste qu'Atios réponde positivement à sa question.

HJ: Désolé si c'est court.

- Eto... marmona Atios, stupéfait de la réaction d'Iris.

Effectivement Atios eut du mal à réagir. Sa cravate à nouveau emportée par le vent, il regarda Iris, tel un robot, faire volte-face d'un air choquée, surprise, interloquée, yeux en grain de riz noir. Goûte de sueur, perlées sur le front. Le vent souffle, balèye ses gouttelette, tandis que les mêches ont du mal à bouger... Ce vent là, semblait quasi être un vent de surprise, mélée à celle de la somptueuse harpie qu'était Iris. Atios se demendait si Iris pouvait utiliser le fameux champs des harpies. C'était un peu comme pour les sirènes, les harpies avait une magie ancienne et divine emprunte dans leurs chant qui était déstiné à charmer les hommes attirer par le corps de rêve de ces fameuses créature. Le plus frappant était qu'Iris ne savait pas qu'il était interdis chez les humains de boire avant la majoritée. Ce fut à Atios d'avoir des yeux en grains de riz -noir, toujours-, et à la regarder bizarrement, interloqué, levant l'index comme s'il demendait la permission pour placer ce qu'il avait à dire....

- Eh ben euh... oui. En public, tu dois respecter ca.. mais quand on est en compagnie de gens qui savent pour la magie y à pas de problème. Hum... j'veux bien te payé à boire, mais ou on va, I-chan ? dit-il en la regardant d'un air plus naturel cette fois-si, avant de l'attraper par le dos pour lui faire un calin. Profitant que Iris allait rire, Atios sur le coté, se placa a genou et se mit à réfléchir. Il tenait là une occasion d'inviter Iris à boire chez lui... eh oui, Atios est devenu humain jusqu'à ce point, donc intéresser par les filles. Nee, si tu veux j'te fait tout l'alcool que tu veux dans ma chambre! C'était bien entendu plus pour qu'elle soit avec lui pour lui faire plaisir, même si les deux le motivés assez bien. Et puis d'ailleurs, Atios, tout seul dans sa chambre était vraiment seul, et triste. Tout les jours, pour seul bonjour il avait le bruit de son reveil, et son électro-ménager.

Atios ne fut pas surpris de la réaction de son amie. Elle et les règles, ca faisait deux. Son rire taunitruant percait les arbres. Atios pariait qu'on pouvait l'entendre en haut de l'Abre-Monde. Elle se tordait; autant en avant qu'en arrière, son corps tout entier semblait être parcouru de l'hilarité en ce momement même, se tenant le ventre tellement elle remuait,et Atios rigola à son tour de la réaction de son amie. Après tout, voir quelqu'un rire donnait parfois envie de rire sur le même sujet. Atios se gardait bien de lui faire une leçon sur le fait que s 'il n'y avait pas de limite, ce serait le bordel. Après tout, Atios voulait gagner des points chez Iris. Ce qui semblait ne pas être une meince affaire, sachant quel était loin d'être une fille normal. Non, c'était vrai, est-ce qu'une fille normal buverait ? Est-ce qu'une fille normal mangerait des gens ? Mais surtout, est-ce qu'une fille normal était aussi cute que pouvait l'être son amie ? Non. Mais bientôt, la voila qui prouve à ce cher Atios qu'elle était loin d'être une fille normal : Main en porte voix, sourire au lèvre, poing fermé, et levé, la voila qu'elle hurle. Atios en fut irritée, il y avait besoin de limite, parfois. Atios ne le laissa pas transparaitre. Atios n'aurait pas donné cher de leurs peau s'ils tombaient sur des Yakuzas. Génèralement, ces dernier prenaient très mal les insultes, même celles n'étant pas visé sur eux.

- Si on parlait de chose embarassante, cela ne te gênerait-il pas ? Si cette loi existe, c'est car l'alcool peut-être dangeureux sur long terme, et je n'ai pas envie d'avoir une I-chan à la peau luisante, limite suintante et au nez rouge! dit-il en lui mettant le majeur sur le front, dans une réprimande non méchante.

On ne pouvait changer la nature... alors celle d'Iris, c'était sûrement peine perdu. Atios la regarda, les bras croisée, d'un air plus sérieux. Même si on ne pouvait changer la nature, Atios devrait le faire. Oui, il s'était décider. Quitte à risquer sa couverture, il patrouillerait de nuit, réprimendant les élèves et reglant le compte des cannibale qui s'y risquerait. Lui aussi aura droit à sa chasse. Alors que les yeux du Monde venait de prendre place, Atios avait pris le regard du prédateur sadique, fier d'avoir son emplacement de jeu. Oh, biensur, Atios ne ferait rien, mais son corps tout entier éprouvait le besoin de se servir de sa magie interne. C'était comme si on le paralyzait, ligoté, depuis des semaines, sans qu'il n'ai bouger. C'était ce phénomène, en plus restreint. Oui, car Atios bougeait ,et avait quand même assez de magie libre pour émaner une aura égale à celle d'Iris.

- Mmmh. Iris, même si t'aime bien, tu pourrai ne plus manger d'élève ? C'est mal, et l'école pourrait fermer. Et puis, j'suis obligé d'empêcher quiqonque s'y risquerait, alors, je préfère te prévenir avant que je ne sois contrôler par mes employeurs et qu'il me force à blesser contre ma vonlonté... Atios semblait très triste, alors qu'il fixait l'horizon, ses mèches balleyait par cette brise.

Atios, était l'un dont le destin était prisonier. Il n'avait pas de futur tangible, immortel et sans mort, condamnée à voir la mort de ceux qui lui étaient cher, condamné à obéir contre son gré, condamner depuis le jours où il avait fait ce contrat avec Le Monde. Atios éspérait qu'Iris allait lui dire oui.

- Ah, tu as des colocataires alors si tu semble si embêter...

Atios, lui n'avait pas ce luxe; non lui, il n'avait même pas le luxe d'avoir de la visite. Seul un jours, seul toujours. Atios avait beau avoir la télé, tout ca, et même le chauffage, il faisait toujours froid dans sa chambre. Depuis qu'il était ici, sa chambre était toujours vide. Toujours vide de vie. La seule vie qu'il pouvait apporter, c'était le bruit de son existance, qui semblait si futile à l'intérieur. Il était content de ne plus avoir à faire à la magie, mais Le Monde, il le savait, allez tôt ou tard le faire apparaitre au yeux de tous sous son identité. Atios, le guardien de l'équilibre. La dernière fois, il avait tout perdu, les gens l'avait crains. Allez t'il encore faire fuir les autres ? Cette pensée lui fitt l'effet d'un sachet de glacon sur le crâne. En plus, il n'avait pas beaucoup d'argent, sachant que son baito n'était quun baito, se nourrir seul tout les jours était difficile. Allez à la cafeteriat aussi, il voulait bien se rapprocher des autres, mais les autres ne faisait génèralement pas trop deffort non plus, donc au final, même a la cafet' il se retrouvait seul. Être seul était sûrement sa pire crainte.

- Eto, j'ai pas assez d'argent pour autant de personne... et Satsuki refusera de vendre de l'alcool, en vend t'elle seuleument ? Et puis, je n'ai pas vu Soma et Nashi, je sais pas sil mange comme nous.

Atios soupira. Au final, ce soir serait comme tout les autres, il serait allongé dans la pénombre alors que les vacances d'été, était synonime pour ses voisins, il resterait là, les bras ceinturant ses genoux repliern et mp3 sur ses oreilles, à contempler la nuit depuis sa fênetre du cinquième étage des dortoirs. La Lune, si on la personifiait, n'était autre que sa seule compagne, jour après jours, sauf un, où elle n'était pas là. Et ce jour là, celle de la nouvelle lune, il était seul, totalement seul, dans la pénombre à attendre que le sommeil le perde dans des songes dont il ne se souvenait pas.

HJ: Dédicace perso pour toi Léa : J'éspère que t'est contente maintenant que t'as eut ce que tu voulais, mais va falloir que tu finisse ce topic d'une autre façon, car moi, pause.