Bien qu’il puisse changer son physique à volonté, Darek prend le plus souvent une apparence qui lui est propre, ne ressemblant ainsi à aucun être humain, ni aucun démon d’ailleurs.
Tout d’abord, ses cheveux. Bien que sa coiffure soit la chose qui change le plus souvent, plusieurs fois par jours, ces derniers prennent toujours une teinte blanche, par opposition à sa peau halée, avec quelques reflets argentés. En règle générale, ces derniers sont mi-longs et coiffés en bataille. Mais il lui arrive fréquemment de les raccourcir, ou à l’inverse les allonger et les lisser. Plus rarement, il s’amuse même à leur donner une teinte dorée. Car après tout, en tant que grand seigneur de son époque, il se doit d’exposer ses richesses d’une quelconque façon.

En descendant un peu, juste en dessous de ses fins sourcils noirs, on tombe sur des yeux bien singuliers. Difficile de définir l’expression du regard de Darek, étant donné que ses yeux sont tous deux différents, autant du point de vue de la couleur que de la forme des pupilles. L’œil droit pourrait être associé à de nombreux démons et créatures relativement dangereuses. Doté d’une fine pupille verticale, l’iris teinté de rouge sang sur l’ensemble, et d’un jaune orangé flamboyant vers le centre, il ne fait aucun doute que le globe oculaire est d’une beauté captivante, et dégage une sorte d’aura qui impose respect et humilité à quiconque l’observe. L’œil droit impressionne, voire effraie, cela ne fait aucun doute, mais cela n’est rien en comparaison de son voisin.
En effet, l’œil gauche est, lui, véritablement particulier, aucun démon ni aucune créature magique ne possède une telle chose sur toute la planète. La pupille est légèrement plus épaisse, mais toujours allongée, dans le sens horizontal toutefois. Quant à l’iris, il est d’un gris terne au centre, se dégradant peu à peu vers un jaune scintillant sur le contour. Dépourvu d’expression, évoquant le regard d’un crapaud ou d’une salamandre, cet œil inquiète, mets mal à l’aise.

L’union des deux rend le regard de Darek particulier. Chacun de ses yeux donnant une impression différente, ne semblant pas exprimer la même chose, provoquant un sentiment de malaise indescriptible. Et le sourire assuré, parfois même arrogant, voire sadique, de Darek ne fait rien pour arranger les choses. Car en effet, du haut de ses 1m90, le titan regarde le monde avec mépris.

Côté vestimentaire, l’homme passe son temps vêtu d’un manteau de fourrure rougeoyant au col blanc. Ce dernier lui arrive jusqu’en bas du dos, et se termine par du tissu déchiqueté, effiloché, brûlé… Il en est de même pour les manches, qui s’arrêtent au niveau de la moitié des avant-bras. Mais cet état plus qu’usurier, Darek n’y prête guère attention. Lorsqu’on domine les enfers, il faut s’attendre à ne pas avoir des vêtements toujours en état.
Sous ce manteau, l’individu revêt du tissu bien moins extravagant. Haut noir, moulant sa musculature, pas impressionnante mais laissant paraître une bonne condition physique, laissant ses bras à nu, le tout relié à un vieux jean sombre par une ceinture tout ce qu’il y a de plus banal. Quant au pantalon, ce dernier est tâché, délavé par endroit, et déchiré peu en dessous des genoux, laissant tout le bas de ses jambes apparent.

Des chaussures ? Darek n’en porte pas. De toute façon, aucune ne lui irait, ses pieds n’ayant rien d’humains. Ces derniers ne semblent même pas lui appartenir. D’horribles griffes grisâtres, reliées au reste du pied par deux gros orteils couverts d’une épaisse peau d’un noir de jais, accompagnés d’une troisième griffe en guise de talon, le tout relié à un mollet tout ce qui semble de plus humain. Tels sont les « pieds », semblant comme greffés artificiellement, du Régnant. Il en va de même pour ses mains d’ailleurs, à l’exception près que ses griffes sont noires et semblent n’être qu’un prolongement direct des doigts, qui eux sont d’une épaisseur normale et au nombre de cinq.



Arrogant, narcissique, méprisant, odieux, mégalomane... Tant de qualificatifs qui pourraient définir Darek, et pourtant tous bien loin de la réalité. Être le fils unique d’un puissant Magister et d’un démon de premier ordre dans la hiérarchie démoniaque, il est vrai qu’il y a de quoi se sentir supérieur. Mais nous voilà tout de même bien loin du caractère stoïque de la petite Darcy.
Domination, destruction, pouvoir… Le Régnant des enfers ne jure que par ces mots, et n’hésite pas à en faire la démonstration, qu’elle soit publique ou non. De par ce comportement, Darek peut être résumé par un simple mot : conquérant. Inhumain, assoiffé de pouvoir et de territoire, insatiable, repoussant toujours les limites de l’inhumanité dans le seul but d’atteindre le sommet, ou plutôt le rehausser afin d’être toujours plus haut, toujours plus craint.


Télépathie : Darek possède la faculté de lire dans les esprits de ceux qui l’entourent sans le moindre petit effort de concentration. Avec de l’entrainement, il apprit même à émettre des pensées qu’il peut alors communiquer à certains individus. Il apprit également à utiliser ce don pour connaître les intentions adverses, et ainsi les devancer dans leurs actions. Cependant cela lui demande une consommation d’énergie plus élevée.
De même, avec une concentration accrue, il peut lire et affecter l’inconscient et le subconscient d’une personne donnée. Une telle action entraine généralement la destruction psychique totale de la victime, réduite alors à l’état de légume.

Cependant, cette capacité a été scellée par une puissante magie en l’an 2117. Aujourd’hui, Darek serait incapable de soumettre un hamster à sa volonté, ou encore de lire dans ses pensées.

Transfiguration : La capacité de changer de nature et de forme à volonté. Un don étrange que Darek maîtrise à la perfection. Ce dernier est en effet capable de prendre l’apparence d’un être humain, d’une créature magique, d’un animal, d’un objet… N’importe quoi en réalité, la forme et la taille importent peu, tant que ce n’est ni trop grand (grand mammifère tels qu’un éléphant), ni trop petit (une fée par exemple), et que ça ne possède pas plus de quatre membres et une tête.
Cependant, lorsqu’il est sous l’effet d’un pactio, cette faculté semble perdre toutes ses restrictions.
De plus, Darek est capable de ne modifier qu’une partie de son corps, et ainsi donner une forme différente à chacun de ses membres. Par exemple, il peut très bien avoir la main droite griffue d’une Fée des glaces et la lourde et solide jambe gauche d’un Golem.
Celle faculté lui offre toutes les capacités physiques, et seulement physiques, de la créature dont il prend, partiellement ou non, la forme. Ainsi en prenant la forme d’un Golem, il deviendra plus résistant physiquement, mais possèdera toujours ses faiblesses élémentaires de base et non celles d’un Golem.
De surcroit, sa force physique n’est aucunement affectée par le changement.

Sorce (Soruche) :
Sous sa forme primaire, il s’agit d’une pierre translucide rouge-sang qui évoque trait pour trait la pierre philosophale. En réalité, ce n’est rien d’autre que du sang cristallisé de Darek lui-même. Ce dernier l’a créée pour qu’elle possède la même propriété que lui, à savoir de pouvoir prendre toute forme selon son bon désir. Tantôt épée, tantôt faux, c’est selon ses goûts du moment.
Pour qu’elle puisse se modifier, le semi-démon doit impérativement se trouver en contact avec elle. Et si jamais il venait à la lâcher, elle reprendrait automatiquement sa forme d’origine. Cette propriété en fait un objet qui ne peut-être utilisé que par son propriétaire.

Aëryhn (Eerinu) :
Il ne s’agit pas d’une arme, mais d’une humaine, une Magister pour être précis. Lorsque Darek va quelque part, elle est toujours à ses côtés, un collier autour du cou, relié à une chaine de métal que le semi-démon tire régulièrement pour la forcer à avancer plus vite. Elle ne parle pas, ne réagit pas, se contentant de fixer avec insistance un point qu’elle seule semble être capable de percevoir avec son regard vide, une expression neutre sur le visage.
Le seul moment où elle semble à peu près vivante, c’est lorsqu’elle fait ce pourquoi elle a été programmée : réaliser un pactio avec son maître lorsque celui-ci lui en donne l’ordre. Car c’est là la force de Darek, lorsque la puissance lui manque, il utilise celle de sa batterie vivante, et plusieurs fois de suite si possible, au risque de diminuer dangereusement l’énergie vitale d’Aëryhn.


Cependant, ces chiffres n’ont désormais absolument plus rien à voir avec sa résistance. En effet, au cours d’un terrible combat, Darek a subit les affres d’une terrible malédiction qui a terriblement affaibli ses pouvoirs défensifs. Malédiction lancée par Aëryhn elle-même, peu avant de subir la technique d’effondrement mental du semi-démon.


Faible n’est-il pas ? Cependant il ne faut pas être pris d’un accès de confiance pour autant, Darek a trouvé la parade. En réalité, il en a trouvé plusieurs…

Tout d’abord, la malédiction peut être levée, d’une seule et unique façon : Aëryhn doit mourir de la main d’une personne hostile à Darek. A priori, personne souhaitant se débarrasser de Darek n’irait donc s’attaquer à cette dernière, même si elle est sans défense aucune, seulement voilà, c’est là que réside la deuxième faille.
Darek utilise et abuse du pouvoir d’Aëryhn pour réaliser d’incessants Pactio, repoussant toujours les limites, l’amenant toujours plus proche de la mort, et cela n’a pas que pour effet de lui procurer une puissance fabuleuse de façon prolongée. En effet, chacun de ses Pactio avec la Magister n’a pas que pour effet d’augmenter la puissance offensive du démon, cela lui restaure également sa résistance magique durant toute la durée du Pactio.

Bien des années se sont écoulées depuis Mahora, et Dharc avait découvert depuis longtemps qui il était, quelles étaient ses possibilités, et comment les utiliser. Bien entendu, à force de combats et d’entrainement, la petite Darcy avait développé une sorte d’assurance, le tout mêlé à un désir de domination et de destruction. Il n’y avait pas eu de déclic particulier, sauf peut-être son premier Pactio qui l’avait enivré de sensations des plus délectables, mais à part ça tout s’était fait progressivement.
Le temps, le mépris accumulé envers les humains, le fait de ne trouver sa place nulle part, le désir toujours grandissant de devenir « plus » qu’un être isolé parmi tant d’autres. L’évolution s’était faite de façon étrangement naturelle. Peut-être était-ce tout simplement dans l’ordre des choses…

Les démons d’un côté, les magisters de l’autre, les humains ailleurs, un système dans lequel Dharc n’avait pas sa place. L’être unique prit alors la décision de changer le système, d’en prendre le contrôle, de le modifier à sa guise, et de se créer une place, à lui ainsi qu’à tout ceux qui n’avaient nulle part où se situer dans ce monde dont le conventionnalisme lui donnait envie de vomir.
Usant et abusant des ses dons, de ses connaissances ainsi que de la puissance de son père, s’entourant d’êtres qui eux non plus n’avaient pas leur place en ce monde, soumettant ceux dont elle avait besoin à sa volonté, Darcy grimpa les échelons, se créa une armée, et alla jusqu’à attaquer la source même des forces du mal, en l’an 2100.
De nombreux êtres périrent, Darcy survécu, et prit le contrôle des enfers. De là, elle changea d’apparence et reprit le nom de Darek, nom que la créature prenait lorsqu’elle avait une apparence masculine.

C’est ainsi que la fille qui n’avait sa place nulle part devint le Régnant du monde des ténèbres. Mais cela ne suffisait pas au nouveau conquérant.

La première action de Darek ? Rompre l’équilibre entre le bien et le mal. « Faites ce que vous voulez », un ordre simple à suivre qui, donné à des milliers de créatures démoniaques, plongea la planète dans un chaos infernal.
Meurtres, massacres, guerres, génocides, tortures, viols… toutes les pires atrocités furent commises, et bien d’autres encore. Les décors de la Terre furent vite réduits à un amas de décombres souillés de sang au milieu des flammes.

Bien entendu, tout le monde ne se laissa pas faire. Et certains des ennemis de Darek restèrent à jamais gravés dans les mémoires.

Le premier opposant du Régnant à avoir marqué les esprits fût Aëryhn elle-même, une Magister spécialisée dans les charmes de longue durée. Le combat fit rage, les hommes de Darek périrent par dizaines, mais ce dernier resta debout. Voyant qu’elle ne vaincrait pas, Aëryhn fit l’ultime sacrifice de lancer un dernier sort au lieu de fuir son adversaire, espérant que d’autres suivraient, et agissant pour leur faciliter la tâche…
Une terrible malédiction, voilà ce qui frappa l’hybride de plein fouet. Un sort très puissant qui condamna les défenses magiques de Darek à rester faible, et ce tant qu’Aëryhn ne serait pas tuée de la main d’une personne hostile au Régnant. Le monstre ne pourrait donc pas la tuer lui-même, au risque de se condamner lui-même à subir de lourds dégâts au moindre sort toute son existence.

Cette malédiction ayant épuisé ce qu’il restait d’énergie à Aëryhn, celle-ci perdit connaissance. Lorsqu’elle ouvrit les yeux à nouveau, elle n’était même plus consciente d’exister. Darek avait détruit toute sa personnalité durant son sommeil.
Par la suite, il décida de tourner la malédiction de la Magister à son avantage. En effet, comme elle était la source d’une de ses faiblesses, aucun de ses adversaires n’oserait lever la main sur elle. L’hybride fit donc d’elle une arme, une réserve de puissance, une vulgaire batterie qu’il pourrait vider de son courant quand ça lui chanterait, à l’aide d’un Pactio.
Avec le temps, le semi-démon se rendit même compte que réaliser un Pactio avec elle neutralisait temporairement la malédiction, sans doute parce que celle-ci fonctionnait par un lien de mana quelconque.

Depuis ce jour, on ne revit plus Darek sans Aëryhn à ses côtés.

Année 2117, un nouvel opposant se lance à l’assaut. Il n’est pas particulièrement pour les forces du bien, mais le Régnant est controversé de partout, jusque dans ses propres rangs. En effet, si tout le monde se met à tuer tout le monde et à tout détruire, il ne reste plus grand-chose à manger au final…
C’est l’une des raisons qui a poussé l’un des fiers membres de la récente lignée des Hopper-Rose à s’attaquer à Darek et son armée. Là encore le combat fût violent, et entraina la mort de nombreuses personnes. Le jeune garçon était d’une puissance faramineuse, mais les métamorphoses et le don de télépathie du Régnant, couplés avec les Pactio répétés qu’il faisait avec Aëryhn, faisaient également leurs effets.
L’hybride était aux anges, il n’avait pas eut l’occasion d’écraser un être aussi puissant depuis la Magister qui l’accompagnait. L’être en face de lui était vraiment doué au combat, entrainé par les membres de sa lignée, prodige de sa famille, il avait toutes les qualités du parfait combattant. Darek avait déjà prévu, une fois qu’il l’aurait vaincu, de détruire son esprit, comme il l’avait fait à Aëryhn, et d’en faire son garde du corps personnel. Une machine à tuer parfaite soumise à sa seule volonté.

Cependant, les choses ne tournèrent pas comme le Régnant l’avait prévu. Alors qu’il pensait dominer, son adversaire esquiva le coup censé mettre fin au combat, et posa la paume de sa main sur la nuque du semi-démon…

Un sceau, un terrible sceau, impossible à retirer, fût tracé sur sa nuque, la marquant à vif jusqu’à l’os, par le descendant Hopper-Rose. L’adversaire annonça alors au Régnant la terrible sentence qui venait de lui être infligée : plus jamais il ne pourrait utiliser ses dons télépathiques.
Lui, le grand Darek, le Régnant, le destructeur d’esprits, était désormais réduit à l’état d’un simple demi-démon tout juste capable de changer de forme pour combattre. Scellé par un gamin, brisé dans son égo, le monstre prit la fuite. Il passa les années suivantes à se terrer dans les tréfonds de l’enfer, sur son trône, protégé par de puissants démons regroupés par centaines.

Quatre années passèrent, quatre longues années durant lesquelles Darek fit amener des Magister à ses pieds pour se faire torturer afin qu’ils lui révèlent la façon de lever ce sceau. Mais il semblait que le verdict était sans appel : tous disaient, peu avant que le Régnant ne les tue sous l’effet de la colère, que la chose était irréversible.

Irréversible ? Peut-être pas, pas si on savait comment s’y prendre. Bien sûr, le sceau ne pouvait être enlevé. Mais il était toujours possible de s’arranger pour qu’il n’ait jamais été posé…
Lorsqu’il étudiait à Mahora, il avait rencontré des personnes qui avaient remonté le temps, pourquoi pas lui ? Le seul problème qui lui restait à résoudre était le choix de l’époque. En effet, il ne pouvait pas se permettre d’aller n’importe quand. Les Hopper-Rose étaient une puissante lignée, et il n’était désormais qu’un changeur de forme, puissant certes, mais pas autant que s’il n’avait pas ce maudit sceau…
L’idéal aurait été d’aller à l’époque où celui qui lui avait fait ça n’était qu’un gamin, cependant à une telle époque, c’était un gamin protégé par de puissants parents. Et il en était de même pour toutes les générations de la lignée.

Il ne lui restait donc plus qu’une solution. La source, l’origine de la lignée : Médusa Hopper-Rose. Si Darek parvenait à mettre fin à ses jours, toute la lignée disparaîtrait de son époque et le sceau n’existerait jamais. Mais il fallait l’affronter jeune de préférence, non pas que le Régnant la considérait comme une menace, mais il estimait qu’il valait mieux que la besogne se fasse vite, afin de retrouver ses pouvoirs le plus rapidement possible et sans trop d’effort.

Pressé par le temps, car la rébellion se faisait de plus en plus violente, Darek ne chercha pas à se renseigner sur l’enfance de Médusa et décida de se rendre à la première époque où il saurait la retrouver : année 2008, à Mahora.
Le monstre fit amener quantité de Magister par ses hommes, gardant ceux qui étaient le plus à même d’être capable de le faire voyager, tuant tous les autres. Il fit tout d’abord envoyer Aëryhn dans la grande cour, car il n’allait tout de même pas combattre avec la malédiction en plus du sceau, le tout en se privant des Pactios à volonté !
Puis, il força les Magister à user de leurs dernières ressources pour l’envoyer quelques minutes avant l’heure d’arrivée d’Aëryhn. Un tel stratagème lui permettait d’arriver peu avant son objet pour le récupérer, de l’avoir juste à temps pour combattre, et surtout de s’assurer que son esclave lui serait bien envoyé. Car depuis qu’il ne lisait plus dans les pensées, il doutait de la loyauté de ses hommes.

Année 2008, Kantô, Japon. Un très grand homme à l’apparence bien singulière, et aux traits pas tout à fait humains à bien y regarder, apparaît de nulle part dans l’entrée d’une école et s’avance d’un pas assuré vers la grande cour…