première rencontre depuis longtemps [libre]

Linsey se tennait sur l'arbre monde a environ minuit , vétu de son uniforme Il s'autait entre les branches afin d'atteindre le sommet. Il s'arreta malgré tout sur un endroit où une vue panoramique se situait. Mais malheureusement quelqu'un arrivait vers lui ce qui détournais son attention vers la silouhète. Jour de chasse ? Non heureusement . Il avait l'air de connaitre cette personne seulement ça ne lui rappelais pas grand chose. Donc il faisait comme si de rien n'était.

- Bonjour. Tu t'appels ?

C'était légitime de se poser la question.

Quel bel arbre.Si gros , si magique ... Avec un fière alure. Si les industries de papier manquaient d'arbre a couper pour faire du papier , ils avaient qu'a venir le couper lui. Ils feraient fortune , pour sur. La petit Fanny aime pas les arbres. Ni la nature. Alors bon , c'est juste un gros arbre ... À quelque part de « Spécial » . Oui , pour elle ce n'était que ça . Plutôt pathétique comme pensé , haha. Bref. Il fesait nuit , elle ne voyait pas grand chose a part certains bouts de l'écorce , certaines branches et une figure qui semblait humaine qui lui semblait toute petite d'ou elle était.Fanny n'était pas vraiment peureuse , et elle était bel et bien assez conne pour monter pour savoir c'était qui. Même si c'était probablement un parfait inconnue . Quelle le connaisse ou pas , elle voulait savoir. La curiosité est un vilain défault. D'un rythme lent , malhabilement , elle monta quelques branches plus bas que l'endroit ou était la silhouette . La petite était essoufflée , mais quand elle vit que le sol était très loin maintenant , Fanny n'ôsa même pas penser a comment redescendre de la ou même de redescendre. Fanny s'approcha de plus en plus , en rampant un peu , plus elle pouvait voir les traits de la personne. C'était un garçon , oui . Oh , zute. Il lui parle.

- Bonjour. Tu t'appels ?

Ah ? Eh ! Eh ! Bonsoir.

Elle s'aggripait beaucoup plus fort , parce que ça lui avait fait un choque , qu'il lui parle. Au bord des larmes , aussi. Elle en était devenu toute rouge.CAMOUFLONS ÇA , VITE , VITE ! L'orgueil , chères amis. L'oreguil. Faut dire qu'elle est pas vraiment une bonne stalkeuse , non plus ... Mettons encore tout cela sur le dos de la curiosité , tient.

Tiffanny ~ ! Eh eh eh. Et toi , tu t'appelles ... ? ô_o

[ HS: Si j'dérange , j'efface. XD]

HJ : Beh, je squatte aussi, les RPs à trois sont parfois plus dynamiques... Mais virez-moi si je dérange. Personnage utilisé : Sacchan AKHTS, perso reality.

DJ

Hii... Hoe?

Au début, je crus que ces paroles en japonais qui venaient du haut de l'arbre s'adressaient à moi. Après tout, les gens, ça court pas les rues à minuit. D'ailleurs qu'est-ce que je foutais là, moi-même? J'avais été chercher de l'Internet dans la salle informatique, voilà tout. J'ai pas d'ordi portable, non, et j'ai un Youtube dont m'occuper, un blog délaissé dont personne ne s'inquiète, mais un DeviantArt aussi, même s'il devenait de plus en plus dur de scanner mes dessins... Heureusement que Mahora était bien équipé et que je trouvais quelques ressources. Même si ça me gênait toujours d'utiliser leurs ordis. Ç'aurait pu être un moyen de me faire remarquer... Et vu ma situation, c'était à éviter. Bon. Mais par ailleurs, comment avais-je fait pour rester dans la salle si tard? Eh bien, j'avais, grâce à la grande fortune, obtenu une "autorisation" d'un professeur : ou disons plutôt que lorsqu'il commençait à se faire tard et qu'il n'y avait depuis longtemps plus personne, le prof avait fait irruption dans la classe et m'avait parlé en japonais. Évidemment, je n'avais rien compris, mais force de quelques mots anglais, de "um" et de "hai", malgré le fait que je ne comprenais rien à ce qu'il me racontait, j'avais obtenu enfin qu'il me laisse tranquille. Et à présent que j'avais eu mon saoul de net après un long moment de galère à piger ces ordis japonais, quelle horreur! ...Je me décidais ENFIN à rentrer. Seulement je pressais le pas, je n'étais pas super-rassurée et en plus j'avais entendu parler en passant sous le grand arbre... Mais à présent que je commençais à percevoir une autre voix, je soufflai. Ouf, ça ne s'adressait pas à moi, c'était deux personnes...

Boudié, j'ai eu peur...

« Ah ? Eh ! Eh ! Bonsoir. »

La jeune fille rougissait. Qu'est-ce qui lui arrivait ? La seule chose que remarquais Linsey était qu'elle est seule , mignone et inofensive ... Le jour de chasse.

« Tiffanny ~ ! Eh eh eh. Et toi , tu t'appelles ... ? ô_o »

" Ha ha ha ha , si seulement elle savait.... Pauvre enfant... ".

- Linsey Ichiura , je suis ravie de vous rencontrer Tiffanny.

Il avait prit ses beaux air , gentil , agréable il parlait avec une voix douce et basse bien qu'au fond sa seule envie était de tuer. La partie deviendrait surement très interessante. " En vue de son état actuel , soixante pour cent de chance que ça ne marche pas mais j'ai eu affaire a pire , le seule problème serait que quelqu'un d'autre débarque dans ce cas je devrait rennoncer a ma proie ".

- Tu as froid ? Tu n'es pas très habillée en tout cas.

Il lui tendi sa veste et la mit sur ses épaules.

- Tien. On descend ?

Son regard partie vers le sol.

Boudié, j'ai eu peur...

" Génial de la visite "...

Hs : non vous ne dérangez pas toutes les deux ^^.

Eh...?

Merde, on parlait encore? On venait de parler... Est-ce que c'était à cause de ce que j'avais dit? Qui qui soit en haut... Ils ne pouvaient pas comprendre ce que je disais aussi non? Je causais en français... Et encore, dans un français... Bizarre, vu le patois que j'utilisais... Mais merde, ils ne faisaient pas que parler, d'ailleurs, les deux individus dans l'arbre! Ça bougeait, là-dedans, et alors que je m'étais risquée à lever une tête pas rassurée... Merde, des yeux qui brillent, là-haut! Quelqu'un qui regarde le sol! Je le distinguais bien quand même, qu'il y avait quelqu'un qui regardait le sol! Il y avait encore quelques lumières autour... Et c'est là que je pris conscience de la situation qui s'était présentée en une milliseconde.

Je suis en dessous d'une paire d'yeux qui regardent en bas. Cette personne me voit! MERDE! Vite... Courir!

Allez savoir pourquoi j'avais soudain pris peur, la personne en question était bien attentionnée si ça se trouve, on n'en sait rien... Peut-être l'ambiance qui m'entourait, peut-être mon mal de ventre causé par le stress et la peur, la peur de la nuit, peut-être parce que je pensais à Maman, qui insistait à chaque fois pour venir me chercher quand je rentrais du théâtre, même si le car du groupe nous déposait à cinq minutes seulement de la maison, elle avait peur, elle, de me voir marcher cinq minutes la nuit en ville... Oh, Maman... Merde, AKHTS, ce n'est pas le moment de pleurer! COURIR! Mais courir, je le faisais déjà, en espérant que la "chose" ou plutôt l'être dans l'arbre n'avait pas remarqué ma présence. Hey, après tout, j'étais juste restée là une seconde tout au plus, et j'avais réfléchi vite... Pour le moment, j'avais couru le long de l'arbre, et lorsque j'étais arrivée tout à fait de l'autre côté du tronc, je me collai contre l'écorce comme un fugitif rase les murs, essayant de calmer mes respirations irrégulières. Je ne suis vraiment pas endurante, moi... En tout cas, il restait à espérer qu'il ou elle ne m'avait pas remarquée... En attendant, je vomissais des paroles entre mes dents, encore toute stressée...

...Mrdeshit... Cheupeur... Chspèrequ'ymapvue... Mrdemrdemrde...

...Mrdeshit... Cheupeur... Chspèrequ'ymapvue... Mrdemrdemrde...

Elle partait ? Oui... Une fille qui court . Qui est-elle ? C'est qu'oi cette langue ? Du français ?... Mieu valait s'en assurer mais devait-il laisser sa proie ... Pour l'instant.

- Je reviens , attend-moi.

Il s'auta du haut de l'arbre et se rattrpa en générant un petit vortex cappable de le rattraper

- Forver or never , aer, aer, amplificet mammas

. Il prononcait quelques mots , discret , et son sabre arriva dans sa main. Il rattrapa l'inconnue et mit la gigantesque épée sous sa gorge.

- Peux-tu parler en bon japonnais s'il te plait ? Je parle courament français seulement je ne suis pas très fort. Je voudrais si tu le souhaite connaitre le nom de ma future victime .

Un clin d'oeil ironique , il laissa échaper quelques sons " Telepathia " , un morceau de verre arriva près de la tête de la fillette.

- Je répète ma question. Qui es-tu ?

AAAAH! AAAAH! PUTAIN! C'EST QUOI, ÇA?!

Toujours en français, je m'étais mise à hurler, sans souci d'un éventuel énervement face à cela de la part de mon agresseur. Jamais, c'était sûr et certain, je n'avais connu un moment aussi terrifiant dans ma vie. Sur l'instant, je pensais immédiatement, en voyant l'épée sous mon cou, que j'allais mourir. Mourir? Mmh... C'était peut-être pas plus mal parfois, mais des gens m'aimaient sur cette Terre, et j'avais certains engagements... Merde... NON! JE VEUX PAS MOURIR! Surtout pas d'une mort aussi douloureuse que par une lame... Quelqu'un, au secours! J'étais tellement apeurée, sur le coup, tremblante comme une feuille, les yeux fixés sur la lame et des larmes déjà sur mes joues, que je ne me rendis pas compte que par des incantations, le morceau de verre avait littéralement volé près de mon visage. Je l'avais bien vu passer, mais d'où il venait, j'avais trop peur pour m'en soucier même. C'était tant mieux pour lui, et tant mieux pour moi. Après tout, je ne connaissais pas l'existance de la magie, entre nous, et c'était mieux comme ça... Bien mieux. Même si en attendant, je me foutais de ce qui aurait pu être mieux! J'aurais voulu disparaître! Quelqu'un! La police! Avec vos fusils, vos flingues! Accourez, menacez ce type! Et après, arrêtez la terroriste que je suis si ça vous chante, ça arrivera bien un jour de toutes façons, mais bon sang, sauvez-moi de la mort!

Sacchan... AKHTS... A-kha-tês... From France... Je... Je... Je ne parle pas le japonais! Laissez-moi partir! Je vous en supplie! Je ne parle pas le japonais, moi! Je ne sais pas, je ne sais pas!

Phrase encore plus stupide sachant que je l'avais bien prononcée en japonais... Mais comment exprimer le fait que je ne connaissais que quelques mots? Impossible, en réalité... Ceci dit, je ne songeais même pas à tout ça à l'instant, tant j'avais peur... Pétrifiée, en larmes, et morte de trouille, je ne songeais même pas à me débattre, me doutant bien que ça aggraverait uniquement ma situation. Mais c'était quoi, ce bordel? Depuis quand les gens se balladent dehors avec des sabres et menacent les gens de les tuer?

Je savais bien que je n'aurais pas dû rentrer si tard, je le savais bien... Mais tout de même, là, c'est exagéré! C'est un vrai cauchemar... Je... SENSEI! LAETY-CHAN! CIVET... ESCLAVE-KUN... MINNA... J'VAIS CREVER! CRE-VER! Au secours... Quelqu'un!

Quel charmant jeune homme , dis donc. Il parle bien , etc etc. C'est agréable de savoir qu'on à pas monté pour rien , hein ? Ouais. Faut dire que ça en était presque louche , hm ... Oh , une veste ! Tient , pourquoi pas. Il faisait pas très froid mais c'est toujours agréable. « Enchanté et ... Merci ? » Sortit-elle . C'était déja moin pire , elle était moin anxieuse ... Jusqu'au moment ou il redescendit de l'arbre. Elle ne pu s'empêcher de regarder ce qui se passait en bas , surtout que ça l'avait pas l'air de super bien aller pour ce qui de la haut , semblait être une jeune fille. Fanny avait beau essayer de savoir ce qui se disait , mais rien. Que des cris . Le fait que ça soit apparement dans une autre langue n'aide pas. C'est vrai , quoi ! Elle avait de la difficulté à parler sa propre langue maternelle ! Que faire ? Le ton de la fille était un ton de désespoir , et probablement qu'elle ne pouvait rien faire pour se défendre . Fanny en avait presque pité ... Mais en même temps , elle était surprise du garçon.

« Quesque j'fais moi , fuck ? J'suis toute en haut ... Et eux , si baaaaas ~ Si baaas ... »
Puis suivit en riant nerveusement « HA HA HA HA ... Ha ha ... Ha. »

Elle prit le peu de courage qu'elle avait et commenca à descendre quelques branche fébrilement , du bout des orteilles , laissant parfois entendre des craquements qui ne l'enchantait pas tellement . « Oi . C'EST PAS UN PUTAIN D'ARBRE QUI VA ME FAIRE PEUR. » Malgres le fait qu'elle disait ça , elle tremblotait. Roh , pauvre petite ... Non. Il ne restait que quelques branches à descendre pour arriver au niveau du sol et PAFF. Elle tomba . Tomba sur une des grosses racines de l'arbre , sur le derrière.

« Ben la ... J'peux dire que j'en ai plein l'cul d'c'te foutu arbre la ! » Tout en s'essuyant , tentant de se remettre comme il faut pour ne pas qu'ils voient qu'elle est tombé , puis s'avanca près du garçon en souriant d'un énorme sourire qu'elle venait tout juste de faire apparaître sur son visage , laissant paraître presque toutes ses dents. Oui , elle voulait faire semblant de rien ... Ou elle était juste trop conne pour se rendre compte de ce qui se passait.Question mystère.

« Oi ~ Quesqu'y's'passe ? :3 »

...Tu ne sais pas...?

Les seuls mots que j'avais pu cracher dans un murmure, en japonais, pour exprimer un "Ça s'voit pas?" aussi agacé que dérouté. Hoy... C'est quoi ce bordel? Cette fille-là, elle arrive en plein milieu de la scène, elle voit un type qui menace une fille avec une espèce de grosse épée, et elle trouve le moyen de sourire et de demander "ce qui se passe"? Hey, c'est plutôt à toi qu'il faudrait demander ça, l'inconnue... "Qu'est-ce qui se passe?" Pourquoi tu souris comme ça? Pourquoi tu ne te mets pas à hurler de terreur ou d'indignation? Pourquoi ton ton ne semble même pas inquiet? C'est quoi, ce bordel... C'est donc vrai ce qu'on dit, que les étudiants japonais ont des pratiques de tarés? Et que moi, l'étudiante étrangère, je venais d'être nommée victime d'un acte odieux? Que faisait l'ordre, alors? J'allais mourir et personne ne disait rien?

...Uuuh...

Je ravalais mes larmes, essayant de ne pas trop suffoquer pour que ma gorge ne rentre pas en contact, même une milliseconde, avec la lame terrifiante. Moi qui n'étais jamais tombée dans les pommes de ma vie, j'allais mourir, et j'aurais mieux aimé ne pas en être consciente. J'avais à l'instant très mal au ventre et franchement envie de vomir, alors que tous mes muscles étaient tendus à un point où ils en étaient tremblants. Je passais du rouge au blanc, du blanc au rouge. Du moins je sentais que la température sur mes joues changeait... Je ne vais pas dire que je voyais toute ma vie défiler devant mes yeux, parce que c'était faux. Je voyais tous les gens de mon entourage, plutôt. Papa, Maman, les frères... Je ne vous reverrai jamais, et je ne vous aurai donc jamais avoué quel sale boulot je faisais au Japon? Camarades de l'armée, et mes chers amis... Je suis désolée d'avoir manqué à mon travail et d'avoir été un mauvais soldat... Mais je vous aime tous! J'aurais tellement aimé vous le dire avant de crever... Alors... Je mourrai donc agressée par un inconnu, si jeune et sans même avoir pu réaliser mon rêve de devenir dessineuse? C'était pas drôle...

(hj plus on est de fou... Les personnages jouées est Fagaria et Vivio Balibe.)

Une jeune femme se promenais quelque parts dans le Campus également, apparemment un prof. La jeune femme était accompagné de sa petite fille de 4 ans et demi qui paraissait déjà effrayer rien quand voyant l'épée sous la gorge du la petite fille plus grand qu'elle.
La jeune femme, elle, fit un sourire à tout le monde également au jeune homme qui menaçait la petite fille complètement paniquer et reconnu l'un des visages des Français arrivée ici au Japon et fini par parlez en bon Japonnais au jeune arrivant.

Tu devrait lâcher cette jeune fille, jeune homme, et ranger ton arme, elle est inoffensif comme un chaton et ne comprendra pas un mot de se que tu dit.

Avec toujours le même sourire, elle regarda l'autre jeune fille sans rien dire avant de continuer à ce focaliser sur le nouvelle arrivant sans se méfier de lui jusqu'à se préparer a sortir une de ses armes qui se trouve pour le moment sous la forme de gourmette simple, l'une avec un plaque avec graver une flèche dessus et l'autre une même plaque mais avec un T dessus donc la barre verticale était plus longue et la barre vertical était légèrement courber..

La petit fille, elle est derrière sa mère avec un sentiment de peur frottant sa gourmette qui ne fait que cacher un artefact d'apprentissage mais elle est tout à fait inoffensive également. La petit fille avait sa petit robe blanche toute mimi et ses yeux vairon fixait la petite fille menacer par l'épée comme si elle était à sa place.

Une prof et une petite fille avec des gourmettes magique cachant une autre forme, on se doute bien que ses deux personnes sont au courant de la magie se qui n'est pas le cas de la petite "menacée". La jeune femme allait devoir effacer une partis de sa mémoire pour qu'elle oublie se qui s'est passé ici. C'est brusque mais c'est mieux pour elle.

[hj : ouais daccord , mais bon après stop ! trop de monde , ça devient injouable. ]

Tu devrait lâcher cette jeune fille, jeune homme, et ranger ton arme, elle est inoffensif comme un chaton et ne comprendra pas un mot de se que tu dit.

De qu'oi elle se mellait ? Et dailleur c'est qui cette fille ? Hum... Linsey ressentait des ondes magiques autour de lui. Cette inconnue en dégagait énormement. Amusant . Mais bon autant ne pas frapper ou se battre , il avait d'autres choses a faire que de se battre avec une idiote qui fouinne partout.

- Je fait donc comme bon te semble. Mais tu sais je ne suis pas un " gentil " tu comprend donc que désormait elle est ma proie et que je suis le chasseur.

Humm..... Mieu valait prendre la fuite ou plutot jouer au chat et a la souris . Il serait la sourris pour une fois et ça ne lui déplaisait pas a condition que cette magicienne veuille bien participer. La provoc' serait la bienvenue.

- Si tu tien a ce qu'elles s'en sortent vivantes , attrape-moi. Enfin si tu en es cappable.

Il s'écarta et se mit au centre de la grande place juste devant l'arbre monde.

- Vertatur tempestas veris. Nobis protectionem aeralem. Flans paries venti vertentis

Un gigantesque tourbillon arriva. Linsey prononça quelques mots qui firent voler son sabre . Il se mit dessus et monta le plus haut possible . Juste après le petit cyclone se détruisi.

- Alors ? Tu n'as pas envie de jouer un peu ?

Il faisait un clin d'oeil ironique a la magicienne d'un air provoquant. Quel gamin... Pour lui jouer est bien plus important que sa propre vie. Et puis ça vie ( si l'on peut la qualiffier ainsi ) se résumait a ça donc rien a dire.

Ce jeune arrivant se méfiait, du moins ne serai qu'un peu sur la signature magique de la jeune prof. Elle ne chercha pas à la cacher totalement mais seulement la moitié du moins. Il signala qu'il était un chasseur et les deux autres filles ses proies. Quel pathétique. Il ose s'en prendre à des personnes sans défense comme un lâche et si se dit chasseur? En plus il agit de manière macho, s'attaquer à des filles, on a l'impression que c'est un faible. Oui un faible mais il n'a pas Duscisio en face de lui et heureusement mais seulement Fagaria et sa fille, Vivio qui est dernière sa mère entièrement effrayer par ce :

Vilain garçon.

La voix de la petite fille était clairement audible mais arrêter par la main de sa mère comme pour lui dire de se taire et de reculer. La gamine sorti son artefact d'apprentissage pour déployer une barrière solide après avoir prononcer un seul mot, un seul, dans une langue inconnu sur Terre, tout cela pour se sécuriser de quelque chose mais elles ne savant pas pourquoi.

Je m'appelle Fagaria Balibe, arrière, arrière - et j'en passe - petite nièce de Duscisio Balibe. Mais aussi professeur principal des 2F. Je te demanderai de les lâcher immédiatement pour voir si tu est quelqu'un de résonance, si tu refuse je vais utiliser également la magie pour te punir à la manière d'un prof et non par une arme, ça tu a ma parole.

Son bracelet avec le T déformé disparu pour laisser place à un simple bâton avec une boule rouge à son extrémité d'une usage inconnu mais sans doute inoffensif, du moins pour le moment.

Mais merde... Bande de tarés...

...Bande de putain de tarés!

J'avais lâché ces mots dans mon habituel français, taraudée par le mal de bide grandissant. Des tarés, tous des tarés, il n'y avait que des tarés ici. Ce psycho, là... Un taré. Cette fille qui semblait ne pas être disposée à réagir à ma situation... Une tarée. Cette femme qui était arrivée et qui apostrophait le jeune homme dans des mots japonais que je ne comprenais pas... Tarée itou. Et le pire de tout, c'est que même moi j'étais tarée. Parce que des cyclones volants, ou des choses qui se transforment en d'autre... Tout ça, ça s'appelle des hallucinations, n'est-ce pas? J'étais réaliste... Je savais qu'il ne pouvait pas s'agir d'un rêve, parce que si ça avait été le cas, je ne me serais même pas inquiétée de la nature surnaturelle de ces... Choses, ou plutôt de ces phénomènes à la suite, je les aurais acceptés, comme on accepte toujours sans se poser de questions ce qui se passe dans un rêve... Non, ce n'étais pas un rêve.

Sinon j'aurais pas non plus ce putain de mal au bide! Mais alors... Si c'est pas un rêve... Elle est où la caméra cachée?

Qui se moquait de moi? Vu la tournure que prenaient les choses, ça ne pouvait pas se passer pour de vrai, tout cela, n'est-ce pas? Passe encore que ce soit une mise en scène... Mais alors, moi, qu'est-ce que je fous dedans? C'est de très mauvais goût! C'était à peu près ce que j'avais dans la tête un instant. Je commençais à douter un peu de la nature du danger qui me menaçait, que je sentais bien réel au départ sans ces tours de passe-passe, mais je n'étais pas pour autant rassurée... C'était peut-être même encore pire. Et cette inquiétude qu'on ressent quand on ne comprend rien... Le mal de bide et la certitude que toutes ces putain d'horreurs de sont pas un rêve...

...Merde! C'est quoi, ce bordel?

[HS : désolé si j'ai mis du temps ça ne se reproduira plus ^^ ]

Je m'appelle Fagaria Balibe, arrière, arrière - et j'en passe - petite nièce de Duscisio Balibe. Mais aussi professeur principal des 2F. Je te demanderai de les lâcher immédiatement pour voir si tu est quelqu'un de résonance, si tu refuse je vais utiliser également la magie pour te punir à la manière d'un prof et non par une arme, ça tu a ma parole.

Les lacher ? ces paroles firent se tordre de rire Linsey qui respirait a peine.

- Tu sais qu'oi ? Je t'aime bien ! Mais enrevanche ce que je n'aime pas c'est qu'on se mele de mes affaires.

Il redescendit et s'approcha de la française pour lui caresser la joue .

- Ne t'en fait pas . Un professeur est venu a ton secour , la prochaine fois tu auras moins de chance .

Il se tourna vers le magicienne.

- Je ne serais pas punit. Forever or never , Veniant spiritus glaciales ! Extendantur aeri tundram et glaciem loci noctis albae... Crystallization tellustris!!

Les pieds de la jeune fille étaient recouvert de glace.

- J'ai quand même envie de jouer. Pourqu'oi des filles ? Tu te pose la question ? La réponse est simple , elles ne méritent pas de vivre... Elles s'amusent a vous torturer , a nous faire souffrir ! A moi de jouer maintenant.

Il avait dit ça en se mettant une main sur un oeil avec une allulre de psycopate. Il avait connu auparavant une fille , elle lui avait menné la vie dure l'avait fait souffrir l'avait.... Changé.

- Ha et aussi c'est plus amusant.

Ses paroles firent rire le jeune homme. Pourquoi? Il disait qu'il n'aimait pas que l'on de mêle de ses affaires. Il y a un hic dans tout cela. Il agresse des jeunes filles et il ne veux pas que l'on se mêle de ses affaires? Non mais attend il y a quelque chose de pas normal dans tout ça. La jeune prof le regardait sans le moindre sourire maintenant, l'insolence commençais à l'énerver, comme quoi elle fait bien partie de la famille de Duscisio. Elle se demande même si elle ne va pas non le punir à la manière d'un prof mais a la manière d'une mage par les armes et la magie car son attitude était déplaisante. Il avait a présent emprisonner les filles dans de la glace. Erk. Fagaria commençait vraiment à croire que ce jeune homme était un malade qu'il fallait enfermer au plus vite.
Pourquoi cette attitude? La réponse fut donner sans même poser la question. D'après lui, elle ne mérite pas de vivre, sont présente que pour pourrir la vie des hommes. En gros c'est ça. D'après lui. Réaction de Fagaria? Elle baissa légèrement la tête ses cheveux formant comme une ombre pour cacher ses yeux et parla à sa fille dans une langue inconnu :

Vivio... sia las fillia ni siliciri di lu pojaba... Je vais donnée une leçon à ce gosse.

La petit fille de la prof, nomme appartement Vivio, toujours dans sa barrière exécuta l'ordre comme elle le pouvait. Elle téléporta donc les jeunes filles, même celle pris dans la glace, dans la barrière ou elle se trouvait elle même, c'est à dire en sécurité afin qu'elle ne soit plus mêler à cela.

Maintenant, Fagaria n'était pas gêner par la présence d'innocents dans la zone. Elle tenait à présent son bâton à pleine main. Un bâton? Oui un simple bâton avec une boule rouge à son extrémité, sauf que la boule était pret du manche et ne servait apparemment pas à assommé quelqu'un.

Sgnif... Enfoiré...

Ooh, "enfoiré". Un mot que j'utilisais bien peu souvent. Mais c'était mérité, même si le type ne comprendrait sans doute rien. Moi-même, je ne comprenais rien à ce qu'il me disait, alors... Néanmoins ses actes parlaient d'eux-même. Son discours qui ne sonnait en rien comme du japonais par moments, et puis il m'avait touchée, et puis mes pieds s'étaient retrouvés recouverts de glace sans que je comprenne pourquoi, putain, mais qui se moque de moi, là, qui cherche à me faire une putain de sale blague?!

...Putain d'enfoiré!

Le mot bloqué dans ma bouche, je lançais de mon bras, heureusement encore mobile, un beau grand troisième doigt en direction de l'homme. Ca ne servirait à rien, et je m'en foutais, mais j'avais franchement de la haine contre lui. Et si vous saviez, bon sang, si je comprenais son discours, je lui en voudrais encore plus. J'avais déjà réussi malgré ma peur à déceler des termes insultants envers les filles. Alors tu castes toutes les filles pareil, pauvre c*n? Tu sais que certaines filles idiotes disent pareil de tous les garçons? Mais pauvre imbécile, ce ne sont pas les filles qui sont méchantes, ni les garçons d'ailleurs, s'arrêter à là, c'est vraiment être débile! Non, crois-moi, si je pouvais te le dire en japonais, sale type, ce ne sont ni spécialement les filles ni les garçons qui sont méchants de nature, c'est l'humain tout entier, et en particulier quand l'humain profite de ce sentiment de merde même pas digne d'être appelé ainsi, le sentiment amoureux! Les femmes sont des produits de consommation, les hommes des pièces de collection, et au milieu de cette bande de monstres informes, y en a quelques-uns qui restent intelligents! Tu me condamnes parce que selon toi les femmes sont méchantes, c'est ça que je comprends? Je comprends peut-être mal, mais si c'était le cas, salaud, si tu savais comme tu te plantes, et à qui tu as affaire, là! Moi, je suis Sacchan AKHTS, une petite gamine de merde, mais intelligente malgré tout, et au-dessus de toute cette connerie, moi, je ne crois pas à l'amour, et je condamne les "filles méchantes" dont j'ai bien cru t'entendre parler, et les hommes aussi, tous ceux qui agissent comme ça, je les excècre, et toi, tu vas me tuer? Alors y a vraiment pas de justice dans ce monde, putain de salaud!

...Vraiment pas de justice! Enfoiré! Enfoiré!

...Et cette fois, je m'étais risquée à traduire l'insulte en japonais.

Je vais donnée une leçon à ce gosse.

Il ricanna de plus belle. La française l'avai traité d'enfoiré. Il savait bien que c'était ça qu'il était donc pas la peine de s'énerver malgré tout elle lui envoya un joli doigt d'honneure. Hé ben sympa il a juste essayé de te tuer !

- J'attend donc mon prochain cour. Veniant spiritus glaciales obscurantes ! Cum obscurationi flet tempestas nivalis... nivis tempestas obscurans!

Un gigantesque tempète de neige parvint sur un assez grand rayon , elle aurait beaucoup de mal a voler avec la force de ce vent mais en revanche Linsey s'était habitué aux terrains dans ce genre après tout la glace était son affinité naturelle.

- As-tu entendue parler d'une technique de glace du tome 6 des magiciens ? Le seule qui s'y trouve dailleur. Si je l'utilise ici beaucoup d'innocent perdront la vie , car elle gèle tout sur un rayon de 150 mètre , je n'ai alors plus qu'a dire " apocalypse " en grec et le tour est joué. Allons plus loin si tu ne veux pas qu'il y ai des morts.

Il sauta en l'air et s'éloigna.

- Tu as 10 secondes pour faire ton choix !

La tempète faisait rage , a un tel point qu'il était presque impossible de voir Linsey . Il prépara tout de même une contre-attaque juste au cas ou. Dès qu'il sentirait une attaque il n'aurait qu'a prononcer " flans
paries aerialis ".

[HJ : bon ok va falloir parler en donnant un exemple une fois de plus.]

Arête tes formalités, je connais suffisamment les sorts "Terriens" pour te dire que tu t'ai tromper de formule sur toute la ligne.

D'un coup de bâton, en tournant sur elle même, Fagaria balaya toutes la glace avec des lames de vent très bien placer pour la briser en mille morceaux, en montant que le bâton avait maintenant une lame pointus à son extrémité de quarante centimètre, maintenant diriger avec le haut, une lumière s'éteignant et disparaissant. C'était la "Poïta Cilista" autrement dit la pointe céleste en langue Terrienne que seul les Balibes peuvent maîtriser. Lame de vent, mélanger à du vent. On ne pouvait que déterminé qu'une chose :

La lumière et le vend sont mes éléments de prédilection, inutile de jouer maintenant les grands air avec tes formules à l'aria si longue, je te bat sur toute la ligne en lancement de sorts. Je peux les lancer en prononçant qu'un seul mot dans ma langue natal. Maintenant commençons la leçon. Faïxdémilé!

Faïxdémilé. Ce n'était pas une formule mais le nom de l'arme de la jeune prof extra-terrien. A ce mot, l'arme prit sa forme originel, celle d'une faux un peu spéciale. C'est une faux à cinq lames, de grande lames de faux d'une longueur d'un mètre vingt sur l'extrémité ou se trouve déjà la lame de lance de quarante centimètres, accompagné de deux petites lame quelques centimètre en dessous, d'une longueur de trente centimètre, de loin on dirait presque un avion ou un aéronef dans le genre. La boule sur l'autre extrémité passa du rouge sombre au rouge clair et Fagaria avait la main non loin de cette boule pour servir de manche. Elle la pris à deux mains et prononça un mot pour créer un sort, un seul mot tout en donnant un coup vers le jeune homme libérant une lame de vent :
Acrigia!
Évidemment, Fagaria se doutait qu'il allait l'éviter c'est pourquoi juste après avoir lancer cette lame de vent elle se rua vers lui un dixième de seconde après la lame de vent en utilisant la magie de l'air pour augmenter sa vitesse de déplacement. Mais elle ne donna pas de coup avec ses lames de faux, non, elle frappa seulement et violemment le ventre du jeune pour le mettre à terre après qu'il est frapper son dos provoquant de multiple contusion jusqu'à ne plus pouvoir bouger du tout. Terminé, elle menaça le jeune homme, immobile et soufrant de douleur au ventre et au dos, avec une de ses lames cette fois pour lui porter un avertissement simple mais dans un ton extrêmement sérieux :

Je parlerai de ton agissement à l'administration de l'établissement, et plusieurs personnes plus fortes que moi seront au courant qu'un gamin utilise des sorts qu'il ne maîtrise pas lui-même pour se croire plus fort. Fait attention néanmoins à certaine personnes à leur manière de parler, ses personnes là ne sont pas de manière à parler avec des individus comme toi et ne se contenterons pas de d'immobilité mais simplement de te tuer pour de bon. La prochaine fois que tu verra Duscisio, je te conseille de prendre les jambes à ton coup et de fuir, il fait partis de ses personnes en question et traine surtout dans l'allée des cerisiers alors évite ce coin sur tu ne veux pas connaitre un sort funeste.

Tandis que Fagaria se battait avec le jeune homme se qui ne dura que très peu de temps, Vivio était en train d'essayer de faire calmer la jeune française, tout en apprenant des mots pas très catholique, en la serrant comme un habit d'asile et en parlant dans sa langue :
Mais arrêteeuh, Maman va s'en occuper... Mais calme toi!
En gigotant dans tout les sens elle fini par lâcher prise et se pris un méchant coup sur la tête, faisant pleurer la petite fille en se tenant le lieux du coup.
Meuheuuuuhh ouiiiin!

HJ : Eeto...^^" J'ai pas grand'chose à rajouter, je rappelle juste modestement qu'on n'a pas le droit de vie ou de mort sur le perso d'autrui... Mais ça va de soi...^^"

DJ

Eh...?

Une seconde, là! J'entendais parler ma langue? ...Ce qui fut très vite suivi par des pleurs, apparemment, avait retenu mon attention. Qui c'était, ça? Qui c'était qui parlait comme moi, qui pouvait m'expliquer ce que c'était que ce bordel? Je n'avait même pas remarqué la petite fille, depuis le début qu'elle était là. Je m'en voulais un peu de ce manque d'attention... À présent, l'enfant était apparemment tombée sur la tête et avait bien mal.

Oh... Ça... Ça va? Ça va?

J'avais ressenti comme une nécessité de poser la question dans les deux langues. Je m'étais alors péniblement penchée vers la petite, malgré mes jambes prisonnières toujours de ce foutu bloc de glace sorti de nulle par, qui me gelait les pieds à les rendre brûlants, à cause du froid. Ils devaient être tout bleus, moi, j'avais mal, et j'allais me péter les genoux! Néanmoins, j'avais aidé la petite à se lever dans la mesure de mes moyens. Je m'en voulais qu'elle se soit fait mal, sûrement par ma faute, et surtout, je voulais en avoir le coeur net.

...Tu parles français, dis? Je rêve pas? Tu parles bien ma langue, n'est-ce pas?

Je regardais la petite dans les yeux avec tout l'espoir du monde. Elle était la seule chose sensée, proche de moi, qui soit apparue jusqu'à présent dans cet environnement de fous déclenché depuis quelques minutes. J'avais jusqu'à présent vraiment eu l'impression de devenir folle... Mais étais-je encore sensée, pour trouver quelqu'un qui parlait ma langue? Une enfant... J'hallucinais, peut-être, tout restait encore possible...

Dis-moi, qu'est-ce qui se passe, ici? C'est quoi, ce bordel? Qu'est-ce qui se passe?