La récolte d’âme, un destin presque scellé. [Libre]

Qu’elle est ce corps sur le sol, une flatte de sang servant de bain pour le cadavre du Terrien ? Ce terrien était un mage. "Était" est le mot bien approprier car on peut bien se douter que ce mage Terrien est décédé. Mais se n’est pas sa vie que Duscisio intéresse. Mais qu’es se que sais ? Cette boule de micro poussières tournant sur elle-même est sur place, ne suivant aucune logique de rotation ? C’est une âme ?
L’albinos extra-terrien sorti à présent sorte de bourses de cuir pas très grosse, à peine de quoi mettre quelques pièce et qui ne semble pas assez grosse, du moins, pour contenir une âme comme celle-ci, flottant dans l’air, pourtant l’être la prend à pleine main pour la mettre dans cette bourse de cuir sans que celle-ci ne gonfle. Et pour que ce meurtre prémédité ne passe inaperçu, il mit sa main sur le corps gisant de sang sur le quel un trou droit et épais comme si une épée l’avait faite transperce le malheureux, et d’un seul mot, il brula le corps humain par une flamme d’une chaleur est telle que l’on pourrait fondre n’importe quel métal avec.

Tu va le faire finalement. Tu sais que cela prendra quelques mois terriens voir des années fallaciennes pour le faire.

Duscisio ne répondit pas. Le simple fait qu’il fasse cela et à répétition car depuis quelques jours se n’est pas la seul victime qu’il a fait. Le premier fut tuer avec un choc électrique violent, le deuxième avec la technique Kalakboom, le troisième avec un Gladapik dans le ventre dans l’agonie et le quatrième, celui-ci, une épée transpercer dans le cœur.

C'est lié avec une destiné qui ne va qu'être plus proche qu'avant le destin qui lui est du. Le simple faite d'avoir des âmes humaines ou simplement d'êtres vivants. Réunis dans un petit sac pendant l'attente de son utilisation, les âmes produise une sorte d'énergie spirituelle, plus il y en a plus la puissance de cette énergie est élevé. Cette énergie servira à raccourcir la vie d'une planète explique Toribrioé à pleine voix profitant qu'il y est personne dans les parages pour lui répété, à Duscisio qui a en ce moment un petit trou de mémoire.
Il est silencieux et n'écoute que Toribrioé qui est constamment avec lui. Le "hic" dans tout cela est que certaine personne l'empêcherai de faire cela si il sais se qu'il va faire. Le fait est que maintenant, il n'a pas intérêt à rencontrer quelques personnes et le Campus malgré les multiples dangers qui le guette mais dont la rencontre est plutôt rare se qui ne devrait pas posé problème. Maintenant, il ne manque plus qu'à récupérer ses âmes qui s'élève à un nombre considérablement élevé...

Bon, ça suffit, maintenant! Arrête de geindre et viens, on descend.

Des voix qui heureusement, n'avaient absolument pas été témoins du probable massacre qui s'était passé là quelque instants plus tôt. Ça, pour sûr, les deux vieux qui venaient de monter étaient loin de se douter de ce qui venait d'arriver, et... Soyons honnête, de ce qui, en présence de Duscisio, RISQUAIT aussi de leur arriver. Non, pas le moins du monde, le grand frère ni le petit frère, si l'on peut encore les appeler ainsi, ne se souciaient de problèmes aussi graves. Pour l'instant, c'était beaucoup plus futile... Oui, beaucoup plus futile, du genre...

Ramune... J'te jure, je peux pas! J'étais sûr que ça se passerait mal...

Tu vas pas me faire une crise parce que le tableau est TROP HAUT POUR TOI, non? C'est quoi, ce gosse?--"

Toi, tu peux parler, t'es grand comme un poteau électrique!

...Oui, voilà le genre de problèmes auquel on est tout simplement confronté lorsqu'on est tout simplement un être humain. Un prof en l'occurence, un nouveau prof qui tente de se faire une place, voilà ce qu'était Calpis, et voilà ce qu'était Ramune aussi après tout. Sur décision de ce dernier, qui décidait généralement toujours tout. Et la raison pour laquelle Calpis avait fui sur les toits pour ne pas être vu et être au calme un instant, c'était aussi bête que ça : petit comme il était, le tableau était trop haut et il n'avait pas pu écrire sans devoir lever le bras le plus haut possible ou se hisser sur la pointe des pieds. Ramune, lui, s'en moquait, et manquait d'empathie, pour le coup, lui qui était comme le soulignait Calpis, une grande asperge. Ainsi se comportait-il de façon plutôt cruelle avec son ami, comme cela lui arrivait, alors que Debouko Calpis réclamait un peu de sa compassion à se plaindre et à gémir des bribes de phrases pleurnichardes.

Gros contraste avec la présence de Duscisio, n'est-ce pas? À présent, Ramune l'avait remarqué, lui qui était souvent le premier à remarquer les choses, et avait pris la tête de Calpis sous un bras, lui cachant la bouche de sa main libre pour le faire taire. Il lui indiqua tout simplement du regard le Fallacien inconnu, une personne qui semblait comme d'habitude plus jeune qu'eux, mais à part des professeurs, y avait-il vraiment quelqu'un de plus vieux qu'eux qui courait les rues par ici? Pour l'instant, ils se sentaient bien plus vieux que la moyenne, et c'était encore conforté. Néanmoins, Ramune, qui tout comme son compagnon était de nature assez bavarde quand il se trouvait avec lui, ne lâchait pas un souffle. Calpis, qui était parvenu à se libérer de son bras et qui reprenait sa respiration, le regarda de bas, l'air intrigué, un peu inquiet, soudain, de voir qu'il ne disait rien. Le fait était que ce type-là, cet inconnu qui se trouvait sur le toit, il avait, par instinct, quelque chose d'inquiétant. Bien sûr, eux qui côté êtres humains en avaient vu des vertes et des pas mûres, avaient appris à ne pas juger sur le physique des gens, mais... Non, c'était tout simplement instinctif, cette impression, ce réflexe irrépressible de se taire, de ne plus bouger, comme s'ils étaient en présence d'un animal sauvage. Ramune et Calpis ne connaissaient pas encore le fond de Mahora, ses mages, ses vampires, ses expériences scientifiques et tout ce genre de choses ; ironiquement d'ailleurs, ils étaient loin de se douter que le "jeune maître" qu'ils tenaient tant à protéger était lui-même un vampire. En tout cas, il était probable que dans les instants qui suivent, ils en découvrent quelque chose...

Terrien bruyant. Tout se qu'il dise n'est que dispute. Ils ne sont jamais content pour telle ou telle chose. Duscisio pense qu'il faut en finir.
Il ne fit pas attention aux deux terriens arrivés sur le même toit que lui. A croire qu'il sont idiot pour venir directement à lui. Mais c'est la fin de la journée et ce serai peut être les deux dernières victimes de la journée, sauf si elle ont quelque chose de spécial. Si c'est le cas la valeur de l'âme possède plus de valeur spirituelle et donc plus de force et donc la nécessité d'en prendre un peu moins. Réduire quoi? Deux jours de récupérations d'âme? C'est rien mais la valeur peut augmenté avec le temps car la spécialité de l'être peut être augmenter si on la laisse vadrouiller un peu.
Duscisio ne fiat pas trop attention mais elle cible viennent d'elle même cela facilite la tache. Mais ils ont l'air terrifier. Pourquoi? L'aura magique de Duscisio partiellement visible dégageant une énergie presque maléfique autour de lui? Tout cela dans le but d'attirer encore plus de monde.
L'un des deux s'appelait Ramune d'après les paroles de l'autre nommé le gosse. Il tourna la tête pour regardez du coin de l'œil les deux humain cloué sur place rien quand regardant Duscisio. Il y a vraiment de quoi avoir peur? Il sent comme une bonne intuition de la part du "poteau électrique" alors que l'autre se contentait de le regarde muet comme une carpe se qui ne fait pas de mal aux petites oreille de Duscisio, cacher par ses cheveux blancs.

Le poteau électrique semble avoir peur de toi, Duscisio... Tu compte le leur prendre?

C'était Toribrioé qui venait de parler à voix haute, assez pour que tout les êtres présents sur les toits peuvent l'entendre. Prendre quoi? Une question qui pourrait être poser par les deux terriens présent sur place, l'un dégageant une odeur de sang très faible. Leurs âmes a l'air importante.
Il se retourna complètement pour les regarde en face le soleil couchant dans son dos masquant maintenant son visage à cause du contre jour.
A votre avis? Son intention? Quelle est t'elle? Il commença à ouvrir pour la première fois de la journée la bouche et échappé quelque mot d'un ton frois :

Que faites vous ici?

Question bien pensé pour quelqu'un qui ne veux pas du tout camouflé se qu'il a fait pour la simple raison qu'il n'a rien à cacher. Sérieusement. Vous en voyer beaucoup qui ne cache pas leur acte meurtrier et prennent cela pour un plaisir pure et simple?

Peut-être, oui. *SBAF* Calpis et Ramune avaient entendu, bien sûr. Ils avaient clairement entendu la voix de Toribrioé, sortie de nulle part, mais que pendant un instant, ils avaient pris pour la voix de Duscisio lui-même. Erreur, puisque ce dernier se mit ensuite à parler, et d'une voix différente. D'ailleurs, les paroles de Toribrioé en elles-mêmes semblaient étranges, vu que cette voix venue de nulle part s'adressait à une certaine personne, peut-être bien ce type à cheveux blancs, justement, et surtout, il y avait cette expression : "Tu comptes le leur prendre?"

*Prendre... Prendre quoi au juste?*

Oui, des deux, c'était surtout Calpis que cette phrase intriguait. Allez savoir pourquoi lui. L'instinct se joue différemment en fonction des personnes. Et c'était lui, cette fois, que ces mots interpellaient. Mais Duscisio leur posait à présent une question. Quelque chose d'assez gonflé quand on y pense, quand on sait qu'il n'y a pas marqué "propriété privée" dans cet endroit. Néanmoins, encore une fois, d'instinct, Calpis sentit qu'il valait mieux répondre, tout simplement.

Euh... Je venais voir un peu. Je connais pas encore l'endroit.

Bo~ ke.--" Invente-toi des excuses. Je poursuivais cet imbécile qui montait là pour n'être vu de personne.

Poussant Calpis derrière lui pour avancer, pour sa part, de quelques pas, Ramune tentait en rabaissant son copain de se redonner une contenance. Décidément, ce gars-là n'inspirait que de la méfiance. Néanmoins il se décida à lui faire face, plus ou moins, le regardant sans faillir cette fois, du haut de toute sa haute taille.

Hey, boy! On peut savoir de quoi tu te mêles? Notre journée est finie, on a bien le droit d'aller où on veut.

Ramune!

Ne vous méprenez pas, Ramune avait, au fond de lui, toujours aussi peur de Duscisio. Mais ça fait aussi partie des réactions humaines ordinaires face à ce que l'on craint... Quand on a peur de quelque chose, on est aussi pas mal du genre à taper à l'aveuglette devant soi avec son balai en criant "Ouste! Ouste!", non? D'ailleurs, même s'il tentait de paraître sûr de lui juste pour ne pas se laisser impressionner —après tout, il se sentait idiot d'avoir peur, peur de quelqu'un qui n'était probablement qu'un élève comme un autre, juste à cause d'impressions ressenties dans toute leur stupidité— on décelait tout de même une certaine nervosité dans sa voix. Et Calpis n'était pas bien rassuré non plus, à vrai dire, ce qui expliquait pourquoi il avait interpellé son ami par un cri sans le laisser dire un mot de plus. Le petit gros avait trottiné un peu jusqu'à Ramune, apeuré cette fois, réellement, dans le souci peut-être de ne pas le laisser seul face à cet être qui les inquiétait. Alors, tirant un peu sur le bas de la veste de son ami comme il avait l'habitude de faire lorsqu'il voulait attirer son attention, il tenta de le dissuader, tout en restant malgré tout plus ou moins planqué derrière lui.

Laisse tomber, Ramune, arrête... Il me fait peur, celui-là, et puis il y a cette voix bizarre de tout à l'heure... "Tu comptes le leur prendre", elle disait... Je sais pas toi, mais moi, ça me dit rien qui vaille!

Apparemment les deux êtres remarquèrent que la voix féminine était purement et simplement Toribrioé qui venait de parler pour poser une simple question ne fut pour le moment sans réponse de sa part. Inutile savoir se qu’il pense également, la logique fait qu’il se demande de quoi parle le bracelet. Néanmoins il y avait de quoi intriguer l’un des deux mais la question qu’avait posé Duscisio eu une réponse simple sur le fait qu’il ne connaissait pas l’endroit. Cela pouvait être vrai en partir, le Fallacien ne les a jamais vu auparavant. Quant à la réponse à voix basse du poteau électrique, il n’y faisait pas attention.
Quel hasard de savoir que deux êtres viennent d’eux même pour prendre se qui va bientôt lui appartenir. Il sent leur énergie vital comme si de l’eau coulait sur son visage, ceux était bien vivant mais peut être pour pas si longtemps. Le coucher de soleil qui se trouvait derrière Duscisio allait être le dernier spectacle offert avec de voir définitivement la nuit… de leur mort.
Le plus grand prit son courage à deux mains pour parler à Duscisio d’une voix ferme comme quoi ils font se qu’ils veulent une fois leur journée fini. Et là se n’est pas une réaction de Duscisio qui fut mise mais du bracelet :

Aie.

Aie ? Oui un simple aie bête et pas méchant, plutôt dans la douleur comme si elle était transmise directement sur elle, une douleur qui pourrait vite être transmise. Pourtant il a peur. Il le sens, Duscisio plissa même un peu ses yeux jaunes. Les lanternes finirent pas s’allumer et la nuit par tomber, on ne voit plus le soleil pourtant il fait encore jour mais pas pour très longtemps. L’autre n’avait pas peur, non en effet il était presque terrifier à tel point qu’il voulait partir avant qu’il ne soit trop tard. Il n’avait pas tord. Duscisio parla maintenant toujours de sa voix froide et sinistre sur le fait de ses paroles mais Toribrioé prit la parole avant.

J’ai bien l’impression que le gamin a une bonne intuition sur le faite que sur la question que je t’ai posé tout à l’heure sur le fait que tu prennes leur âme ou pas.

Leur âme… Maintenant il avait une réponse à la première question. Par contre Duscisio chercha à les rassurer ne serai-ce qu’un peu une fois que dans un pas lent il se mit juste en face deux à 2 mètres tout au plus à se gratter la tête un cours instant pour retirer une araignée qui n’avait rien à faire là :

Ne vous inquiétez pas. Une fois mort on ne ressent rien. On se retrouve d’abord dans un néant blanc pour finalement voir son sosie en noir et blanc une fois que vous l’avait remarqué et que j’aurai pris votre âme et votre énergie vitale par la même occasion, le néant blanc deviendra noir pour noter que vous être bel et bien mort pour de bon. Là vous subirez un jugement et après se jugement vous allez vous morfondre le reste de l’éternité dans un néant complètement noir vide de vie… A moins que le poteau électrique produise assez d’énergie pour éclairer l’endroit ?...

Oye oye, c’est censé être rassurent ça ? Mis à part la dernière phrase pour détendre en quelque sort l’atmosphère il parlait bien de mort, de néant tout se que l’on voit et se qu’il à vécu. Et d’ailleurs… Mais qui prendrait un type pareil pour quelqu’un qui dit la vérité ? Regarder le de ses un mètre quarante cinq, il a l’air ridicule. Pour regarde les plus grand des deux il était même obliger de lever la tête de façon extravagante à en avoir un torticolis. Et enfin la chute sur laquelle Duscisio soupira par la suite.

Et c’est là que ses deux là parviennent à s’échapper et rencontrer quelqu’un qui t’empecherait de détruire la Terre. Si tu veux mon avis, et maintenant que j’ai trop parlé, tu devrais les tuer sur le champs, il en savent trop…

Gloup…

Hey! Je suis pas un gam...

...Tu ES un gamin. 'Faudrait savoir, toi qui te plains tout le temps parce que tu nous sens vieux!

C'était vrai après tout. Se faire traiter de gamin quand on a dépassé la quarantaine, ça fait bizarre... Mais allez savoir quel âge avait la voix qui parlait, elle! Du moins c'était ce que pensait Calpis. Ramune, lui, ne s'était pas gêné pour lui démontrer un peu de son idiotie avec son habituelle cruauté. Parce qu'en un sens, ça le rassurait. La normalité dans les réactions de Calpis le rassurait. Il n'était pas seul, face à ce type bizarre. Son Calpis était là, et toujours le même, en train de se planquer derrière lui... C'était vrai, pourtant, qu'il ressemblait à un gamin comme ça. Une sorte de petit frère. Un petit frère qu'il se devait de protéger. Alors que le discours de Duscisio et de la voix invisible faisaient de plus en plus trembler Calpis, Ramune prit une mine encore plus tendue et s'avança encore d'un pas, réduisant encore plus la distance entre eux que Duscisio avait déjà réduite. On décelait cette fois vraiment de l'énervement dans son ton, énervement sans doute parce qu'il ne comprenait pas ce qui se passait. Rien à voir avec Duscisio, encore une fois, qui maîtrisait toute la scène, contrôlait le tout, et était d'une platitude qui, à vrai dire, faisait encore plus peur aux deux énergumènes.

On peut savoir c'que tu baves, là?! D'abord, j'admets pas qu'on se moque de moi gratuitement, ensuite, je te préviens, on n'a pas de temps à perdre avec un morveux dans ton genre! Alors tes prédictions apocalyptiques sur notre au-delà et tout le reste, tu peux te les mettre où je pense!

Ramune!

D'ailleurs, il me semble que tu nous dois des explications! À quoi tu joues, exactement, là, avec cette espèce de voix sortie de nulle part? C'est quoi, ce numéro? S'il y a quelqu'un d'autre ici, qu'il se montre, quoi!

Ramune, arrête!

Je sais pas ce que c'est que cette histoire d'âme ou de détruire la Terre, mais t'as vraiment un truc au plafond, toi! Alors ça suffit, les tours de passe-passe et les voix venues du ciel, ça va bien, merci! Laisse-moi te dire, gamin, que tu tueras personne ici de toutes façons! Personne me tue, et personne d'autre que moi n'aura jamais le droit de tuer mon Calpis!

Arrête, je t'en prie, Ramune, j'ai peur!

PEUR DE QUOI?! DE CE GOSSE?

Le cri de Ramune, mélange d'exaspération et d'une peur bien décelable malgré tout, la peur d'un gars qui veut faire le fier-à-bras mais qui perd son assurance à entendre la peur des autres, résonna dans la nuit qui tombait. Il regarda son compagnon, le visage tendu au possible, pour constater avec une sorte de terreur qu'il était tétanisé, presque fou de peur. Calpis avait peur, en effet, peur de cet élève —était-ce vraiment un élève?— qui se trouvait devant eux, peur de la voix invisible, peur de ce que ces deux voix disaient, peur aussi de Ramune, parce qu'il voyait bien que Ramune avait peur, il le sentait, il l'entendait parler comme s'ils risquaient véritablement de mourir, et ça lui faisait encore plus peur. Parce qu'évidemment, si encore Ramune avait tout simplement tourné l'index près de sa tempe en décrétant que ce type-là était un barjo, bien sûr que Calpis se serait senti plus rassuré, et peut-être, directement, aurait-il dit amen. Là, ça changeait la donne.

*Oh, merde... Qu'est-ce que j'ai fait?*

Ramune soupira, regrettant sur l'instant sa saute d'humeur. Il comprit que ce qu'il fallait faire sur l'instant était tâcher de rassurer Calpis. Autant s'en aller de cet endroit. Qu'est-ce qu'ils risquaient de toutes façons? Ce type était fou, Ramune s'en persuadait, ce type était fou, s'il commettait un homicide, et encore, ce ne serait que par pure folie, alors autant s'éloigner de lui et laisser faire, non? La grande asperge passa un bras autour de l'épaule de son ami et l'entraîna à faire demi-tour, semblant plus ou moins avoir retrouvé son calme.

Ouais... T'as raison, va... Viens. On se casse. Ce type m'a l'air pas mal timbré de toutes façons...

En voyant les deux bête de foire se disputé pour un oui ou pour un non, Duscisio retira une autre areigné avec sa main gauche, la manche glissant de poignet faisant découvrir un bracelet noir semblable à une chaine, ce bracelet noir émettait une lueur aussi bien magique et lumineuse d’allumant et s’éteignant comme une respiration lente et calme d’un être vivant qui avec cette lueur qui devenu continue lorsque qu’elle prit la parole à vois basse :

Qu’ils sont bruyants.

Duscisio était de même avis à leur propos. Ils sot toujours à se disputer pour le fait que la manière dont le poteau électrique était traite. Vint maintenant une nouvelle confrontation de mots entre lui et Duscisio avançant un peu plus. Commençant sa phrase, Duscisio voulut l’arrêter avant qu’il n’aggrave sa situation en levant simplement le doigt en ouvrant partiellement la bouche mais vite arrêter donc il baissa son doigt et ferma sa bouche. En même temps, sa dernière phrase le fit rire intérieurement, il ne savait pas du tout à quoi il pensait, pas le moins du monde, Duscisio ne lit pas constamment les pensées des autres, pour la simple raison qu’il en a rien à faire. Ensuite le plus jeune, rappela le plus grand, Duscisio le montra du doigt un court instant avant de se faire arrêter de nouveau par le poteau électrique sur des explications que Duscisio doit donner. Il doit croire qu’il joue apparemment à se moquer de lui, gratuitement pour finir par l’appeler morveux. Il commença à ne plus rien faire, enfin si. Il baissa la tête comme quelqu’un de responsable de ses actes dont il n’est pas fier cachant ses yeux inexpressif avec ses cheveux au niveau du front. Il se demandait bien d’où sortait la voix mais Duscisio resta neutre. De nouveau arrêter momentanément par le plus jeune il continua de plus belle sur se qu’il avait l’intention de faire, tout en annonçant qu’il ne se laisserait pas tuer ou avoir le droit de tuer ce Calpis qui ne pouvait être que le plus jeune. Et enfin pour un final des plus… brutal il fini pas le mot gosse à crier à pleine voix pour finir par un silence… de mort. Maintenant que le calme est revenu, Duscisio faisant visiblement une tête de chien battu des expressions cacher par la pénombre qui fini par devenir nuit avec une belle lune bien blanche et bien ronde avec sa face habituelle visible d’une magnifique lumière de soleil refléter. La peur était sentie par Duscisio comme si leur énergie vitale en était imprégner. Un soupir fut émis, Duscisio ne bougeant toujours pas, Toribrioé également silencieuse. Et finalement, peut être parce qu’il a regretté se qu’il avait dit il passa un bras à son compagnon en lui disant qu’il fallait partir. Ils firent un pas puis deux et finalement trois et pourquoi pas un quatrième aller pour la route et finalement :

Pas si vite…

Duscisio leva le bras droit montrant une fois de plus sous l’étirement de la manche de sa veste le bracelet noir, montrant du doigt les deux terriens qui approchait de la porte de sortie pour arrêter leur course d’un mur de multiples épées, réplique de Toribrioé dans une version un peu plus grande, la porte boucher aucune autre sortie mise à part un saut par partir des toits. Et là, Duscisio parla maintenant vu qu’apparemment il pouvait enfin parler librement :

Excuse moi de te décevoir, le plus âge de nous trois ici présent,… c’est tout simplement moi. Ensuite, si tu croit que je vais vous laisser partir comme ça, tu peut te planter mon épée… là ou je pense.
Toribrioé sort…

Okay.

Ordre donné de la part du Fallacien à la voix invisible, le bracelet qui était visible tout à leur disparu du poignet pour finalement réapparaitre sous forme d’une épée noire prête à faire deux dernière victime pour la journée, Duscisio marchant vers eux avec un air… inexpressif ?...

Eh...?!

Les épaules de Calpis et Ramune se soulevèrent dans un même sursaut, lorsque la barrière d'épées apparut devant eux. Alors ils se mirent vraiment à douter. Qu'est-ce que ça voulait dire? Comment avait-il fait? Quelle était sa vraie nature, d'ailleurs, à ce garçon, lui qui se disait à présent plus âgé qu'eux, qui parlait à ce qui se trouvait être son bracelet —son bracelet ou son épée? Il venait de changer son bracelet en épée! On se serait cru dans un conte fantastique. Calpis et Ramune avaient à présent également peur, leurs jambes, démesurément longues pour l'un, étrangement courtes pour l'autre, tremblaient dans un même rythme, alors qu'ils ne comprenaient plus rien à ce qui arrivait, à qui était cette personne, et à ce qui leur arriverait ensuite, aussi et surtout. En tout cas tout cela ne disait rien qui vaille.

Kuso... Il est plus atteint que je ne pensais.

En réalité, les paroles de Ramune, qui ne quittait plus des yeux Duscisio qui avançait vers eux, tétanisé comme son ami, peut-être aussi fasciné dans toute sa terreur, avaient un tout autre sens. Parce qu'évidemment, Ramune ne croyait pas, ne croyait plus qu'un simple fou soit capable de telles choses. Le mot "atteint", qui était là presque uniquement pour cacher une terreur pourtant indéniable, aurait été à interpréter comme "puissant", ou une chose du genre. Ou peut-être, même, "il est plus SURNATUREL que je ne pensais"... Oui, parce qu'une voix venue de nulle part, passe encore, mais à présent que des choses apparaissaient ou se transformaient, il y avait encore quelques questions à se poser... Et surtout, que pouvaient-ils faire contre une telle personne capable de telles choses? Tout cela prenait des dimensions incontrôlables, et, parce qu'incontrôlables, encore plus effrayantes. Ramune lâcha l'épaule de Calpis pour l'attraper par le bras, en serrant fort, et commença à l'amener presque à l'aveuglette sur le côté, n'importe où, du moment qu'ils bougeaient. Ils n'avaient pas le choix. Ne pas rester à portée des lames des épées miniatures, ne pas rester dans la ligne de mire de Duscisio qui s'avançait vers eux d'un air si sûr de lui qu'on ne pouvait qu'en avoir peur.

Bon, viens, Calpis, viens, viens, viens, viens, dépêche-toi, viens...

Venir où?!

L'un comme l'autre, à présent, étaient en proie à une frayeur palpable. Comme deux petits animaux embusqués qui tentent désespérément d'échapper au coup de fusil fatal. Bouger, peu importe où, bouger pour le fuir, ce type-là, dans le petit carré que formait le toit, c'était un réflexe que Ramune s'était découvert sur le coup, dans son désespoir. Car désespoir il y avait, pour qu'ils soient tous deux dans cet état-là. Mais où fuir? Et que faire, pour se défendre, quand on est face à quelqu'un qui possède de tels pouvoirs..?

La compréhension manque à l’appelle pour les deux Terriens en difficulté face à Duscisio. Rien quand voyant leur regard sur l’épée qui venait de se transformer, Duscisio se posait quelques questions à leur propos. Sont-ils Mage ? Ou un autre genre de créature ? Ou tout simplement des Terriens sans aucune particularité ? Il aurai vu une valeur trop exagérer à cause de ses meurtres en série qu’il a fait cette journée rien que pour la collecter d’âme ? Le fallacien les regarda trembler comme des feuilles à telle point qu’il avait l’impression de le sentir dans le sol même. Il baissa son arme toujours en les regardant d’un de ses airs effrayant au gout de ses deux là alors qu’il est complètement inexpressif. Comment peut on t-on être inexpressif en tuant des êtres vivants ? Comme si lui était une vulgaire chasseur tuant une vulgaire bête sauvage pour se nourrir. A la différence prêt que Duscisio ne mange ni ne boit ni ne dort comparé à la plupart des créatures Terriennes un moment ou un autre de la journée ou de la nuit. Dans l’état ou il est on pourrait effectivement croire qu’il a péter un câble. A méditer, vu qu’on la jamais vu comme les autres…
Il a effectivement sortis Toribrioé mais pour quel raison ? Les tuer semble une réponse évidente mais il y a quelque chose d’autre. On dirait que finalement il n’a pas envie de les tuer maintenant la nuit tomber et la lune lever. Non en effet. Pourquoi souillé cette nuit sombre et éclairé par la lune pleine, il aime ses moments, cela se produit tout les trente ou trente et un jours pendant quelques jours. Non. Il secoua un cours instant la tête pour se ramener à l’esprit qu’ils ne doivent plus parler. Surtout de se qu’il leur à dit à certains propos. Ses projets, son but final.
Comment les tuer alors qu’il bouge de partout, Duscisio ayant la flemme de courir pour eux. Il regardait certain points et finalement il demanda à Toribrioé de créer une réplique dans sa main droite une fois qu’il passa l’orignal dans sa main gauche. Son épée obéis et une épée fut crée. Ils couraient presque les yeux fermé pour ne pas voir peur propre peur et Duscisio profita de ceci pour lancer la réplique conte un pilier pour que le plus justement ne la prenne en pleine poire et tomber à terre, facilitant ainsi l’approche de ses deux puces humaines de courir partout.

HJ : Post ridiculement petit pour la simple raison qu’on a pas le droit de tuer un perso d’un membre (encore moins une administratrice.) Je pense qu’il faudrait faire intervenir quelqu’un maintenant mais qui ?
Et en passant je sais pas si tu le fait exprès mais tes posts me font mourir de rire. x)

HJ Ano nee... XD Je ne sais pas, mais en tout cas, de mes persos, je ne pense pas que nombre d'entre eux soient capable de faire face...^^" Alors deux solutions, tu peux jouer quelqu'un d'autre, mais c'est à toi de voir XD, ou alors on relance dans la demande de RP pour demander à un autre membre de faire intervenir un de ses persos. Sou, pour ma part je ne réponds pas encore parce que... Je pige pas ta dernière phrase O_o, et vu qu'elle est plutôt déterminante pour la suite...^^" Tu peux la reformuler qu'AKHTS comprenne, onegai?^^""" *SBAF*

hj Bah qu'un autre perso vienne je parlais. Mais si il y a que moi pour répondre alors si tu répond je mettrait Fagaria et sa fille pour l'intercepter bien qu'elles soit Fallaciennes. :)

HJ XD Pas de problème. Demo, si tu veux, on peut toujours demander ailleurs, à toi de voir. XD Et pour mes posts qui font marrer, nai, je fais pas exprès, mais c'est peut-être pas plus mal.
Bon, je vais essayer de répondre en attendant, j'espère que ça collera. On avisera ensuite.

DJ

HABUNAI!

Pour le coup, Ramune avait eu des réflexes. Voyant la réplique de l'épée noire fendre l'air, il avait jeté son ami à terre, se laissant tomber avec lui pour rouler sur le toit et ainsi éviter de se prendre quoi que ce soit en pleine poire. Sauvés pour le coup, mais ça n'était pas passé loin... Tout ça devenait très dangereux! Ramune avait à présent très peur. Fuir, il fallait fuir, ou appeler à l'aide! Mais comment? Ils étaient coincés... C'était foutu... Foutu et bien foutu! Pourtant Calpis remuait sous Ramune qui l'avait plaqué au sol, et finit par se relever en le repoussant un peu, l'air vraiment en rogne. Oh, mince. Quand on provoquait trop Calpis, il pouvait devenir vraiment colérique mais aussi trop téméraire...

Alors... Ramune, regarde... Il essaie vraiment de nous tuer? Il a essayer de te tuer!

Calpis, t'approche pas! C'est dangereux...

Tu dis toujours qu'on a survécu au Mont Moon, qu'on n'a pas à avoir peur!

Mais... Calpis, là c'est...

Ramune soupira. Ce n'était pas ce gars-là, justement, qui il y a quelques secondes, avait la trouille et voulait fuir encore plus que lui? Mais après tout... Il connaissait son Calpis peut-être plus que son alphabet, et savait que si on le "provoquait" trop il pouvait se mettre en colère. Pourtant ce n'était pas un cas comme les autres, n'est-ce pas? Ramune en avait bien conscience :

Calpis... On risque de mourir, tu sais...

Pourtant Calpis ne bougeait pas. Ramune sourit alors, presque attendri du courage dont son ami faisait preuve soudain. Courage? Plutôt de la témérité, en fait, et de la témérité un peu désespérée, mais qu'importe... Ça le faisait sourire. Calpis restait le même, et n'était pas si peureux que ça finalement, même dans une situation aussi grave. Il était comme ça. Ramune prit sur lui alors, touché par la loyauté habituelle de son ami, et se releva pour avancer d'un pas encore devant lui, toujours en s'efforçant de sourire, haut les coeurs face à la mort quasiment obligée qui suivrait sans doute, et s'adressant une nouvelle fois à Duscisio, le prenant cette fois bien au sérieux avec franchise.

Bon, on luttera pas sans doute bien longtemps, mais... Si cet idiot s'est mis en tête de te tenir tête, alors je me dois de le protéger... Et de te tenir tête avec lui!

Flégada

Tout de suite après avoir lancé une réplique, il appela à en faire d’autre, une dizaine d’autre même toute pointant vers les deux Terriens prêt à être tirer vers cela. Cette fois, ils n’allaient pas s’en sortir avec une de ses techniques. Les répliques sont placées aléatoirement et horizontalement autour de Duscisio tournant lentement sur leur axe de symétrie. En marchant lentement vers eux il fit quelque pas avant de diriger son bras vers les cibles et donner l’autre à Toribrioé de tirer les épées en une langue qui ne vient pas de la planète Terre. Aussitôt dit aussitôt fait, toutes les épées sont tiré l’une après l’autre dans un laps de temps très cours pour se diriger vers Calpis terrifier et Ramuse s’avançant vers la mort. Mais un autre mot fut prononcer, et d’une autre voix mais dans la même langue que celle utilisé par Duscisio :

Rionimiria

Non se n’est pas Duscisio ni Toribrioé qu’il l’a prononcé mais l’effet et la cible était plutôt inattendu. L’attaque n’était diriger ni sur les Terriens ni sur Duscisio mais sur les épées lancer. Cette technique aussi blanc que de la lumière large de la hauteur de Duscisio mais pas aussi puissante que le Fallacien pourrait envoyer, mais assez pour détourné la trajectoire des épées et détourné le regard du tueur qui était inexpressif transporter par de la surpris à son plus au point quand il appela par son nom le lanceur.

Fagaria ?!

La jeune femme armé d’une arbalète était accompagné de sa fille qui fit exactement se qu’elle fait d’habitude dans ce genre de cas. Vivio protège les Terriens. La petite fille leur dit dans leur langue de rester près d’elle, bien qu’elle soit petite, elle ne peut pas protéger par la magie des attaques de Duscisio mais celui-ci ne peut pas tirer… sur un membre de sa famille se qui est le cas pour les deux nouvelles arrivantes.
La rencontre était bien inattendue mais Duscisio était maintenant impuissant. En plus de ne pas pouvoir lever la main sur un membre de sa famille, il sait que Fagaria fera un rapport aux siens mais également préviendra toutes personnes du Campus d’être extrêmement vigilant pour le risque de perdre la vie car Fagaria est tout simplement prof du Campus.
Duscisio tenait toujours son épée à la main et Fagaria son arbalète, Fagaria visant Duscisio d’un carreau chargé, Duscisio l’épée baissé. Il parlait entre eux mais on ne savait pas se qu’il se disait, c’était en Fallacien. Finalement au bout de quelques instants et avec une insulte dans sa langue, Fagaria ne pus résisté à tirer un carreau à l’épaule de Duscisio qui ne pût prévoir cela et se blessa. Un carreau planté dans l’épaule, une main occuper par l’épée l’autre tenant le carreau dans une position de faiblesse, 6 épées tomèrent du ciel pour encercler le Fallacien et crée un rayon semi-transparent avant de disparaitre par téléportation.
Fagaria baissa son arme et alla voir les deux terriens avec sa fille qui commençait à avoir une larme aux yeux. Fagaria alla la consolé en la prenant dans ses bras et regarda les deux rescapés.

Je m’appelle Fagaria Balibe, et voici ma fille, Vivio. Vous n’êtes pas blesser ?

...Wow.

Ouais... Wow.

Calpis et Ramune en croyaient de moins en moins leurs yeux. Décidément, tout s'était passé très vite. D'abord, voyant qu'ils ne pourraient probablement pas cette fois éviter les projectiles que Duscisio envoyait vers eux, et sentant que c'était la fin, ils s'étaient laissés tomber à genoux par terre en criant, recroquevillés l'un contre l'autre. Et puis, rien du tout, en fait. Rien du tout, parce que tout d'un coup, il y avait eu comme une grande lumière blanche au milieu de la nuit qui venait de tomber, et lorsque Calpis et Ramune avait daigné rouvrir les yeux et relever la tête pour regarder ce qui se passait, Duscisio avait abandonné sa face inexpressive pour montrer une sorte de surprise. Devant eux, il y avait une petite fille, et Calpis et Ramune se demandèrent bien comment elle avait fait pour arriver là et si elle n'était pas en danger, elle aussi. Mais apparemment ce n'était pas le cas, puisque l'enfant leur disait de rester près d'elle. Elle ne devait pas avoir beaucoup d'hésitations alors quant à sa propre sécurité, dans ce cas... Alors que Calpis ne quittait pas des yeux la petite, Ramune remarqua aussi une jeune et jolie femme, qui parlait avec le "vieux gosse" qui avait manqué une nouvelle fois de les tuer dans une langue qui leur était totalement étrangère. Finalement elle lui tira dessus, le toucha, le blessa, et tout d'un coup, dans une action une nouvelle fois très rapide, leur potentiel assassin disparut comme par enchantement.
Décidément, ils avaient donc du mal à y croire. Ils restèrent un instant silencieux, même un petit instant après que la jeune femme ne se soit dirigée vers eux et ne leur ait parlé. Muets comme deux carpes, ils accordèrent un regard à la petite fille qui allait se réfugier dans les bras de sa mère ; elle avait l'air au bord des larmes, et ça n'avait rien d'étonnant, après tout... Si Calpis et Ramune avaient été des enfants, dans un moment pareil, ils se seraient mis à pleurer aussi, probablement.

*Surtout lui...*

Ramune fut le premier à se décider à se lever, suivi rapidement de Calpis. Alors le plus grand tapa sur l'arrière de la tête de l'autre, légèrement, pour le forcer à s'incliner ; et lui-même s'inclina également, juste brièvement, en signe de remerciement, puisque cela avait lieu d'être!

Ah... Euh, non... Je pense que ça va... Merci beaucoup, Madame... Ou... Ou Mademoiselle, je ne sais pas...

...On a bien cru mourir. Mais dites... Est-ce que vous pourriez...

...Oui... Nous expliquer exactement ce qui s'est passé?

Oui, c'était un peu... Surprenant. Qui était exactement cette personne...?

Madame...

Elle répondit avec un sourire tout en montrant son alliance d’or et d’une pierre ressemblant à du cristal.
Sur le fait qu’ils répondirent qu’il faillit mourir n’était pas étonnant. Si Fagaria n’était pas arrivée, ils seraient sans doute morts. Le fait que Duscisio n’est pas lever la main une fois les deux Fallaciennes arrivées est que simplement, il sont du même peuple et du même sang donc de la même famille. Sur le fait que tout avait l’air surprenant était dus à la fois grâce à la magie et grâce à Toribrioé. Mais elle leur expliqua clairement qui il était sans rien cacher du tout :

Duscisio Balibe, C’est un Fallacien comme moi et ma fille. Malheureusement le comportement terrien sur la planète l’a changé de manière irréversible. Et je pense qu’il compte bien mener se qu’il a commencé cette journée. Il ne dort jamais. Bien qu’à la base, il ne soit plus vivant, il ne mange pas non plus.
Duscisio, d’après les archives Fallaciennes que j’ai lu, est mort à 13 ans, de plus c’est un albinos comme vous avez pus le remarquer par sa peau pale, et ses cheveux. Concernant ses yeux…

Notre sang est jaune et pas rouge…

Mmm…On ne sait pas comment il a fait pour… revenir parmi les vivants mais maintenant que s’est fait on ne peut le tuer et il continuera d’exister.

Une existence pareil doit bien être arrêté mais le fait que peu de personne ne savait se qu’il a vraiment l’intention de faire car tout ceux mis au courant sont mort sauf 4, deux Fallaciens et 2 Terriens. Maintenant que Fagaria sais cela elle demanda également de rester extrêmement prudent et qu’il pourrait et qu’il y a de grande chance, qu’il revienne pour essayer de les tuer à nouveau. A ce demandé si après cela il vont trouver le sommeil. Mais il fallait également qu’il en parle à ceux qui possède de la magie et la maitrise plus ou moins, se sont ceux au quelle Duscisio s’attaque le plus souvent.

D’ailleurs qu’es qu’il vous a dit à propos de se qu’il a l’intention de faire et pourquoi tuer des mages ?

Des aliens...?

Des mages...?

Difficile de décrire la grimace que les deux membres du duo avaient servi sur le coup, au bout de l'unique réaction dont ils avaient pour l'instant été capable, une bête répétition de termes synthétisés dans leurs têtes. Ils avaient écouté les explications de Fagaria sans mot dire, mais aussi d'un air qui montrait que finalement, en fait d'explications, ils ne comprenaient qu'à moitié, comme le duo d'idiots qu'ils étaient. En tout cas à présent c'était sûr : au sujet de Mahora, ils étaient fixés. C'était loin d'être une école ordinaire. Et une autre chose au moins était sûre également, c'était qu'un tueur du nom de Duscisio Balibe s'y balladait. Calpis se décida à secouer la tête, pour ne pas rester bête comme ça et répondre à la question que la jeune femme leur avait posée.

Ah! Non non non, ils nous a rien dit du tout, hein! Il nous a juste décrit comment ça se passerait pour nous quand on serait morts.

...Et la voix qui sortait de nulle part a vaguement parlé de détruire la Terre, aussi...

...Et après, il a essayé de nous tuer!

Calpis, en disant cette dernière phrase d'un air de gamin qui a peur, était allé se blottir dans les bras de Ramune sans quitter Fagaria du regard. La grande asperge, surprise du geste, s'embarrassa visiblement et semblait à la limite de lui crier dessus pour lui dire que ce n'étaient pas des manières, qu'on ne faisait pas ça à son âge, qu'il avait l'air bête, oui, bien bête, et que ça le rendait bête aussi, lui-même, et qu'il avait intérêt à arrêter de le coller comme ça tout de suite sinon... Mais rien. Finalement, Ramune soupira simplement et tapota l'épaule de son ami tout en s'efforçant de regarder ailleurs. Il finit par se retourner vers Fagaria, en reprenant son sérieux. Il avait pris conscience de quelque chose de certain : s'il y avait un tueur ou quoi que ce soit ici, il faudrait, en tant que profs, s'efforcer de prévenir les élèves et se comporter en protecteurs responsables, le plus possible. Mais une autre question encore lui restait dans la tête. Elle avait parlé de "mort", de "revenir parmi les vivants"... Il considéra alors Fagaria d'un air plus grave.

Attendez... Madame... Si je vous suis bien... Ce type est donc une sorte de... Revenant?

Toribrioé est bien trop bavarde.

Elle parlait bien sur de l'épée de Duscisio. Mais les deux terriens se savait pas qui elle était réellement sauf s'ils l'avait deviner. Le fait qu'elle est parler de détruire la terre ne l'étonnait pas plus que ça. En fait, elle savait déjà que Duscisio avait l'intention de le faire mais cela était pour lui impossible à mois d'avoir une sur-puissance, se qu'il n'a pas. Il a du recourir à quelque chose de plus pour pouvoir le faire mais si il avait trouver la solution et la mit en application, il y aurai longtemps que ils ne parlerai pas ici, vivant. Savoir comment il allait faire se que Toribrioé avait dit était plus plus important, mais pour détruire la terre pourquoi tuer des mages ou d'autres êtres vivant? Il y a quelqu'un qu'il ont que Duscisio a besoin pour mener son plan à bien.
En voyant comment les deux autres était, avoir peur de mourir quand on sais que la Terre pourrait être détruire - pas va être détruite - car on ne sais pas si le Fallacien aura reprit la raison et décider d'abandonner ses idées plus que noires.
Viens la question après l'explication se que est Duscisio. L'un d'eux demandant s'il était une sorte de revenant.

Oui, on pourrait dire ça comme ça. Bien qu'il est gardez toute sa magie. Je ne sais pas grande chose de lui.

(hj cours.... :/ )

Wouais... Ehbé... Tu parles d'un truc...

Ni Calpis ni Ramune ne trouvaient leurs mots à présent. Okay. Donc... C'était ça, l'endroit où ils se trouvaient. C'était ça leur boulot... Bon, ils avaient connu pire, ils ne cessaient de se le répéter. Mais ça n'en restait pas moins inquiétant... Oui, plutôt inquiétant. Des Fallamachin, des mages, des revenants assassins... Et eux dans le corps enseignant. Autant dire au coeur des responsabilités vis-à-vis de ce genre de problèmes. Du moins Calpis, qui, moins lâche sans doute que son ami était en tout cas bien plus loyal, pensait ainsi. Et il se répétait que, décidément, Ramune n'avait pas fait dans la dentelle, dans son choix de boulots, cette fois-ci...

*Je le savais... Je le savais!*

Et puis, finalement, ils n'étaient pas tant plus éclairés que ça sur le sujet. Au moins ils étaient saufs, c'était déjà bon à prendre, et puis ils connaissaient le nom de cette personne, et davantages d'éléments sur sa nature, sur son but peut-être. Même si apparemment, même pour Fagaria, ça ne semblait pas très, très clair. Calpis et Ramune échangèrent un regard, un instant, puis tournèrent d'un même mouvement leur tête vers Fagaria et sa fille.

...C'est qui, Toribrioé?

Aucun rapport. Mais c'était aussi une question qu'ils se posaient. Compte tenu de ce qui avait été dit jusqu'à présent, il semblait évident que Toribrioé était le nom de la voix qui parlait, sortie de nulle part. La voix qu'ils avaient entendu en premier, ils s'en souvenaient encore, bien que choqués par tout ce qu'ils avaient vécu dans l'instant. Néanmoins, il paraissait évident également qu'ils ne s'enquéraient pas de savoir si c'était bien le nom de la voix, ce n'était pas si simple... Ils voulaient savoir exactement quelle "personne" était cette Toribrioé et où se trouvait-elle, pour parler sans qu'ils ne la voient jamais. Ils semblaient déjà avoir oublié que l'épée de Duscisio, un instant plus tôt, avait obéi à ce même nom en passant de l'état de bracelet à son état d'arme. Mais il s'était passé tellement de choses, et ils avaient encore tellement de mal à y croire que tout cela se mélangeait dans leur esprit déjà assez limité, si bien qu'ils n'arrivaient pas vraiment à faire une synthèse raisonnable de tous les évènements présents. Il faut dire aussi que ça avait quelque chose de... Surnaturel, non?

Il est clair que Fagaria ne sais pas grand chose sur Duscisio. Même si celui ci fait partis de la famille 13 génération avant elle, les documents sur Duscisio sont détruit par lui-même avant de partir en exile. On ne garde que des donnes orales sur Duscisio, ou bien des donnes écrite si certain document on était refait après étude. Ni Duscisio ni Fagaria ne le savait.
Vivio toujours dans les bras de sa mère avais cesser de pleurer depuis un moment malgré les trace de larmes sur ses joues rouges de timidité, ses yeux verrons regardait les deux Terriens sans expression particulière, telle un enfant aussi curieux et peureux cachant la moitié de son visage avec son propre bras s'accrochant au cou de Fagaria.
Fagaria leur a sauvé la vie pour un petit moment, mais même si elle leur a demander de faire attention et de prévenir le maximum de personnes magiciens, leur faire oublier ses événements ne serai t-il pas mieux pour eux. Ne pas savoir qu'il existe des êtres étranger à la terre, qui ne sont même pas natif de la planète. Savoir qu'un des leurs est devenu dangereux, en s'attaquant à eux sans scrupule.
Une question enleva Fagaria de de l'intérieur de ses pensées. Savoir qui est Toribrioé? La réponse était simple.
C'est son arme, l'épée noire ou le bracelet qu'il porte constamment à son poignet droit.
Toribrioé est une entité à part. Une conscience dans une arme n'est pas très courant mais cela existe même sur Terre. Elle était un être vivant comme tout le monde pourtant maintenant c'est une épée. Pourquoi? Fagaria ne le sais pas le moins du monde. La question des deux compères était logique. Savoir qui est qui est naturel quand on est plutôt curieux ou de savoir qui les as plutôt menacer de mort. La voix qui avait parler en premier était bien elle. Elle? Oui c'était une fille avant... Il y a de ça mille ans bientôt.
Le "couple" Duscisio/Toribrioé" est un peu comme un couple normal sans émotion pour l'un et l'autre. Toribrioé avec seulement le la compassion pour lui avoir permis de "survire" et Duscisio avait besoin d'un peu de compagnie et apprécies sa "compagnie".

...Sou...

Un bracelet-arme doué de la parole... Voilà qui est singulier.

Bon, là, Calpis et Ramune ne savaient pas trop quoi dire. Ils échangèrent à nouveau un regard, un peu plus grave cette fois, du style : "Où est-ce qu'on est tombés?". Au début leur regard était le même. Et puis ils changèrent un peu l'un et l'autre, sans cesser de se fixer dans les yeux. Échange de pensées dans le silence. Les yeux de Calpis disaient : "Ça me fait très peur, mais pas question de se défiler". Loyal à toute épreuve et honnête comme toujours. Les yeux de Ramune disaient : "J'ai comme très envie de me défiler tout d'un coup mais j'ai décidé qu'on ferait ça donc c'est comme ça, et puis... Je peux pas te laisser tout seul." À lui, deux raisons pour sa détermination : sa fierté qui le forçait à se maintenir intègre, et Calpis lui-même. Ah, et une autre aussi, une autre finalement commune à eux deux, dernière petite similarité dans leur regard : Tamao, protéger Tamao, de Dandy d'accord mais aussi des autres, après tout, c'était pour ça qu'ils étaient ici. S'ils savaient...! En tout cas quand leurs regards se lâchèrent enfin, une chose était certaine : ils partageaient une commune détermination à affronter ce genre de phénomènes si tant était que c'était monnaie courante dans cette école. Mais déjà un phénomène étrange suffisait bien à tous les autres, et en aurait fait fuir plus d'un. Mais Calpis et Ramune, non seulement étaient de gentils bougres, mais en plus, on vient de le souligner, avaient toutes leurs raisons de ne pas se dégonfler. Donc, on est là, on reste, 'faut bien qu'on reste...

Et puis, après s'être tournés de nouveau vers Fagaria et Vivio, ils se décidèrent à s'avancer vers elles, pour montrer une nouvelle fois leur gratitude. Finalement, Ramune sourit, et Calpis en fit autant, quoiqu'un peu plus timidement peut-être, mais peut-être aussi encore plus sincèrement.

En tout cas... Qui que vous soyez, nous vous devons vraiment des remerciements...

...Et des excuses, aussi, pour le dérangement. Il faut dire que l'on ne s'attendait que trop peu à ça... Nous serons plus prudents et plus préparés à l'avenir! Alors... Merci beaucoup...

Tandis que Calpis parlait, Ramune s'était approché de la petite Vivio en lui souriant tout particulièrement, un sourire bien spécial pour les enfants, et en posant doucement, le plus délicatement possible, sa grosse main d'adulte sur sa petite tête d'enfant, penché un peu sur elle.

...Et toi aussi, petite, merci à toi... Tu as été très courageuse... Vraiment. Un enfant de ton âge, faire preuve d'autant de courage dans une situation pareille... Tu as dû en vivre.

Singulier en effet. Toribrioé est un cas à part entière mais, seul Duscisio a vu en arme semblable sur la terre, à Mahora même. Fagaria posa sa fille à terre sous sa demande, la petite fille se plaçant face à eux en bougeant le corps de droite à gauche sans pourtant déplacer ses pieds. Elle les regarda mais sans rien dire de spécial. Les deux Fallaciennes les regardaient toutes les deux les terriens s'échanger un regard une fois de plus, comme si était perdu. Un silence qui paru sans fin était de rigueur. Tout était dit ou presque et il n'y avait rien à dire de spécial maintenant.
Les deux Terriens n'était maintenant pas les seules à être en danger. Tout le campus si se n'est pas ailleurs est concerner. Duscisio n'est pas du genre à abandonnée. Il recommencera, le carreau était rien pour lui. Seulement un ralentissement de quelques minutes le temps de refermer la plaie. Toribrioé, elle, est dévouer à protéger Duscisio. Ce duo, est trop imprévisible pour être arrêter par Fagaria, trop faible comparer à Duscisio, elle laisserai Vivio orpheline. La jeune femme baissait la tête en pensant à cela, tout en regardant sa fille du coin des yeux.

Les deux extra-terrienne sentir un regard, et sous le même moment il les regardèrent à leur tour, se demandant se qu'il allait dire ou faire. Ils s'avancèrent vers eux, l'un en souriant, l'autre suivit le mouvement du visage quelque peu timide mais sincère. Et finirent par prendre une nouvelle fois la parole pour leur donner des remerciements pour leur avoir sauver la vie mais également des excuses pour un certain dérangement.

Dérangement? Je ne fait que mon travail de prof et je travail pour la planète par contre comme Duscisio, même si on est de la même planètes.

Ramune s'était approcher de la petite Vivio en souriant. La petite fille avait un peu peur mais souriait également ayant confiance, et une grosse main sur sa tête. Lui donnant un compliment sur le fait qu'elle a été courageuse et comme quoi elle a du en vivre.

Fagaria pris la parole.

Après la mort de son père, Vivio n'a pas vu pire. Même ici, tout le monde sais que perdre un être cher est plus difficile que de faire face à un danger. Bien qu'elle est maintenant 6 années Fallaciennes, soit 12 ans Terrien, elle pourrait être dans une classe plus élevé que se qu'elle est actuellement. Pour comprendre, nos années ont le double de valeurs pour les vôtres. J'ai 28 ans Fallaciennes... Mais laissons les précisions de côté. Ma petite fille a eu assez d'émotion pour aujourd'hui.

Chotto. 28 années "Fallaciennes"? Si la petite en six ans de cette planète ou je-ne-sais-quoi en faisait douze sur Terre, ça voulait dire que cette femme avait sur leur planète à eux... Calpis leva un instant les yeux pour lui-même et se livra à un calcul mental plus lent que la moyenne... 'Faut dire qu'il a un cerveau un peu retardé. Et puis il en vint à la conclusion qu'en multipliant par deux... Ça faisait bien plus âgé que ce qu'elle paraissait! Ce qu'il ne se gêna pas pour faire remarquer.

...Vous faites jeune.

Cela dit en la pointant du doigt comme un enfant constate quelque chose, et très vite châtié par Ramune qui renvoyait déjà son poing au sommet du crâne au Calpis avec un énervement palpable.

...Mais ferme-là!

Quel crétin, pas fichu d'être poli! Leur âge et leur physique les regardaient! Et lui-même il n'avait qu'à se regarder avant de parler! Se redressant et lâchant un "Hem-herm" embarrassé pour deux, il avait baissé les yeux et rougi, par gêne, gêne du mauvais comportement de son ami, gêne de leur ridicule soudain. Et il tenta de faire semblant de n'avoir rien entendu. "Tenta", évidemment, puisqu'il était apparemment bien bête, un grand dadet penaud avec un air tout aussi benêt et gamin que son compère, tout d'un coup, "je suis désolé pour lui, il est comme ça, 'faut pas lui en vouloir", et paf, le voilà qui se personnifiait en lui, comme pour donner quelque chose d'attendrissant à la bêtise de Calpis. À voir si ça marchait vraiment avec qui que ce soit... En tout cas alors qu'il tentait de reprendre une conversation sérieuse, il n'était pas vraiment crédible. Mauvais acteur comme toujours, mais qu'importe, le coeur y était...

Mmh, je vois... Évidemment, je comprends... Vous me voyez désolé d'avoir remué ce qui ne me regardait pas...

Il se rengorgea de nouveau et prit une expression plus véritablement sérieuse cette fois, relevant le torse, alors que Calpis restait silencieux, se frottant encore la tête du coup que lui avait donné son compère.

En tout cas, vous le dites vous-même, et j'estime qu'en tant que professeurs nous sommes concernés nous aussi... Faire "notre travail", ce sera aussi tenter de prévenir les élèves d'une personne de ce genre, si je comprends bien. Cela a son importance... Et nous avons des responsabilités...

La remarque comme quoi elle faisait jeune n’était pas si étonnant que cela. Fagaria en fit un sourire léger malgré qu’elle soit pointer du doigt de façon impolis, Fagaria n’en ai pas au détail. La tempête était passé pour l’instant valait mieux que la journée se termine plus ou moins joyeusement. Le poing de l’un alla s’écraser sur la tête de l’autre faisant rien la petite Vivio prenant ça pour un numéro de clown, la main devant la bouche pour cacher son amusement bien que très visible par son sourire si mignon.

Qu’ils sont drôle ses deux là.

Drôle, bah tant que cela calme la petite de se qui vient de se passer tout est bon. Un peu d’humour ne fait jamais de mal à personne. Quand l’un des deux fini par ressembler à une tomate provençale et continuait leur cirque qui plaisait tant à Vivio. Le plus sage des deux s’excusa de lui avoir fait remonter de mauvais souvenir et en caressant la tête de sa ville elle répondit sagement et en souriant :

Ce n’est rien, et puis… j’ai toujours ma petite Vivio avec moi.

Le sérieux Ramune avait reprit alors que le plus petit restait silencieux en se massant la tête. Ramuse était bien décidé à faire son travail de prof tout comme Fagaria, il le dit sa propre bouche, se sentant concerner et déterminé. Prévenir les élèves du comportement de Duscisio sans le nommer. Les responsabilités. Des responsabilités pareilles c’est bien difficile à assumer mais Fagaria avait également l’intention de faire parvenir son information aux élèves, profs, mages et même le directeur s’il y a besoin…

Ou..aaaaaaah… Gastila… Pardon…

Bâillement long et bruyant suivi d’un mot fallacien signifiant qu’elle était fatigué mais ça on s’en doutait un peu. Mais restant poli, elle se fit pardonner son geste peu discret de sa part pour demander à sa mère de la prendre dans ses bras.

Je pense que nous allons vous laisser. Vivio a besoin de ses heures de sommeil pour être en forme demain.

Oh... Bien... Bien entendu!

Calpis et Ramune considéraient à présent la petite fille, qui les avait intrigués déjà en riant d'eux un peu plus tôt. Ils se sentaient un peu comme embarrassés devant cette petite qui les trouvait drôles. Et en même temps, cette enfant avait l'air adorable... Oui, c'était une charmante petite fille, c'était ce que Calpis pensait et Ramune à plus forte raison. Il avait toujours aimé les gamins. —Qu'on y réfléchisse, c'est d'ailleurs peut-être pour ça qu'il aime autant Calpis? *SBAF*— Il gratifia alors l'enfant d'un regard attendri et compréhensif. Pour Calpis, cette petite fille ne faisait pas qu'être mignonne pourtant, elle semblait aussi source de sens et de raison après une telle mésaventure. Par son baîllement elle rappelait aux priorités du moment, à ce qu'il était plus sage de faire pour l'heure, en somme : c'est la nuit, allons dormir maintenant, ça ira mieux après. Des priorités auxquelles Calpis avait aussi toujours souscrit, quand on y pense, avec son caractère si simple et naturel. Il se contentait de se taire, mais en secret, remerciait cette petite, qui donnait quelque chose de doux à cette ambiance flottante et qui faisait même sourire son Ramune. Ben oui, c'était important... Ramune, pendant ce temps, continuait ses politesses, puisque le petit gros... Bon, on passe, n'avait pas l'air prêt à piper mot, cette andouille.

Nous aurons sans doute l'occasion de nous revoir à l'avenir... En attendant, encore désolés pour le dérangement de ce soir...

...On tâchera de se débrouiller seuls à l'avenir!

Ah, tiens, il avait parlé, lui, finalement. Ramune accorda à son camarade un regard en coin, un peu surpris, un peu agacé. C'était quoi, cette expression? Calpis n'avait pas sorti de clin d'oeil mais son sourire en disait tout comme. Comme s'il riait un peu d'eux-même. Ramune ne voyait pas ce qu'il y avait de drôle, en revanche, mais alors pas du tout... Oboke, qu'est-ce que tu fous? Et pourtant Calpis souriait. Comme d'habitude, c'était lui qui souriait en premier... Arara. Ramune se rengorgea. Il fallait continuer à parler, il n'avait pas l'air bête comme ça.

Euh... En tout cas... Merci encore pour tout, et... Tâchons de nous remettre de tout ça, n'est-ce pas? Et puis... Veillez bien sur la petite Vivio. N'est-ce pas, Vivio-chan? Désolé pour tout ça... Repose-toi bien, d'accord? Tu l'as bien mérité...

C'était peut-être maladroit mais on ne pouvait pas faire plus sincère. Ramune avait une nouvelle fois approché Vivio pour lui caresser un peu la tête d'un geste timide de sa grosse main, similaire à celui qu'il avait fait avant. Il souriait toujours à la petite, et Calpis, qui l'avait suivi de quelques pas, partageait ce sourire avec un attendrissement propre à nos deux bouffons l'un comme l'autre depuis un bout de temps. Témoins l'un de l'autre et témoins des autres.

Une caresse de plus pour Vivio la petite Fallacienne de 6 années par un terrien plus que gentil avec elle qui comprenait parfaitement sa fatigue. Elle dort beaucoup pour une petite fille 12 ans terriens, mais les années Terrienne et Fallacienne se ressemble en tout point mais seul le temps change. Les Fallaciens vieillissent plus lentement donc vive longtemps, 130 années pour les plus robuste soit purement et simplement plus de 250 ans terriens. Le fait que l’on dire année pour les années Fallaciennes et ans pour les Terriennes n’est que pour différencier. On s’éloigne du sujet…
Les deux comique souriait à Vivio et la petite fille leur répondirent mais avec les yeux fatiguer en plus mais ayant presque plus la force de rester éveiller elle regarda un cours instant l’épaule de sa mère pour s’endormir dessus. Comment ne pas succomber au charme d’une petite fille qui dort. Le visage endormi, yeux fermer bouche entre ouverte pour être finalement bouché par le pouce de la petite.
Fagaria répondirent également aux deux sur le fait qu’elle a du être dérangé par un simple mouvement du bras libre un se n’est rien sans prononcer quoi que se soit et en souriant naturellement. En quand il virent qu’elle dormait, il avait leur façon de la remercier en même temps que de dire qu’elle devait maintenant se reposer pour se qu’elle avait fait durant la journée. Pour éviter de déranger Vivio, Fagaria faisait des gestes en chuchotant :

Vu qu’elle dort je pense que je vais y allez.

La jeune mère, après avoir fini sa phrase, mit sa main sur la tête de Vivio pour la tenir durant sa marche vers le dortoir. Elle commença à aller vers la porte du toit à présent libre d’accès depuis que Duscisio est partit, ouvrit la porte la passa et salua une dernière fois Calpis et Ramune d’un petit geste de la main puis ferma la porte dernière elle…