Mahora, grande cours, 23 heures du soir.
Les lieux sont déjà dans le noir total alors que le jour venait de se coucher, il a seulement 1 heure. Seulement ? Il n’a plus la mesure du temps plusieurs années, il ne sait plus combien font une seconde, une minute, une heure ou une journée. Le temps passe si vite qu’il ne suit plus rien. En fait, il a enfin trouvé une occupation. Celle de chasser les âmes. Il y a seulement quelque jours qu’il a commencé il a déjà plus d’une dizaine d’âme dans sa bourse de cuir qu’il lance verticalement dans sa main pour la rattraper à même hauteur. Il joue avec des âmes, drôle de bonhomme. Bien que bon ne soit pas vraiment le mot à utilisé. Arrêtant je jouer avec il la rangea dans sa cape, disparaissant on ne sait où. La main armée de Toribrioé, l’épée noire compagne de Duscisio, ne le fut plus au bout de quelques temps, le « travail » de la journée terminée. Ils restèrent tout les deux silencieux, ayant rien à dire sur la journée d’aujourd’hui, n’ayant même pas parlé de la journée, aucune nécessité d’utilisé de magie pour tuer les humains dont leur âme est maintenant dans la bourse de cuir.
Duscisio s’assit sur le sol vert tandis que Toribrioé était sous sa forme de bracelet autour de poignet droit. Enfin assis après être resté tout la journée debout à tuer des humains, il aurait pu le faire presque par plaisir. C’est humain son si fragile vivant autant le faire connaitre l’immortalité du néant, de la mort, du rien. Il y était à cette endroit, pendant de très nombreuse années, il voyagea dans l’univers entier puis il fini par arrivé sur Terre avec l’impossibilité de partir. Deux générations Fallacienne et une terrienne qu’il est ici. Neuf cent années où il s’est forgé une opinion sur la race corrompue, bien évidemment elle n’est pas là seul à l’être mais ils ont la possibilité de faire tant de chose, mais la seul chose qu’ils ont fait est de polluer la planète, il ne la respecte pas alors qu’elle leur donne de quoi vivre. Rien quand pensant à cela, Duscisio frappa de son point le sol. Pour lui il fallait que cela cesse…

Si Duscisio était là pour le plaisir cela se saurai, en même temps il arrive à avoir des occupations marrante ses temps ci. Si l'albinos voulait rentrer chez lui, il fallait un moyen de transport pour ça. Et comme il n'en a plus, il va devoir attendre que ses "bébêtes" arrivent à construire quelque chose de valable pour voyage ailleurs que sur leur planète, qui tient la route plus d'une année-lumière. La pollution n'est qu'un argument comme un autre, il en existe d'autres qu'il puisse utiliser contre eux mais les Terriens arrive a trouver des arguments comme quoi il a tord. Oui oui, il est possible de donner un vent à Duscisio, après tout ce n'est qu'un gamin à l'intérieur de lui. Toujours les même propos, se fiant à ses propos comme un bouclier, ou quelque chose comme ça. Se bouclier est plutôt simple à briser, quelques mots suffit à lui clouer le bec pendant au moins quelques temps, soit il s'en va, soit il envoie un sort né de sa frustration, que de choix à faire.
Enfin bon. Duscisio préférait ne rien faire de plus aujourd'hui, reprenant ses affaires habituelles de balade sans but et de vagabondage sans limite. Il n'a rien d'autre à faire que cela alors il ne fait que ça. Marcher, marcher et encore marcher pour rien. Entre le glouglou d'une bouteille d'un liquide et le silence qui règne dans le coin... le glouglou? Duscisio leva la tête en remarquant qu'il y avait bien quelqu'un ici autre que lui, apparemment cette personne se saoulait sans se saouler, en sortant des bouteilles de nul part comme la fait Duscisio avec sa bourse de cuir. Une fois sa bouteille fini, il fit quoi? Il la brisa sur le sol en soupirant joyeusement comme si cela lui rappelait quelque chose. Quoi que se soit, l'extra-terrien n'en avait rien à faire, pour sourire comme ça et boire comme un trou cela devait être un :

Alcoolique...

Insulte, remarque? Tout se qu'il dit est un mot sans la moindre expression sur son visage, juste en remarquant son énergie vital tranquille, comme s'il n'avait rien fait, rien bu. Le silence briser, qu'es se cela puisse faire? Savoir que quelqu'un est là, autre que lui? Rien d'important enfin de compte. Quand il vit une autre bouteille sortir de nulle part il avait une envie gamine de la briser avec n’importe quel moyen. Un gamin, même mort reste un gamin. Son doigt était maintenant en train de viser la bouteille, en laissant visible un sourire de gaminerie, et une petite boule noire au bout du doigt. Peut importe les conséquences tant que cela peut amuser de voir quelqu’un boire une bouteille tranquillement, la voir se briser d’un coup comme ça.
Et il le fit, il le fit et avec un certain rire intérieur moqueur à l’avance de savoir quel tête il allait tirer bien avant que la minuscule bille traversa la bouteille pour la briser et faire tomber son contenue vers le sol.

Quel gamin…

Ce type bois comme un trou la nuit sans pourtant avoir la sensation qu’il soit saoul. Ce type qui se retient de rire au mot que venait de dire Duscisio par inadvertance sans vouloir pourtant le vexer sur se qu’il est maintenant et pas réellement. En même temps il se fiche de savoir qu’il est. Il ne se souvient même pas l’avoir déjà vu par le passé. Bah oui, ce gamin n’a pas très bonne mémoire concernant les visages et les noms mais tout ça n’a aucune importance. Se n’est pas qu’il se coïnciderai légèrement supérieur, il n’en est rien bien évidemment mais le fait d’être là de faire autre chose que d’exprimer un visage sans expression, ici remplacer par un visage d’amusement de gamin, dont le but est simplement de casser une bouteille que boit quelqu’un et voir la réaction final. On peut dire qu’il est ridicule, vraiment. Mais il faut dire qu’il ne s’amuse pas beaucoup donc pour une fois qu’il rencontre quelqu’un en pleine nuit, et qu’il ne va pas passer seul durant les huit prochaines heures si il tient jusque là, Duscisio ou l’alcoolique qui ne semble pas non plus de se souvenir de lui. Pourtant pour Duscisio il a déjà vu ce visage quelque part mais il n’en ai pas sûr. Donc il n’en tient pas compte et reste la en restant assis sur l’herbe de la grande cours à casser des bouteilles pour le plaisir de faire chier le monde comme qui dirait certain. Le plaisir. Duscisio ne voit pas pourquoi ce type en aurai et pas lui pour si peu de temps dans son existence. Pour une fois qu’il ne rode pas dans l’allée de cerisiers à attendre quelqu’un qui ne viendra jamais. La réaction qu’il eu quand la bouteille se brisa dans sa main n’était pas étonnante. La plupart de ceux qui boit comme lui on une réaction plutôt désagréable mais Duscisio n’en fit rien et se contentait de sourire bêtement à ce type.

« C'était ... Tellement pas nécessaire. »

La deuxième faisait rire Duscisio. Rire pas esclaffer comme un abruti ayant entendu une blague à deux balle tellement pas marrant qu’il en pette, non il ne faisait que rire joyeusement – oui pour l’albinos joyeusement faire partis du vocabulaire par moment – et en se relevant il continuait à rire de bon cœur tout en enlevant les possibles brins d’herbe et de poussières présent sur ses vêtements.

Tu verrai ta tête de type complètement perdu simplement parce qu’il a perdu un bouteille de je ne sais trop quoi alcoolisé, c’est ridicule…

Oui Duscisio ne sait pas reconnaitre du rhum. Il n’a jamais bu une seul goute pour la simple raison que l’alcool fragilise les albinos. Du moins se qu’on lui ont dit ses parents quand il avait demander une fois de gouter à un verre quand il était jeune parce qu’il se demandait se que c’était. On ne le verra jamais saoul, complètement à l’ouest, ou à l’est, nord, sud, tout se que vous voulez. L’albinos regarde toujours le roux avec son rire beat de foutage de gueule à la vu de sa réaction pour une simple bouteille de verre. La réaction de conseiller comme quoi il devait se pendre pour résoudre tous ses problèmes. A cette phrase, Duscisio ne s’était tut qu’un dizaine de secondes pour mettre sa main de la bouche et rire de plus belle. Le roux ne faisait que se rendre encore plus ridicule par le fait de son agissement stupide de sa part. Il ne faisait que face à l’albinos mais la seul chose à faire était simplement de partir avant que Duscisio ne se mette à… mourir de rire. C’est le cas de le dire n’est ce pas ? La seul chose qui ne ressemble pas c’est bien de s’esclaffer de rire un truc qu’il ne ferait que très peu. Mais enfin. C’est qu’un gamin, laissez le s’amuser un peu, sa ne lui fera pas de mal. Pour une fois qu’il fait autre chose que de marcher en silence vingt-quatre heure sur vingt-quatre, à ne rien faire durant ce temps là sauf à parler à Toribrioé, qui d’ailleurs laisse faire Duscisio comme il veut à l’instant. Elle ne l’avait jamais vu comme ça, jamais. Même avant que Toribrioé ne rencontre Duscisio il n’avait jamais été comme ça.

La seule chose que je prendrai c’est… ta cravate. Retire-la et lève le bras bien haut pour servir de pendoir. Puis se tu veux que je me pende fait les préparations.

De pire en pire. Duscisio cherchait carrément à l’énerver ou quoi ? La seule chose qui risquait si quelqu’un voulait l’étranger c’était de rester inerte pendant quelques heures. Le lendemain matin on l’aura retrouvé étendu sur l’herbe verte les yeux fermé la bouche ouvert avec un peu de chance une ou deux bestioles à l’intérieur.