Errance Fallacienne [Libre]

Les terriens. Cette espèce regroupe six milliards d’être humain envahi de sentiments qui ne devraient pas exister. La souffrance, la peine, la jalousie, la haine. Ses sentiments cruels ne devraient pas exister. Cela engendre des bagarres, des conflits, des batailles, des guerres, cela ne devrait pas exister. Ils s’offrent des plaisirs eux même parfois par la force. Les agressions, les viols, les meurtres. Il n’y a que de la violence en eux c’est pour que cela un être venue d’ailleurs met en place un projet qui ajoute leur haine qui reste pour toujours dans leur âme pour leur propre destructions. Car il est résolu que les détruire une bonnes fois pour toute, n’est qu’une solution parmi tant d’autre pour les arrêter une bonne fois pour toute. Cela n’est pas une tache facile pour autant.

Nous sommes dans un lieu plutôt paisible dans un coin reculer de toute civilisation, le fait que cette personne soit là n’est que par pure choix, voulant se faire oublier un peu de temps histoire de recommencer de plus belle. Cette pause était nécessaire. Divers rencontre ont fait qu’il devait s’éloigner quelque temps de Mahora. L’être concerner par ses faits est un vulgaire petit garçon d’apparence seulement. Ce petit garçon est quelqu’un que l’on n’aime pas rencontrer pour diverse raison mais ceux qui ne le connaissent pas se font souvent avoir par son apparence malgré qu’il prévienne lui-même de partir avant qu’il ne soit trop tard. Trop tard pour quoi ? Et bien, le ton qu’il utilise pour vous parlé alors que vous êtres un adulte vous fait croire qu’il n’a aucune éducation, donc il faut le remettre à sa place en tant que gamin de son âge, c'est-à-dire 13 ans ici. Son apparence d’un gamin de treize ans n’a rien à voir avec une éventuelle tromperie. Pour savoir pourquoi il possède cette apparence il faut simplement connaître son histoire que personne ne connait entièrement mais que plus ou moins tout le monde connait les principales lignes. Il est facile à savoir qu’un n’est pas d’ici. Sa façon de vous parler en vous nommant Terrien on pourrait le croire totalement fou.

Ce gamin est plutôt étrange non pas par la taille mais par l’apparence physique anormalement constitué pour tout terrien cherchant la logique. Quand il dit lui-même que c’est un albinos on cherche tout de suite savoir pourquoi il n’est pas comme les albinos que l’on connait sur Terre. Ses yeux sont jaunes, alors que la couleur du sang humain est rouge donc il devrait avoir des yeux rouges mais pourtant le fait que se ne soit que cette couleur n’est pas celle de d’habitude est à voir avec sa véritable origine extra-terrienne, ailleurs que sur Terre. Après le reste de son corps rien à redire, cela prouve très bien qu’il est albinos. Ses cheveux blanc et cette peau pale caché par une couche de vêtement un peu bizarre constituer d’un pantalon rien de plus simple avec une chemise sur une autre, celle au dessus fermé par deux ficelles entrecroisées de façon répétitive de haut en bas, et pour finir d’une cape noir à capuche qui n’est pas sur sa tête. Il ne cherche pas à se cacher, seulement à se faire oublier de quelque personnes en intérieur de Mahora, ce campus regroupant d’une partie de ses cibles. Pourtant personne ne semble au courant de qu’il a l’intention de faire, sauf deux trois personnes qui ont survécu, cela fait maintenant deux mois.

Deux mois que Duscisio et Toribrioé se sont fait oublié du Campus ne cherchant pas à revenir pour le moment, ils observent les lieux de très loin sans voir les événements importants qui se passent à l’intérieur. Contre un arbre, respirant l’air de la montagne sur laquelle ils sont perchés à plusieurs centaines de la surface de la mer. Restant calme est silencieux, ne prenant pas compte du temps qu’ils restent au même endroit. La solitude dans les montagnes semble porter ses fruits. Même si il n’avait pas se projet personne ne viendrait le cherche dans un lieu aussi reculé du Campus en sachant que ses habitants sont protégé par une barrière magique. Qui sait. IL se trouve peut être que maintenant la barrière ne le laisse plus passer, c’est un partit pour ça, qu’il reste ici, se posant cette question de savoir s’il peut y retourné pour mettre fin à son œuvre dans la plus grande discrétion.