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 La maison qui n'était plus là. (Satsu)

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Atios
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La maison qui n'était plus là. (Satsu) _
MessageSujet: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyVen 30 Oct - 18:35

La belle maison qui s'était un jour dresser ici n'était plus. Une sensation de manque était perceptible au passage près de la zone. Le jardin n'était plus entretenue depuis longtemps. Mauvaise herbe à foison remplacer la vivacité qui avait autrefois arpenter ces lieux. Le ciel était plus terne par ici. La joie de vivre avait disparu. La magie de la vie avait quitter ces lieux. Les animaux éviter cette zone. Seul la mélancolie d'une disparition était rester là. Les arbres que le propriétaire chérissait jadis était mort depuis longtemps. Ici, tout n'était que mort, tristesse, désespoir & désolation. La maison en elle-même, glorieuse bâtisse ériger par les goûts luxueux d'un être qui avait disparu, n'était plus qu'une ombre, avide, effrayante, d'elle-même. Même les morts éviter l'endroit. Les élèves de Mahora organiser souvent des tests entre eux, des intrusions dans cette endroit devenu maudit, pour tester leurs limite. La folie de celui qui avait créer l'endroit, en son absence, était devenu malveillante. Ici, l'esprit humain était la proie de la haine d'une créature puissante, qui s'était apparenter à l'Homme, pour éprouver la beauté d'une vie. Son désespoir n'avait d'égal qu'à son impulsivité. Certes, il avait fait d'horrible chose. Il avait tester les limites de la conscience qu'un humain peux avoir entre le bien et le mal. Il avait avec joie, et dédain, tester les deux extrêmes. Cet être, grand, puissant, mais aussi facétieux et qui braver les dieux, et les volontés d'être supérieur avec plaisir. Certes, sa légende n'était que peu connu des gens de ce monde. Mais sa légende n'était pas éteinte. Certes il avait menacer cette terre par caprice. Certes il avait blesser des êtres insignifiants, des humains. Mais certes, il avait aussi montrer qu'il n'était pas qu'un être mauvais, et avait protéger cette terre. Aussi paradoxale cette légende est-elle, cette être avait quitter cette dimension. Cette être avait disparu, un beau jour. Ce monde, composées de mille emprunte d'être se battant pour vivre avait senti la perte d'une emprunte de géant, qui avait autant de bonne que de mauvaise influence sur eux. Les Humains l'avait senti. Une oppressante présence avait disparu. Mais une présence qui avait su leurs prêter main-forte dans leurs actions.

Mais ce temps était révolu, cette narration éculée... Etait-ce une félicité, ou un auguste malheur ? Tel un raz-de-marée, en cette période de vacance scolaire, un éclair avait frapper la planète bleu. Et la vague de son aura était revenu. N'importe qui l'aurai entendu, l'aurai ressenti. Autant le plus petit écureuil que le ver de terre. Son joyeux retour inspira le bonheur dans chaque âme. Certes, cette influence n'était que mineure, mais il était heureux de pouvoir contribuer aux bonheur d'autrui, gratuitement. Il avait revu son rival et son neveu ... enfin, façon de parler, bien sûr. Mais il était tonton Atios après tout. Il aimer Lan, et y voyait un grand homme, dans le futur. Enfin, il n'était qu'un Humain à moitié à présent... Sa mère était une créature encore plus obscure qu'Atios, et même lui qui avait un caractère quand même un peu pourri, il avait rencontrer bien pire. Enfin, la future mère était moins ... chiante que la version qu'il avait rencontrer à son arrivé, mais quand bien même, elle savait se battre, et même lui avait de sérieux ennui pour espérer atteindre la victoire .. La ruse était la seule voie pour pouvoir combattre cette dernière. Mais passons. Peu de temps après, il avait décider de se retrouver une habitation. Son ancienne et modeste chambre d'étudiant étant louer, il retourna là où sa magnifique maison où il avait peu habiter, siéger. Il passa en escaladant la grille, sinistre, pour attérir dans le jardin à la terre morte et aux herbes envahissante. La lueur dorée qui brilla la nuit taillada les herbes, calcinant ces dernières. Le sol fut enfin à découvert. Les insectes avaient déserter le sol depuis fort longtemps. Il pénétra dans ce qui fut un jour son antre. Là il se remémora une scène, avec une vampire qu'il aimer beaucoup, mais qui semblait être parti... il se posa sur le canapé, rapiécer à présent, et fixa, un cadre, qui était parvenu jusqu'à ces mains après qu'il ai user de télékinésie pour l'aspirer. Il frissonna à la vue de la photo. Son corps refroidi, son coeur, si méconnu, accéléra. Il cligna des yeux alors qu'une goutte salé tomba sur le cadre, soulevant de la poussière à l'impact. Il soupira, et sécha ses larmes.

- Où que tu sois Misoka, au moins je sais que tu va bien. dit-il en examinant le cadre et en caressant avec mélancolie la photo. Son départ lui avait fait perdre sa meilleure amie. Même si beaucoup la prenait pour une folle et une violente, il savait qu'elle portait un douloureux passé et c'est pour ses raisons qu'il la trouver très courageuse. Maudite et pourtant si vivante. Elle était comme un tournesol, se tournant vers le soleil, sans jamais abandonner. Et il l'avait perdu. Cela lui serra la gorge encore plus. Mais quelque chose attira son attention. Un craquement à l'étage du dessus. Il reposa le cadre et monta en silence, sur ses gardes. Il n'aimait pas les surprises. Et que vit-il ? deux fille qui se tenait et regarder avec horreur une créature de forme humaine, des pupilles rouges, et un teint blanc. La créature aller trancher ces deux pauvres innocente si Atios n'avait téléporter ces jeunes filles derrière lui. Le bras du démon s'approcha vers Atios pour le griffer. La lumière dorée réapparu alors, Atios la brandit vers le démon. Le bras tomba alors, trancher. Atios s'approcha alors que la créature tomba à genou en hurlant de douleur alors que la poussière noire tenter en vain de se reconstituer. Excalibur avait une brûlure insoutenable, pour n'importe qui. Atios regarda son adversaire. Il leva la lame à la lumière doré. Devait-il libérer l'âme corrompu qui était autrefois humain ou la purifier ? Atios plongea dans l'âme de cette créature. Cette dernière voulu tout de suite l'avaler. Atios chercha l'infime partie d'Humanité à l'intérieur de la créature. Et il inversa la tendance. Le démon avait été purifier. Pas entièrement, puisqu'il n'avait pas tuer physiquement la créature. Atios téléporta le démon en enfer. C'était à l'âme du jeune homme de décider de ce qu'il ferait de son corps. Il se retourna vers les jeunes filles, par terre, effrayé autant par leur sauveur que la créature qui avait disparu. Atios sourit. Elles s'endormirent. Il les téléporta dans leurs chambres respectives, dans leurs lits.

Il était grand temps de rendre à cctte endroit sa gloire d'antan. Aussitôt il l'eut décider, aussitôt la maison se métamorphosa en son antithèse. Richement décorée, la nature, revenue, les meubles de nouveau propre. Atios se jeta sur son canapé et ralluma sa télévision, la chose la plus abrutissante qu'ai fait l'Homme, mais qui permettait de savoir les niouzes partout sur terre sans avoir à lire, et là, même lui avait envie de dormir... mais quelqu'un approcha du mini-domaine.
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Satsuki Yotsuba
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La maison qui n'était plus là. (Satsu) _
MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptySam 31 Oct - 9:18

HJ Bon, je préfère prévenir, ça risque tout de suite d'être bien moins long que ton post de départ.^^" Aussi, si ça te dérange pas, je vais utiliser Tama-chan, j'me sens plus inspirée avec lui... Si ça te dérange dis-moi, et je referai mon post avec Sacchan~. Well, pour l'instant, wet's go... (P. S. :Tant que j'y pense, dis-moi aussi si le vert te fait mal aux yeux, j'pourrai toujours l'enlever. XD)

~~~ 


Ha...

Pas question de rentrer là-dedans. Pour l'instant, Tamao en était encore aux questions du genre "comment il a fait ça?", et Dieu savait qu'il y avait lieu de la poser, cette question-là. Pour le désherbage intensif, pour le sauvetage de ces filles, et ensuite leur changement d'état pour passer de l'éveil au sommeil et puis paf, tout d'un coup, elles avaient disparu et puis repaf, tout d'un coup, la masure qui se tenait là jusqu'à présent était devenue un vrai domaine luxueux. En un clin d'oeil... Mais quel genre de fou est capable de faire un truc pareil? Avant d'arriver à Mahora, Tamao se serait dit dans une situation pareille qu'il était en train de rêver. Mais à présent, dans ce moment précis, il ne songea même pas à se pincer. Cet endroit-là était une école folle bourrée de fous, et lui-même y était devenu fou, voilà tout. Tout ça... C'était rien que d'ordinaire en somme. Autant ne même pas se poser la question de comment tout ça était arrivé, on lui répondrait que c'était un jeu d'enfant et il n'en croirait pas ses oreilles. Mais une autre question avait fini par survenir, aussi...

*Mais... Mais qu'est-ce que je fais là?*

Bonne question... Et d'ailleurs depuis combien de temps Tamao se trouvait-il dans cet endroit, près de cette maison qui venait de renaître de ces cendres? Depuis quel instant exactement sa journée avait-elle à nouveau sombré dans la folie habituelle de l'école Mahora? Remontons quelques minutes en arrière.

Tout commençait par des tests habituels, la routine de Tamao, se livrer à des expériences tardives en pratique directe avec ses machines customisées. Toutes gravitaient étrangement autour de ce même but de voler, un but qui tenait apparemment vraiment à coeur au petit binoclard, et toutes finissaient par foirer. Comme d'habitude, badaboum. Tamao avait dû se livrer à un atterrissage forcé en plein milieu des quelques bois ou clairières à proximité de la maison d'Atios. Autant dire en terre inconnue... Or, lorsqu'il s'était relevé, et il ne devait réellement pas être tombé loin pour ça, ses sens s'étaient réveillés. Les affreux sens dont il s'était retrouvé affublé par la force des choses, et qu'il ne comprenait toujours pas. Une odeur lui avait chatouillé les narines, l'odeur habituelle du sang ; de la chair carbonisée, aussi, mais du sang ; pas beaucoup, et même pas du sang humain, non, du sang de démon, mais du sang quand même... Et quand il s'agit de cette odeur-là, un vampire a l'odorat sensible. On songe à la façon dont Kyoya Kohori, qui lui-même était un vampire qui s'y connaissait foutrement en matière d'odorat, était venu renifler au niveau du cou de Tamao à leur première rencontre... Oui, l'odeur du sang, inévitablement, c'était quelque chose d'attirant. Dégoûtant, pas vrai? Mais on n'y peut rien.
Alors les jambes frêles de Tamao s'étaient mises à courir toutes seules. Sans même le réaliser vraiment, sans l'avoir décidé explicitement, le garçon courait dans la direction d'où venait l'odeur, comme un animal, instinctivement, terriblement instinctivement... Et puis tout cela l'avait conduit à ce qui n'était encore que la masure d'Atios. Et puis plus rien. Son petit oeil myope, à la vision affûtée par l'excitation générale provoquée par cette fameuse odeur, avait tout juste eu le temps de distinguer les choses qui disparaissaient. Les deux filles qui s'étaient endormies allez savoir comment, et avant elles, le corps du démon au bras tranché, d'où se répandait cette odeur plus forte encore, âcre, qui prenait à la gorge, cette odeur de sang, de chair brûlée... C'est la nuit après tout, le vampire ne demande qu'à sortir, et on lui enlève ça... Cette source odorante... Même un tout petit peu, qu'est-ce que ça aurait été bon... Mais non. Plus rien.


*Disparu... Comment il a...?*

Et le petit Tamao reprenait déjà un profil un peu plus humain. T'aurais pu tomber pire, Atios. Tama-chan est un petit gars timoré et lâche qui n'ira pas te faire la morale, parce qu'il a bien compris que tu étais quasi-omnipotent, surtout comparé à lui... Eh oui, si Tamao avait déjà plus de puissance que Satsuki, par exemple, qui aux yeux d'Atios n'avait peut-être absolument rien d'intéressant puisqu'elle ne savait pas, n'aimait pas se battre —mais rien n'était moins sûr ; cette fille-là étant étonnante, on pouvait penser tout d'elle, sauf qu'elle était une fille "banale"—, donc si Tamao avait déjà plus de puissance que cette chère Sacchan, il n'était encore qu'une fourmi comparé à certaines grandes puissances, et Atios, qui venait de redonner à sa maison ses dorures d'autrefois, et ce sans rien faire quasiment, était là pour prouver ce fait. De toutes façons, à présent que l'odeur était partie, notre petit binoclard faiblard mais attachant avait pu reprendre un minimum ses esprits, et il essayait de comprendre comment il avait pu se retrouver là. Comment avait-il fait pour se retrouver ici, abandonnant sur place sa machine tombée à terre, qu'est-ce qui lui avait pris?

*Je... J'aime pas ça, j'aime pas ça... Je connais ce gars, je l'ai déjà vu, je connais son nom... Je crois... Qu'il a été sympa avec moi, mais... Y a quelque chose qui me fiche la trouille...*

Et donc, hors de question de se montrer. Tamao s'était donc planqué le long du mur, en tremblant un peu, encore pas très à l'aise à cause de ce qui venait de se passer dans sa tête un instant plus tôt. Cette odeur qui l'avait rendu fou... Et à présent, s'il tentait de s'enfuir de cet endroit, ça aurait l'air suspect... Mais quoi faire alors? Demander des renseignements à Atios, qui avait lui-même fait disparaître la source de cette odeur sans que Tamao comprenne le pourquoi du comment, il devait bien savoir, Atios, lui demander à lui? Mais comme Tamao venait de le penser, ce gars-là, qui était capable de tant de choses, lui fichait une certaine frousse. Oui, ce mec avachi, ensommeillé, sur son canapé, et la télé allumée, ce mec-là fichait la trouille à Tamao, une trouille bleue. Si on ne s'en tenait qu'à l'instant présent, bien sûr, on ne comprendrait pas. Mais comme nous connaissons l'"avant"...

Bon. Pour l'instant Tamao se planquait donc le long du mur, de l'autre côté, et en innocent petit curieux qu'il était, il jetait des coups d'oeil réguliers par l'une des ouvertures, la plus proche, histoire de voir ce qui se passait à l'intérieur, si ce type qui paraissait si changeant allait recommencer ses tours de passe-passe ou non... Chose idiote que de se cacher, Tamao, Atios il a déjà senti ta présence. Il savait que quelqu'un approchait, ou avait approché. Alors à quoi bon se planquer? En désespoir de cause. Ou bien par simple innocence, dans tous les sens du terme... Pour l'instant, Tama-chan attendait surtout de voir ce qui allait se passer.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptySam 31 Oct - 14:48

HG : On s'en fou de la longueur, tant que ca te fait plaisir d'écrire ô_ô

Le démon libérer, les filles téléporter, Atios senti la présence d'une âme, minuscule comparer à la sienne, mais plus grosse que la moyenne humaine. Cette dernière semblait être terrifier, mais Atios ne montra aucune signe de surprise, restant impassible. Enfin; une dizaine de seconde. Il soupira et disparu. Il toucha l'épaule de Tamao, soudainement, avec brusquesse.

- Bouh.
dit-il. Il avait changer son visage en ce qui caractérisait la plus grande peur de Tamao, avec une illusion peu puissante, peut-être même possiblement à la portée de ce dernier. Mais l'effet de surprise risquait de filer du fil à retordre au pétochard bleu qu'étais Tamao. Mais après quelque seconde il dissipa son sort.

- Tu ne devrais pas te cacher sans que j'ai dis à mes garde-fou de te laisser en vie. Immagine que tu t'approche de mon laboratoire... dit-il, le regard pincé. En effet, dans le sol, plusieurs formes blanches apparurent, avec des halo au dessus de leurs tête. Les seules choses qu'on pouvait voir c'était leurs yeux. Les autres détails n'était pas préciser. Deux yeux rouge, et exclusivement rouge. Atios avait soupirer au moment où il avait dit à ses garde-fou de ne pas attaquer. Aussi soudain qu'ils étaient apparu, ils s'étaient volatilisées. Atios mis sa main devant le visage de Tamao.

- Tu semble avoir faim. Tu devrais apprendre à te retenir. M'enfin ... si tu à tant que cela soif, autant que je te nourrisse, sinon tu risquerai de sauter sur la première coupure de n'importe quelle personne. Atios ouvrit son autre main et une fiole rouge apparu. Il la mit dans la main de Tamao avant de redisparaître sur son canapé, en l'invitant à rentrer.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptySam 31 Oct - 18:50

GUIAAAAAAH!

Première réaction face à l'illusion d'Atios. Tamao s'était immédiatement recroquevillé sur lui-même, se cachant les yeux, terrifié par cette vision d'horreur qui était pourtant montée de toutes pièces, ce qui lui faisait le plus peur... Et comment il savait, d'ailleurs, ce type, ce qui faisait le plus peur à Tamao?

*Tout ça est dingue, tout ça est dingue, il y a pas d'autre explication, tout ça est complètement dingue... Je suis devenu tout à fait fou...*

    - Tu ne devrais pas te cacher sans que j'ai dis à mes garde-fou de te laisser en vie. Immagine que tu t'approche de mon laboratoire...


Tamao finit par lâcher un tout petit regard timide, craintif par-dessus ses deux grosses mains appuyées contre son visage. Il fallait bien qu'il daigne regarder, après tout on lui adressait la parole... Et puis survirent ces espèces de trucs blancs, dans le sol, ce qu'Atios semblait désigner par ses fameux "garde-fous". Tamao regarda en bas, et frissonna, avant de cacher à nouveau un visage un peu répugné vers ces choses étranges, les jambes flageollantes, tremblant comme une feuille. Non, décidément, qu'est-ce qui lui avait pris de se mettre à courir soudain, courir après une bête odeur, une odeur qui avait disparu en plus, tout ça pour se fourrer dans un pétrin de plus... Car assurément c'était un fichu pétrin que celui-là! Qu'est-ce que c'était que cet endroit? Qu'est-ce que c'étaient que ces trucs, comment ce gars-là pouvait-il faire tout ça et qu'est-ce que...

Huah!

Le binoclard se retrouva coupé dans ses pensées. Atios venait de mettre sa main devant sa figure, avant de parler d'autre chose. De faim. Tamao déglutit, puis grimaça carrément. Beurk, pas ça, pitié, ne me dites pas que... Apprendre à se retenir. Et puis quoi encore, est-ce de ma faute? C'était un Tamao désespéré et emprunt d'un sentiment d'un justice qui se retrouvait là devant Atios, la langue liée, et du coup sans aucun moyen de protester d'une quelconque manière. Trop peur, bien trop peur. Il avait de plus en plus envie de s'enfuir, loin, loin de cet endroit de cauchemar où il n'aurait jamais dû se retrouver, quand il eut droit à une surprise de taille...

...Huw...

Cette fois, ce n'était plus l'odeur, c'était la couleur elle-même, cette chose qu'on venait de lui mettre dans la main, ce liquide à l'intérieur, qui coulait, souple et royalement rouge, chaud peut-être, mais en tout cas tellement beau, ça avait tellement de grâce, un liquide pareil dans une fiole... Une fois encore Tamao avait perdu le contrôle de lui-même, en l'instant présent. Complètement hypnotisé par l'objet qu'on venait de lui mettre devant les yeux, il commençait doucement à s'oublier tandis qu'il s'exaltait dans sa contemplation... Tamao, Tamao le petit humain terriblement humain, le petit froussard et pervers à lunettes, la tête de taupe? Nooon, connais pas... Rien du tout... C'est qui Tamao? J'ai soif... Moi, j'ai soif, vraiment soif, j'ai faim, et merde, j'en ai envie, de ce sang devant moi, mais qu'est-ce que j'en ai envie... Oui, la renaissance des instincts dura un court instant, et puis les canines de Tamao s'allongèrent lentement, alors qu'il fixait toujours la fiole pleine avec ces mêmes yeux hagards... Et puis, finalement, n'y tenant plus, dans un geste furtif, il déboucha la fiole et la vida cul-sec, avec une terrifiante avidité. Une véritable explosion de plaisir dans le corps de Tamao, mais qui comme tous les plaisirs fut de courte durée... Alors que l'échine du petit vampire était parcourue d'un long frisson qu'il tenait plus que tout à prolonger, il se mit à lécher les bords, s'essuyer le menton des mains et lécher ses mains, partout où il pourrait en sentir encore, cette odeur, ce goût-là, on n'en avait jamais assez...

...Et puis finalement, alors qu'il était encore occupé à passer sa langue sur le goulot de la fiole, Tamao daigna enfin regarder Atios à nouveau. On l'invitait à entrer? Eh bien! Il s'avança de quelques pas, sans abandonner sa besogne autour de la fiole. Autour de la langue rose qui dépassait, une espèce de rictus se forma, un beau reflet de la personnalité que Tamao prenait à chaque fois qu'il s'était bien enivré de sang frais... Oui, c'était comme un alcool et ça le changeait un peu, et la façon dont il le supportait, ça le rendait peut-être plus sûr de lui, mais aussi plus arrogant et mesquin. Alors on se décida enfin à répondre. Il n'y avait plus de peur. Simplement le plaisir et l'excitation dans la recherche d'un prolongement de ce plaisir. Beurk, c'est dégoûtant. Mais c'est ainsi que sont les vampires... En tout cas, Atios allait enfin pouvoir arrêter de monologuer, maintenant que le jeune garçon semblait avoir retrouvé l'usage de la parole.


Hin... C'est pourtant vrai ce que tu me disais, que tu allais me nourrir... Je me souviens t'avoir entendu dire ça il y a un bout de temps déjà.

Un coup de langue ; un nouveau regard.

Et c'est plutôt la classe, mazette! On vous sert ça dans des fioles, ici? Je te tire mon chapeau. Ça fait très chic.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyDim 1 Nov - 17:34

- Mettons que je peux créer du sang à partir de rien. dit-il en regardant Tamao d'un oeil. La télévision parler, mais personne ne l'écouter. Pas même celui qui, en premier lieu, l'avait allumer. Il faudrait vraiment que je t'apprenne à résister à cette soif de sang. J'ai quelque méthode, mais pour toi, ce serait une pure torture. Comme ... te retenir pendant une année dans une autre dimension, au dessus d'un bassin de sang, et en t'empêchant d'y plonger. Génèralement, au bout de quelque mois, le vampire arrive à contrôler sa faim, pour éviter d'hurler à la mort en étant torturer par la soif. Mais je n'aime pas cette méthode, bien qu'elle marche. C'est pourquoi je ne l'utiliserai pas. Mais, petit tu sais, y à pas des gens aussi gentil que moi par ici. Mettons qu'un de ces pompeux mage humain te voit, il n'aura aucune pitié. L'Humain est si pitoyable.. souffla-t'il sur un ton à la fois hautain mais aussi tranchant.

Atios disparu alors, dans son laboratoire. Ce lieu secret, dans un espace inconnu de tous, une dimension proche de celle-ci, relier par la force à cette maison. Une porte, située après un escalier de bois richement ornée de symbole magique luisant, s'ouvrit alors. La même personne qui avait disparu remonta alors. Il avait un verre dans sa main. Un verre à champagne, une flûte. Rouge, remplis d'un liquide rouge. Et d'une autre côté, une bouteille où une étiquette était inscrite. On pouvait y lire : " Larmes de vierge". Elle contenait du sang. Alors, il posa le verre sur la table basse, vers le petit vampire. Il finirait par ne plus ressentir le besoin de sang, s'il était rassasié. La porte se referma au moment où Atios posa la bouteille sur la table.

- Hin... C'est pourtant vrai ce que tu me disais, que tu allais me nourrir... Je me souviens t'avoir entendu dire ça il y a un bout de temps déjà.

La peur avait disparu de cet être, avec l'apparition du vampire. Il sentait la morsure d'une amie qui était occupée ailleurs. Il sourit, pour lui-même. Il était loin de se contrôler, les deux tamao qui n'était en fait qu'un était loin de l'Harmonie. Les deux personnalité en était la preuve. Etait-ce un avantage ? Pour cette être aussi trouillard, c'en était un. Cela allait lui permettre de grandir. Bien qu'il était faible comparer à lui. Très faible.

- Et c'est plutôt la classe, mazette! On vous sert ça dans des fioles, ici? Je te tire mon chapeau. Ça fait très chic. dit-il, l'arrogance transpercent les mots.

Atios le regarda en souriant. Il était certes un peu impulsif, mais il aller être compatissant.

- Mais quel effroyable petite chose fait-tu. Je pourrais te briser juste en claquant des doigts, vois-tu; Et quand je dis briser, c'est qu'il me faudra nettoyer les tâches que tes organes auront fait à mon mobilier. Dit-il, en le regardant, tout à coup froidement, droit dans les yeux. En cet instant, leurs âmes se confrontèrent. Atios, gargantuesque, titanesque, entourer celle du petit vampire, minuscule, et si infime par rapport à lui. C'était comme si Atios aurai pu le dévorer sans laisser de trace de l'existence d'un certain Alejo Tamao. Même le plus grand arrogant aurai fini par avoir froid dans le dos, même en le dissimulant. Atios relâcha la pression qui s'était exercer autant sur le corps que l'âme et l'esprit du petit être. Atios lui sourit.

- Ce n'est pas comme si tu est en mesure d'abuser de ma patience alors que tu profite de mon hospitalité, vampire. C'était un avertissement, froid, très froid. C'est comme si la faux de la mort lui était mise dans le dos, prête à le faucher, s'il dépasser les bornes de de la si petite patience d'Atios. Il avait de la patience pour les filles qu'il aimer, un ingrat ne pouvait n'espérer que très peu sinon le trépas.

Suite à la situation devenu très tendu, une bouteille de coca cola apparu, et versa un verre en cristal dont Atios se saisit, avant de le vider, en poussant un soupir de plaisir. Il n'avait pas bu depuis quelque millénaire... (qu'il avait passer dans des dimension où le temps est beaucoup plus rapide qu'ici.)
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyLun 2 Nov - 5:40

Ah. Un pas en arrière, Tamao, un... Le petit vampire baissa les yeux, ses yeux qui dans cette transformation à peine perceptible avait pris un aspect bizarre, alors qu'il tirait carrément une tête d'enfant qu'on gronde, qui essaie de calmer l'adulte qui le gronde en lâchant une expression penaude. Il était mignon, décidément. Ouais, même après avoir vidé tout une fiole de sang bien rouge, il était encore mignon. Attachant. Même s'il était très laid, très faible et pétochard, il avait encore ça pour lui. C'était pas grand'chose, et souvent ça ne lui servait à rien, mais on s'en accomodait.

Oh, ça va... Je le sais bien, que je ne vaux rien par rapport à toi... Toi, tu fais quasiment apparaître une maison sans même faire le moindre geste, tu fais apparaître à boire, tu fais apparaître des verres et tu fais disparaître les gens... Ça doit être bien amusant, c'est sûr, quand on sait faire tout ça... Moi, j'ai tout juste de la chance que tu m'aies pas déjà tué par caprice, pas vrai?

Tamao vint alors s'asseoir sur la table basse, là où il était sûr de ne rien renverser. Pas assis comme un être humain, en laissant traîner ses jambes par terre, ni même assis en tailleurs, non, tout juste assis sur la table... Carrément comme un chien, ouais, comme une sorte de chien qui montait sur un meuble, les pattes de devant posées sur le plat de la table, les jambes le long, repliées sur elle-mêmes et le dos tantôt droit, tantôt voûté sur le dessus, ça dépendait de ses attitudes... Les vampires ont cette particularité que de se comporter de manière beaucoup plus animale que les humains. D'ailleurs la faculté de métamorphose de certains, avait quelque chose d'animal aussi... Ou ces instincts bestiaux... Bref, Tamao était là, assis comme un chien sur la table basse, avec son air pitoyable, à considérer un Atios qui montrait, semble-t-il, bien plus de dignité, en buvant son coca-cola dans son verre en cristal... Tout ça, il l'avait fait apparaître comme ça...

En même temps, j'ai pas choisi d'être comme ça... Enfin, pas vraiment... Oh, je suppose que ça a des avantages, mais il ne faut pas me tenir pour seul responsable du fait que je sois en ce moment un être assoiffé de sang... Un entraînement comme vous dites, c'est très peu pour moi, merci bien, je ne vais pas en plus tirer du désavantage de mes conditions, même un désavantage passager, alors que toi, qui sait, tu ne dirais peut-être pas non si ça te permettait de devenir plus fort, hein?

L'attirance provoquée par le verre de sang qui faisait de l'oeil à Tamao sur la table commençait à se faire sentir. D'ailleurs estime-toi heureux, Atios, à ses débuts il se serait jeté dessus sans autre forme de procès, et immédiatement, et il en aurait cherché encore. Déjà là, il montrait davantage de retenue. Mais apparemment ça ne durerait pas bien longtemps. Tamao s'empara du verre d'un geste tremblant, tremblant à cause de l'excitation, et daigna finalement lever les yeux des reflets rouges pour accorder encore un léger regard à Atios, avec un sourire décidément arrogant, dans cet état il avait bien du mal à s'en défaire... Tamao, inconscient que tu es...

Alors désolé... Désolé si je préfère aller faire des léchouilles aux cous de cire dans l'ombre plutôt que de tirer de la gloire à exploser les crânes des gens d'un claquement de doigts. L'humain lâche que je suis aurait plutôt honte d'être coupable de tels massacres, à la vérité.

Et sur ce, Tamao pencha la tête vers le verre à champagne et y plongea profondément la langue, presque comme pour embrasser quelqu'un —et d'ailleurs, dans son état, ça semblait avoir pour lui la même intensité—. Ses joues avaient pris une légère teinte vermeille, et il continuait de trembler un peu en ressentant l'attrait du sang sur sa langue. On pouvait donc éprouver de telles sensations? Cependant, attention à ce que tu dis à Atios, Tamao, parce que non seulement il pourrait se vexer et ça pourrait chauffer pour tes fesses, mais en plus de ça, tu sembles passer outre l'attrait du mal... Le fameux attrait du mal qui aurait pu tenter même un bon petit gars comme Tamao, qui sait... Enfin, espérons plutôt le contraire, ça amuserait bien trop de sadiques que de voir Tamao faire n'importe quoi. Sa transformation en vampire, c'en était déjà assez comme ça...
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyLun 2 Nov - 16:46

- Oh, ça va... Je le sais bien, que je ne vaux rien par rapport à toi... Toi, tu fais quasiment apparaître une maison sans même faire le moindre geste, tu fais apparaître à boire, tu fais apparaître des verres et tu fais disparaître les gens... Ça doit être bien amusant, c'est sûr, quand on sait faire tout ça... Moi, j'ai tout juste de la chance que tu m'aies pas déjà tué par caprice, pas vrai? dit-il, sur un ton tout aussi arrogant. Et bien que son avertissement avait été reçu, la nature de cette transformation était plus forte que sa raison. Et même plus fort que le subconscient de ce petit vampire. En effet, certains aurait déjà pris leurs jambe à leurs cou. Il restait là, à subir. C'était amusant. Mais il était aussi très énervant. Soit il avait trop d'audace (excédant la témérité à ce niveau là), soit il était inconscient. Il le regardait d'un air mignon, mais Atios n'éprouvait rien. Sa patience était mise à rude épreuve, cela était les raisons. Atios l'observait comme on observer un rat. Un rat qui vient sur sa table. Comme un clebs. Les vampires étaient soit gracieux, soit ils ne se contrôlaient pas. Dans la plupart des cas ils ne se contrôler pas. Atios en avait un devant lui. Il examiner les regards de Tamao.

- En même temps, j'ai pas choisi d'être comme ça... Enfin, pasvraiment... Oh, je suppose que ça a des avantages, mais il ne faut pasme tenir pour seul responsable du fait que je sois en ce moment un être assoiffé de sang... Un entraînement comme vous dites, c'est très peu pour moi, merci bien, je ne vais pas en plus tirer du désavantage de mes conditions, même un désavantage passager, alors que toi, qui sait, tu ne dirais peut-être pas non si ça te permettait de devenir plus fort, hein? Cette remarque fit sourire Atios.Tamao venait de poser son verre. Il leva son index, souleva le pauvre Tamao avant de l'asseoir sur une chaise qui venait d'être trainer d'une pièce voisine. Atios relâcha sa prise sans un mot. C'était clair que si Tamao bougeait, il allait être moins doux.

- Oh, tu sais, tout forme de vie cherche à devenir plus fort. Pourquoi tu as appris à marcher, selon toi ? Parce que si tu ne marchais pas, tout le monde aurai pu te déplacer sans que tu n'ai le choix ... Si ta médiocre espèce est là aujourd'hui, car même si elle ne s'en est pas rendu compte, que ce soit la nature ou leurs volonté, que ce soit sur le plaan psychique, logique, scientifique, ou physique, chaque vie cherche à devenir plus fort. Moi, je suis simplement quelqu'un de lucide. Enfin. Vos prétendu dieux existe vraiment. Les façons de devenir plus fort sont grande. La foi, l'entrainement, l'absorption de source de pouvoir, l'évolution. Mon meilleur amis se nomme "Dieu" avec un D majuscule. Enfin là j'ironise. Qu'importe, chaque génération d'être qui naît deviendra plus fort. C'est une loi de la nature. Elle est valable universellement, qu'importe la dimension.
finit-il, en souriant. Il était arrogant, il le savait, mais c'était loin d'être son soucis. Il était sûr de lui et à moins de lui prouver avec des preuves irréfutables, il continuerai de croire en sa théorie. Alors désolé... Désolé si je préfère aller faire des léchouilles aux cous de cire dans l'ombre plutôt que de tirer de la gloire àexploser les crânes des gens d'un claquement de doigts. L'humain lâche que je suis aurait plutôt honte d'être coupable de tels massacres, à la vérité. Mais vois-tu, si d'un point de vue humain, je devrai en avoir honte, d'un point de vue chaine alimentaire, je ne devrai avoir aucun remords. Si j'absorberai la magie de cette planète, et tout ce qui y vit, là je crois que j'aurai des remords de ne pas avoir laisser une probabilité de guérison. Crois-moi, je n'ai pas besoin de mes doigts pour gâcher ma tapisserie. Si mon "cerveau" décide de te faire exploser le tiens, à moins que le tiens n'ai assez de volonté pour s'en protéger, et donc la volonté de se protéger, tu risquerai d'y passer... Enfin, j'ai peut-être tuer certains de ton espèces, mais quand bien même j'ai sûrement sauver assez de vie pour ne pas m'en vouloir. Une personne contre des millions, il n'y à que dans les films américains que l'ont se torture l'esprit pour décider qui faire passer en priorité... Enfin, ils ont oublier aussi la possibilité de revenir dans le passé si l'option de l'unique personne s'avérait finalement la meilleur. conclut-il, en buvant son coca.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyMar 3 Nov - 6:32

Eh bien, si je suis venu pour tirer une leçon...

Main sur le genou, Tamao finit par vider le verre qu'Atios lui avait servi comme la première fiole, d'un seul coup, et un filet de sang coula le long de son menton. Quel horrible spectacle... Même si avec la tronche comique de Tamao, ça fait déjà un peu moins peur. Finalement le petit vampire reposa le verre vide sur la petite table, tout en se léchant les babines. Bon, se disait-il dans sa petite tête de vampire arrogant, ce gars-là est dans le genre orgueilleux et ça ne servirait à rien de se le mettre à dos, rien qu'à se faire tuer rien qu'avec un regard, peut-être bien.

Mh... Ceci dit... Tu marques un point. D'ailleurs pour ce que j'ai de mes souvenirs, les films américains sont bien dégueulasses sur la question de la personne.

Et qu'on se passe le poignet sur le menton pour essuyer le sang, et qu'on se lèche le poignet après, 'faut pas gâcher. À présent Tamao avait une belle traînée rouge sur sa manche orange. Ça serait un peu dérangeant le lendemain quand il cuverait, comme un poivrot se réveille d'une grosse cuite. Peu de souvenirs, et des indices horribles de ce qui s'est passé... Et plus que la honte après. Bon courage à l'avance, Tamao... Bon. Sauf que pour l'instant, Tamao s'en fichait un peu, il était en train de boire du sang et ça lui plaisait bien, d'ailleurs c'était plutôt luxueux, ce type-là semblait avoir du sang autant qu'il en voulait à servir, et pas seulement ça... D'ailleurs ça ne semblerait pas étonnant à Tamao qu'il puisse faire apparaître du sang de nulle part. Après tout, il l'avait bien fait avec d'autres choses, non? Et puis il avait dit lui-même qu'il pouvait "créer du sang à partir de rien"... Est-ce que c'était du vrai sang qu'il avait bu alors? Enfin, apparemment c'en était, puisque ça faisait le même effet... Et que ça fasse le même effet, c'était tout ce qui importait à Tamao. Mais cela n'empêchait pas la chose d'être intrigante. Et le petit vampire, bien que très satisfait et s'étant dit qu'il ne valait mieux pas trop insister, restait le Tamao curieux qu'il avait toujours été depuis tout petit, c'était dans sa nature et il ne pouvait s'en défaire. Alors, la question vint d'elle-même. Oh, tout de même, Atios n'allait pas lui exploser la tête pour une petite question, si?

Dis... Je connais ton prénom, qui n'a d'ailleurs pas l'air bien japonais, et je t'ai déjà vu à plusieurs reprises, mais je te connais encore trop peu pour savoir par quel miracle tu déplaces, fais apparaître et disparaître les choses, ou les vies, à ta guise. Tu fais apparaître du sang de nulle part et tu en disposes d'autant que tu veux, tu métamorphoses ta maison en petit nid de luxe, tu tues et ça te fait rire, et puis l'instant d'après tu sauves la planète d'on-ne-sait-quel cataclysme que nous autres ici-bas n'avons même pas eu le temps de soupçonner... Qu'est-ce que tu es exactement, pour disposer ainsi des éléments, de la vie et de la mort? Une sorte d'ange, ou de diablotin, quelque chose comme ça?
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyMar 3 Nov - 8:06

Atios souriait, imperturbable. Il semblait sans peur. Et sa seule peur était bien dérisoire par rapport à tout ce que quelqu'un comme lui pouvait craindre. Pas de mort naturelle, les plus puissants poisons connu n'avaient que peu d'effet sur lui, et les plus grave maladie restaient impuissante face à son corps. Le plus grand danger pour lui n'était que le peu de gens légèrement plus fort que lui, et bien entendu lui-même, et ses expérimentations pour le pouvoir. Il était du genre à ne pas se soucier des conséquences. Mais sa plus grande peur n'était autre que de ne plus avoir d'amis. Ironique et paradoxale quand on à assez de pouvoir pour s'en créer. Il tenait à certaine petite existence plus qu''à tout autre forme de pouvoir. Son plus gros point faible était indirect. Ses amis. M'enfin, n'importe qui l'ayant déjà vu en action savait qu'il était peu judicieux de l'énerver. Déjà que calme, il n'avait aucune pitié pour ses adversaires... enfin, Atios avait aussi des pouvoirs intéressant, comme la lecture des pensées d'autrui. Et même sens en arriver à quelque chose de précis, il était simple de deviner que l'être que l'ont nommer Tamao Alejo était assez malin pour contrôler son orgueil et réfléchir jusqu'à en arriver à cette avisée conclusion : il ne fallait pas se mettre à dos Atios. Ce dernier avait certes un tempérament capricieux (qui ne le deviendrait pas après des années de vie facilitée ?) et lunatique, le fait qu'il ai promis au directeur de protéger les élèves des périls extérieur tenait toujours. Il avait un certain respect pour ses promesses.

- Mh... Ceci dit... Tu marques un point. D'ailleurs pour ce que j'ai de mes souvenirs, les films américains sont bien dégueulasses sur la question de la personne. Conclut-il, sur l'exemple des films américains. Ce dernier, Tamao, continua de descendre plus bas dans ses instinct incontrôler, jusqu'à se léchouiller le bras devant Atios qui le regardait comme un animal de laboratoire. La comparaison était bonne, et si Tamao pouvait lui en apprendre plus sur les vampires, Atios l'aurai étudier avec joie. Hélas pour notre cher Tamao, notre être à l'apparence de jeune homme était las d'étudier toute sorte de chose. Atios était satisfait que Tamao le respecte enfin un peu, au moins par peur. C'était déjà mieux que rien. Et il semblait aimer le sang. Le verre se remplit sans même qu'Atios n'ai porter attention à celui-ci, confirmant la théorie d'Atios sur le fait que c'est bien le cerveau qui contrôler la magie d'un être, tout comme les autres membres, sens et méchanisme. Mais ce qui le fit rire, d'un rire léger, c'était bien que Tamao pensait qu'il allait le tuer. Atios en avait le pouvoir, mais Tamao avait saisi l'attention d'Atios, et comme un enfant capricieux, tant que l'intérêt ne retomberai pas, on pourrait dire que tout comme dans entretien avec un vampire, ici l'entretien avec l'être aux énorme pouvoir, ne se finirai pas en bain de sang. (Bien que cela n'aurait pas déplu aux vampire, aha.).

- Dis... Je connais ton prénom, qui n'a d'ailleurs pas l'air bien japonais, et je t'ai déjà vu à plusieurs reprises, mais je te connais encore trop peu pour savoir par quel miracle tu déplaces, fais apparaître et disparaître les choses, ou les vies, à ta guise. Tu fais apparaître du sang de nulle part et tu en disposes d'autant que tu veux, tu métamorphoses ta maison en petit nid de luxe, tu tues et ça te fait rire, et puis l'instant d'après tu sauves la planète d'on-ne-sait-quel cataclysme que nous autres ici-bas n'avons même pas eu le temps de soupçonner... Qu'est-ce que tu es exactement, pour disposer ainsi des éléments, de la vie et de la mort? Une sorte d'ange, ou de diablotin, quelque chose comme ça? demanda t'il, sans aucune peur et plein de curiosité.

- C'est une bonne question. Je n'ai pas honte de dire que j'ai déjà été l'un et l'autre. Mais la différence entre vous les hommes, c'est que les démons et les anges sont dans leurs nature déjà orientée sur l'échelle du bien et du mal. J'ai grâce à mes pouvoirs, un vaste choix de réincarnation possible. Je suis devenu quelque chose qui n'à pas de qualificatif. Appelle-moi comme tu veux, tout ce que je peux te dire c'est que ton espèce est pour l'instant la base sur laquelle je me suis réincarnée. Mettons que je suis une forme évoluée de l'Humain. Très évoluée. Une forme qu'ils n'atteindront jamais, car ils sont pour le moment intéresser par la technologie. Ils devront évoluer avec. Moi je me suis amuser à me servir des pouvoirs latents des hommes et à les améliorer. A un tout autre niveau que ceux que vous détenez maintenant. Parmis toute celle que j'ai pu expérimenter, c'est bien cette forme là la meilleure. Mais ma connaissance des arcanes y est pour beaucoup. Le corps ne fait pas tout. Ce n'est qu'un support. Mais je ne suis pas un égoïste; Ton espèce évoluera plus vite sous mon égide. Oui mon petit, ta condition de vampire te permettra de connaître le règne du président la terre, Atios. Je suis déjà en train de placer mes pions sur l'échiquier, et personne ne saurait m'arrêter. De toute façon, si je ne fais rien pour vous, votre planète est perdu. Atios avouer ouvertement ses projets à Tamao. Des projets, bien entendu, osées. Mais Atios avait cela dit sur un ton naturel, tout en continuant d'être joyeux et souriant. Et si Tamao parler trop, il avait plusieurs moyen de le faire taire .. à moins que ce dernier ne soit assez intelligent pour tirer son épingle du jeu.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyMar 3 Nov - 15:59

Bon, on ne peut pas dire que Tamao ait passé son temps à regarder Atios pour l'écouter attentivement. Il avait peut-être bien décrochés à certains moments, déconcentré par l'attrait du verre encore plein qui se trouvait juste à côté de lui, qui le narguait, patience, mon joli, que j'te vide tu diras plus rien après... Non, c'est con. Un verre ça dit rien. Bon, disons les choses comme elles sont, toute cette histoire de sang faisait un peu perdre la tête à Tamao. N'oublions pas que c'est un vampire relativement récent qui se contrôle mal... Ça faisait à peu près le même effet que quelqu'un d'ivre, quelque part, oui. Même si, donnez de l'alcool à Tamao, l'effet sera probablement pas du tout le même. Enfin, bref, Tamao avait tout de même écouté un maximum de la réponse d'Atios, après tout c'était lui qui l'avait exigée, cette réponse, c'était la moindre des choses... Et la fin était, disons... Pour le moins intéressante. Elle arracha un sourire un peu plus intéressé au jeune vampire qui avança un peu la tête vers Atios, loin cependant de perdre de son calme.

Oh oh, on veut dominer le monde, alors? Et tu me le dis comme ça? Tu ne crains pas que j'aille contrarier tes petits plans maintenant que je les connais?

À l'instant même, Tamao eut un léger hoquet qui se solda par un grand sourire étiré, le sourire d'un gars qui est à deux doigts d'éclater de rire. Ce que le garçon fit, ou plutôt il aboya, en deux coups qui sonnaient effectivement comme un "HA, HA". Tamao se moquait de lui-même, en effet. Ou plutôt, il épargnait directement à Atios la tâche de le faire.

Bah, qu'est-ce que je raconte? Si je me mettais ça en tête, tu me tuerais tout de suite ou tu t'arrangerais d'une quelconque manière pour me mettre hors course. Je suis qu'une petite fourmi, pas vrai? Je suis rien comparé à toi. Une "effroyable petite chose"...

Oui, peut-être quelque chose comme de la rancune dans ses derniers mots. Mais en règle générale, c'était être réaliste. De toutes façons, tout ça n'aurait pas lieu d'être. Très peu pour Tamao, même en son état de vampire, que de s'embarrasser de problèmes. C'est avec le même sourire qu'au départ qu'il objecta à son propre discours, tout en s'étant mis à faire tourner son verre entre ses doigts, comme pour mélanger le terrible liquide rouge qu'il contenait.

Enfin, de toutes manières, tu n'aurais aucun lieu de le faire. C'est bien beau de me dire ça, mais ce sont tes oignons. Enfin, tu dois en être fier, pour sûr, c'est un grand projet, et puis forcément, si le sort de la Terre est totalement révolu sans ta présence, ça change tout... Enfin, je te souhaite quand même bon courage, car tu auras de la concurrence... Les gens qui se mettent en tête de dominer le monde sont dans le genre nombreux...

—Mon Dieu, quelle audace tout de même...— Une petite pause pour boire une gorgée de sang, et ce en ouvrant à peine les lèvres, pour laisser encore davantage le liquide passer dessus. Tamao sentit un long frisson de plaisir lui remonter jusqu'aux épaules, frisson qui se termina par un léger spasme qui n'avait décidément, pour lui, rien de désagréable. Et puis, une fois remis de cette simple gorgée, il se tourna à nouveau vers Atios en passant sa langue sur sa lèvre supérieure.

Quant à moi, compte pas sur moi pour aller fourrer mon nez dans cette affaire. Peu m'importe qui gouverne le monde, du moment que ça fait pas de vagues chez moi... Tout ce que je veux, c'est vivre sans m'attirer des soucis. Et la tranquillité semble avoir le prix de pas vouloir aller rechercher plus haut titre que ce qu'on a.

Penses-tu vraiment ce que tu dis, Tamao? Impossible de le savoir réellement, vu l'état second dans lequel il était. Inclinant la tête en arrière et fermant les yeux pour mieux en profiter, le jeune garçon vidait son troisième verre de sang —quel luxe tout de même!—, déjà un peu plus lentement que les deux premiers, pour profiter un peu. À peu près au rythme auquel, dans son état normal, il vidait généralement un verre de lait, sauf qu'il était loin de s'agir de lait et qu'il ne s'arrêtait à aucun moment pour reprendre sa respiration... Non, rien du tout.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyJeu 5 Nov - 12:31

- Bien entendu que je veux dominer le monde. Et biensûr que je te le dis comme ca. Franchement, si tu dis ca à notre époque, que vont-ils craindre ? Un tir de fusil d'assaut dans la tête d'un mégalomane et ca serait régler pour moi non ? Ils ne te croiront pas. De toute façon, je ne compte pas prendre le pouvoir par la force... mais par la domination. Par la force, je causerai bien trop de dommage et je ne peux accélérer des millions de naissance en même temps. Ce serait trop risquer pour vous. Non, j'ai un plan bien plus complexe que de me faire président du monde tout simplement. Je te l'ai dis, d'ici une trentaine d'année, ta planète rentrera dans une ère glaciaire, qu'importe ce que les petits mages humains de pacotilles tente. Il est trop tard et même les plus puissants archimages n'y peuvent déjà plus rien. Mais moi, j'ai des solutions qui ne choqueront pas la chronique. Mais j'étudie avec minutie les prochaines années, pour lancer mon plan au bon moment. conclut-il, en savourant son propre projet. Il avait certes des épines dans le pied, mais il ferait tout pour les rallier à sa cause. Et par dessus tout, si Len était avec lui, il avait gagner. Mais Atios ne serait pas si gentil avec Tamao sans raison. Il avait déjà trouver une fonction à Tamao. Il sourit, se leva, et le regarda avec un rictus. Il caressa les cheveux de Tamao comme on l'aurait fait avec un précieux animal.

- Mais tu crois que je t'en parle sans raison, mon petit ? J'ai besoin que l'on connait un peu pour être un inventeur et scientifique. Quelqu'un qui pourra découvrir ce que je veux que vous découvriez. Et tu sera mon intermédiaire. Tu n'a bien entendu, pas le droit de refuser, tu aura beaucoup d'avantage, le renom de scientifique, et tu surpassera le génie d'Einstein. Seul un idiot refuserais. Sans parler des découverte génétique sur le sang, qui permettrait à ton espèce de ne plus avoir besoin de donneur, quelque soit le groupe sanguin et autre dérivée. En cas de refus, tu acceptera, contre ton gré. Autant être sage et m'éviter de te forcer à obéir. Et oui, je suis assez machiavélique pour avoir de la places pour mes chères petite fourmis, dans mes plans..
C'était dit de façon bien sarcastique. Atios le soudoyer ouvertement, et lui avait clairement indiquer sa marge. Accepter ou accepter. Beaucoup de possibilité, n'est-ce-pas?
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyJeu 5 Nov - 14:47

Tu m'en diras tant...

Lorsqu'Atios se mit à caresser les cheveux tellement ras de Tama-chan, ce dernier pencha un peu la tête comme pour encourager au mouvement... Dans cet état plutôt primitif et animal, ça semblait lui plaire, ce genre de geste... Limite s'il ne se mettait pas à ronronner, mais c'est bon pour les chats, ça, pas pour les vampires. Et puis, après la petite tirade argumentative du grand omnipotent, Tamao lâcha un rire fermé, avant de donner sa réponse, ou plutôt, si réponse on pouvait encore donner.

Mmh... Autant dire que je n'ai pas le choix, pas vrai? Dans ce cas, pourquoi me faire d'aussi belles et longues phrases, si le résultat est le même? Ça doit te plaire...

Alors le Tamao en tant que vampire qu'il était se décida à poser un regard critique sur le lui humain. Qu'est-ce qu'il dirait, l'humain? Il serait bien embêté, tiens... Il serait à la limite de se faire dessus, dans une situation pareille, pour sûre. Et dans un état pareil, qu'est-ce que Tamao pourrait bien dire? Il se contenta alors de tourner la tête sur le côté dans un soupir.

Tu me diras, j'aurais dû me douter qu'il y avait anguille sous roche... Dans ce cas, t'as fort intérêt à être réellement le plus fort, si tu me forces à te suivre. Si ça foire, je te haïrai comme la plèbe hait le tyran, je te jure, je te haïrai bien fort et je préparerai dans ma petite tête une révolution à transmettre aux générations futures.

Rire canin, à propos de lui-même.

Enfin, tu t'en fous, pas vrai? Tu ne crains rien. Tu ne craindrais pas une ridicule petite fourmi telle que moi. D'ailleurs existe-t-il le moindre être autre que toi que tu ne voies pas un minimum comme une fourmi? Je n'en sais rien, va, mais bon...

Il observa une nouvelle pause pour passer un bon coup de langue sur les bords de son verre. Ou bien c'était gracieux ou bien c'était carrément dégoûtant, ça dépendait du point de vue. En tout cas ça n'avait plus rien à voir avec les innocentes léchouilles d'enfant que Tamao, disons dans son état normal, aurait données dans une glace à la fraise. On était bien loin de ce monde-là...

Mmenfin... Si je peux me permettre juste une petite remarque, t'as pas très bien choisi ton homme, je crois. Soyons honnêtes, j'ai perdu toute crédibilité au fil des années à force de créer des trucs voués à l'échec.

Insulte gratuite à lui-même. On allait loin... Tamao lâcha un nouveau sourire plutôt calme.

'Fin bon! Puisque j'ai pas le choix... Je vais faire comme toujours, pas vrai? Je vais m'écraser, me pisser dessus, dire oui maître, car j'ai toujours été comme ça. Un lâche... Cependant je dois t'avertir d'une chose : quand j'aurai repris mon état habituel, c'est-à-dire avec zéro taux de sang étranger dans mon sang, j'aurai probablement tout oublié de ce qui s'est passé en ce moment même, cette conversation incluse bien sûr. Après, à toi de voir si tu veux te démerder avec ça... Enfin, tu vas bien trouver quelque chose, pas vrai? T'es tellement rusé et surtout tellement puissant... À tous les coups tu vas pouvoir me faire retrouver la mémoire d'un claquement de doigts, non?

...Oh, à peine de l'impolitesse. Oui, il y avait bien là-dedans de la haine, de la haine face au puissant qui ne laisse aucun choix ni aucune tranquillité au faible... On aurait pu penser que dans un tel état, Tamao aurait été attiré par le pouvoir et l'attrait du mal sans même hésiter. Seulement l'instinct habituel du "je veux pas d'ennuis", et peut-être même, loin au fond, "le politiquement incorrect c'est pas correct" appris par les profs à l'école primaire et bien rentré dans son cerveau de petit fayot, tout ça subsistait même dans un être aussi sanguinaire et cruel que le vampire qu'il devenait. Non, surtout le "je ne veux pas d'ennuis", en fait. Du moment qu'on le laissait tranquille... Hors le plan d'Atios laissait toujours le champ libre à de possibles ennuis, et c'était bien ce qui ennuyait le vampire là-dedans. Bon. Pour l'instant, gagner du temps. Ne rien dire qui l'engagerait complètement...
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyVen 6 Nov - 12:17

Atios avait eut le temps de réfléchir à son plan. Alors que les Humains seraient désespérer par l'arrêt des courants marins et le passage vers un air glaciaire, dans ce monde capitaliste, sa société de recherche, diriger par lui-même, trouveront les solutions, mettant à genou les pays. S'imposant comme le sauveur du monde, il créera une armée de super-soldat humain, et mettra à genoux les pays les plus puissants. Et quand les Humains seront sous son joug, il les fera avancer, et aura une armée de soldat d'élite. C'était ca, l'avantage des humains. Leurs capacités étaient sans limite. Un bon entrainement, quelque injections chimique et quelque détails changer sur leurs code génétique, et des soldats inégalées seraient sous ses ordres. Il allait prendre le contrôle de l'espèce aux potentiel infini, et en ferait ses fidèles vaisseaux. Il s'imposerait comme un Dieu immortel et unique, et aura un empire invincible, sous son influence. Et il avait déjà gagner. Même son plus grand rival ne risquerait pas de s'opposer. Certes, c'était des desseins personnel, mais il allait sauver l'Humanité de son inexpérience. Un échange équivalent pour lui. Enfin, quelque chose d'intéressant vient à ses oreilles.


-" Tu me diras, j'aurais dû me douter qu'il y avait anguille sous roche... Dans ce cas, t'as fort intérêt à être réellement le plus fort, si tu me forces à te suivre. Si ça foire, je te haïrai comme la plèbe hait le tyran, je te jure, je te haïrai bien fort et je préparerai dans ma petite tête une révolution à transmettre aux générations futures.
" avait dit le petit vampire. Atios rit encore une fois.

-" Moi perdre ? Même si ca devait arriver, je saurai revenir autant de fois que nécessaire. J'ai déjà tromper plusieurs fois la mort. Et même, je lobotomiserai ton espèce, jusqu'à ce que je n'ai plus besoin de le faire. Ils me vénéreront d'eux-même, moi et mes alliées." conclut-il. Atios n'était pas du genre à faire les choses à moitié. Si son autorité était contester, il forcerai son installation. Enfin, détail remarquable, Tamao n'avait plus besoin de preuve quant à la mégalomanie de notre cher Atios. Il était sûr de lui, prêt à tout, et peu d'adversaire était à sa mesure. Mais le pire, c'était qu'il était sûr de lui, mais pas idiot. Il avait sûrement déjà moult solution à n'importe quel problème. Combien de fois l'avait-il montrer ? Face à la défaite, se relevant, toujours plus fort, tout comme son rival ? Ils étaient des héros, des gens dont on se souviendra avec respect, crainte et admiration, peu importe leurs actes.

-" Quant au fait que tes inventions soient toutes raté, c'est pour ca que je t'ai choisi toi. Tu as du potentiel, tu est créatif. Tu as juste l'inexpérience du jeune roseau, et tu n'à pas non plus les outils." D'ailleurs, voici ton premier salaire. Ton travail commence tout de suite. dit Atios en lui tendant une clef, bleutée, en forme de vis. Il entraina Tamao jusque dans un escalier descendant vers le bas. Ils entrèrent dans une salle en forme de carrée, une cave. Une cave avec des dizaines de porte de chaque côté. Atios amena Tamao à une porte, sur la droite. A la présence de Tamao et la clef, la porte s'ouvrit. Ils arrivèrent dans une salle gigantesque plus grande que la cave, et semblant ecraser celle-ci. Ici, des tubes, des armoires, des ordinateurs, le matériel d'un scientifique chevronné. Ici, il y avait sûrement les plus rares éléments atomique réunis, et même d'autre matériaux. Des robots se présentèrent à Tamao en courbette.

-
" Nous somme heureux, de faire votre connaissance. Nous somme Iria, l'IA à votre service. Demandez, et vous aurez."Le robot à forme vaguement humaine, se courba avant de partir. La salle avaient d'autre annexe. Une usine gigantesque, prête à assembler les plus grosses machines ; Un laboratoire et une bibliothèque contenant des savoirs futures et passées, des théories oublier. Tout était possible. Atios avait créer cette endroit pour que le petit Tamao puisse travailler comme il le voulait.

-" Crois-moi, je connais des gens ton espèces qui pourrait faire un génocide pour ce qu'il y à ici. Tu peux créer n'importe quoi ici. D'un vaisseau spatiale à la propulsion inconnu à ton peuple jusqu'au vaccin du sida, voir des élixirs de jouvence, des sérum d'immortalité. Ici, tu est maitre. D'ailleurs, tu peux te déplacer comme tu veux à l'intérieur de cette espace. A part moi, personne ne connait cette endroit. Je te met entre les mains, tout les outils dont tu as besoin pour exploiter ton talents et tes idées. Iria, te permettra de faire des calculs supérieur des milliards de fois à ceux possible jusqu'à maintenant par ton peuple. J'ai même créer une zone de test où tu peux tester tes inventions. Des questions ?"
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyVen 6 Nov - 18:35

Kh... Non, honnêtement...

Grimace de Tamao, en relevant un coin de la paupière, à la vue de toutes ces merveilles. Quoi? Tout ça d'un coup? Ça donnait l'impression au jeune garçon qu'on voulait lui faire prendre des vessies pour des lanternes, et ça induisait des choses pires qu'une impression aussi innocente. Ce truc-là, ce laboratoire énorme aux possibilités mirobolantes, qui sortait de nulle part, ça avait quelque chose de réellement malsain... Eh oui, même pour un vampire sans scrupules. Et c'était une espèce de goutte qui faisait déborder la petite tête de Tamao, le Tamao vampirique qui venait de vider plusieurs verres de sang, mais chez qui il semblait subsister une sorte de discernement personnel du bien et du mal... Encore un de ces trucs appris à l'école? Qui sait. Le Tamao humain et le Tamao vampire allaient donc réellement finir par ne plus faire qu'un?

Honnêtement, j'en veux pas de tout ça, ça me fait vomir.

Et un pas en arrière, un pas d'enfant, vers cette porte ouverte par cette clé bizarre, vers la sortie. En temps normal, Tamao aurait été complètement fasciné par un tel endroit. Mais il y avait quelque chose qui clochait et le fait que ses instincts vampiriques soient en éveil l'aidait à le percevoir.

J'veux dire, je respecte, c'est du beau boulot, tout ça... À la vérité, c'est ce dont... Dans mon état normal... J'aurais toujours rêvé, mais... Là, je veux dire, tout ça d'un seul coup, ça fait décidément trop louche. Autant de biens matériels rêvés apparus de nulle part en une seule fois, ça a un goût de pacte avec le diable... J'aime pas ça, même dans mon état présent ça me plaît pas... D'ailleurs... T'es en train de me dire, si je comprends bien, que je peux créer dans cet endroit n'importe quel truc extraordinaire qui écrasera de son excellence l'espèce humaine, car c'est toujours à ça qu'il faut aspirer, et tout ça pour rendre service à un grand malade qui veut condamner le monde pour mieux le sauver ensuite? Pardon, mais ta logique, c'est la tienne, et moi j'ai bien du mal à comprendre ça, aussi étrange que ça puisse te paraître.

Pauvre fou. As-tu oublié? Il t'a menacé, tu n'as pas le choix! Et Dieu sait ce qu'Atios serait capable de faire pour choper un poisson qui lui glisse entre les doigts. D'ailleurs il ne s'empare pas du poisson, pas la peine : il le téléporte sur le feu et le fait crever sur place selon son bon plaisir... Alors, qu'est-ce que c'était que cette témérité? C'est que Tamao était encore poussé par certaines valeur, et par l'affection, même pas l'amour, des choses bêtes, mais auxquelles il semblait tenir plus qu'à sa propre vie, apparemment. Sa drôle de vie de neo-vampire. Il expliqua donc pour que ses arguments soient énoncés au complet, en terminant, jugea-t-il alors, par le plus pertinent :

Et puis j'ai surtout l'impression que si j'accepte d'être ton espèce de grand intendant de la technique, là, et que si j'accepte la gloire éternelle aux dépends de l'humanité —dont je fais tout de même partie à l'origine, rappelons-le, même si ça me fait bizarre de le rappeler—, et tout le toutime, là, je vais perdre les valeurs que j'ai connues ici, je vais perdre les connaissances que je me suis faites, Imoko, Nanamatsu, je vais perdre Misaki... Et si je perd Misaki, je perds mon bonheur, moi.

Et malgré tout, c'est une chose importante que le bonheur, quoiqu'on en dise. C'est ce que recherche tout être, et si Tamao pensait l'avoir trouvé en la personne de Misaki, laissons-le s'y complaire, puisque c'est une chose en laquelle il croit et qui le fait vivre... Oui, peut-être qu'Atios, un être aussi passionné ou enclin aux passions, pouvait comprendre ça... Dans un éclair de bonté, peut-être, après tout. On peut toujours rêver. Croisons surtout les doigts pour qu'il ne tue pas Tamao, nous verrons ensuite...
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyLun 16 Nov - 23:20

[HJ: Promis je répond ce soir ^^]
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyMar 17 Nov - 10:59

HJ : Iie iie, pas de problème!^^ *Sort*
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptySam 19 Déc - 11:13

- Crois-moi, je suis plutôt le croisement entre le diable et l'autre taré avec sa barbe blanche que le diable tout court. De toute façon, entre eux & moi, la grosse différence se situe sur ma position politique dans l'univers en général... et leurs éthique, parce que bon, notre sainte chrétienté, il s'est bien marrer en mattant les croisades & autres guerre sainte. S'il voulait vraiment que le mal soit purgé, il n'hésiterai pas à faire un génocide à grande échelle... il est beau, le bien .. dit-il, exaspérer. Certes, cela peux te sembler louche, mais je ne te forcerai pas à obéir, bien que je pourrais te séquestrer, te transformer en zombie qui m'obéirait aux doigt et à l'oeil, j'ai appris une chose. Le contrôle qu'on peux avoir sur les autres n'est que factice, et tu me sera bien plus utile consentant. Je ne te demanderai pas de créer une bombe propre ou une bombe gay, je m'appelle pas Bush et je ne veux pas être Big brother, je veux juste pouvoir amener la race humaine à quelque chose de mieux que sa pseudo démocratie si sacré et pourtant bafoué par ses représentants élus. Je n'ai pas la prétention d'être parfait, mais tout en étant le pire des impulsifs, je suis aussi bien plus sage que n'importe lequel de ton espèce. Argumentait-il, pour défendre sa position.

Oui, n'importe qui aurai pu se dire que c'était trop beau, cet énorme cadeau. C'est sûr, tout le monde s'en méfierai, sauf les gens purement maléfique. Tout ce pouvoir ne peux attirer que quelqu'un de mauvais, ce qui, au final, conforta Atios sur son choix de scientifique. Certes, Tamao n'était pas le plus brillant des scientifiques, il n'était pas le plus prestigieux, n'avait pas eu de nobel ou autre prix miteux. Mais il mettait du coeur à l'ouvrage, il avait des idées, et était au fond quelqu'un de bien. Il pouvait avoir confiance en Tamao, il n'irai jamais créer quelque chose purement dans le but de nuire. C'est pourquoi, Atios précisa sa pensée.

- Certes, mon offre à quelque chose de malsain. Mais je peux te dire que ni le bien & ni le mal ne sont parfait. Là où il y à un coeur, une conscience, les deux forces s'oppose. Sans mal, comment définirai tu son opposé ? J'ai connu les deux extrême au cours de ma longue existence. Je peux te dire qu'être un mouton qui détruit une espèce pour un vieux barbu soit disant pur est loin d'être bon ; tout comme tuer une personne infecté qui menaçait de tuer tout un village en transmettant l'infection est purement mauvais. Certes, c'était mauvais pour cette personne, mais le bien parfait entraine le mal tout comme le mal le plus insidieux provoquera le bien. J'ai aider un mendiant. Je lui ai donner de l'argent un jour. Ce dernier allait s'acheter à manger quand un Homme l'à assassiner et voler son argent. Il était trop tard pour que je sauve le mendiant. Bon, j'avoue, de rage j'ai quand même maudit son bourreau avec une malédiction de malchance, mais c'était mérité. Le fond de l'histoire, c'est que j'ai fais le bien, mais indirectement provoqué le mal. L'ironie de cette univers, c'est que si tu est trop bon pour ce monde, tu finira par provoquer un mal encore plus grand. Je ne suis pas le mal incarné. Ni comme le modèle du bien le plus saint. J'ai décider de suivre ma conscience. C'est pourquoi, je te le demande, petit être, deviens mon scientifique pour tenter de faire un monde meilleur pour ton espèce. Certes, je ne promet pas la fin de tout les maux, et cela serait dangereux de tenter de faire cela, mais au moins d'aider ton peuple à connaître une avancée plus rapide et d'acquérir une pensée un peu plus sage sur la vie. conclut-il. Atios était un très bon orateur, ce qui était aussi un signe du diable ; mais pourtant, il pensait vraiment ce qu'il disait. Certes, il ne le cachait pas, il y avait pour son intérêt personnel dans l'histoire, mais en contrepartie, il voulait vraiment aider la race humaine face à sa proche extinction.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyDim 20 Déc - 11:45

Tamao finit par sourire d'un petit sourire fermé en forme de vague, bien moins niais que le sourire qu'il avait d'habitude, disons dans son état "normal" quand il ne s'était défoncé au sang. "Petit être", qu'on l'appelait... Mais finalement, cela ne le faisait pas tant réagir que ça. Il insistait tout de même, hein? Le petit gars à la casquette commençait à se demander en quoi il pouvait tellement intéresser une surpuissance tel que ce mec capable de tout, qui pourrait se trouver un meilleur scientifique n'importe où. Ça l'intriguait. Mais est-ce que poser la question n'aurait pas quelque chose de prétentieux? "C'est moi qu'on cherche?" "C'est à moi, à moi qu'on s'intéresse?" Oh non. Plus tard. Bien que l'idée de demander des comptes à ce propos soit tout de même alléchante, ce serait malvenu que d'introduire autre chose dans une conversation qui en soi avait déjà son importance.

Mmh... Tu n'auras donc pas recours à la manière forte, finalement? Eh bien... C'est tout à ton honneur... Ceci dit, permets-moi de continuer à réfléchir et non pas d'accepter la bouche en coeur en signe de reconnaissance... Non pas que je veuille tirer un avantage de cette grâce que tu me fais, bien que ce serait peut-être mon genre dans un certain état de conscience, mais non, ce n'est pas ce que je veux faire... Seulement...

Tamao lâcha un court bâillement qu'il étouffa de la main, découvrant malgré tout une petite canine pointue. Au bout d'un moment viendrait la question de dormir, comme après chaque belle beuverie, dormir pour tout oublier le lendemain, mais pour l'instant, la question n'était pas là. Ce n'était pas le moment, et Tamao par sa volonté pouvait très bien poursuivre cette conversation... Pour l'instant du moins. C'était que tout ça était intéressant, ce serait dommage de si tôt le manquer.

Bon, c'est certain, on n'est jamais sûr de ne pas avoir d'ennuis... Seulement, par commodité, ou par lâcheté peut-être, j'ai toujours préféré me diriger vers le plus grand nombre... Oh, c'est sûr que c'est pas par noblesse... Et je sais que la démocratie te plaît pas beaucoup, à entendre tes dires... À ce propos, d'ailleurs, je ne crois en aucun dieu quelconque, du moins je ne pense pas, alors pas la peine de me démoniser l'idée de bien, le manichéisme, j'ai grandi et c'est plus trop mon truc... Enfin, bref... Ouais, cependant, tel que tu es là et que tu me parles, tu es seul. Très puissant, d'une puissance effrayante, certes, mais quand même seul, et ça suffirait à me faire faire un pas en arrière... Non, j'ai plutôt une question à te poser... Comment le monde pourrait-il bien réagir face à tes projets, qu'ils aboutissent ou non? Je sais bien que tu peux parfaitement comprendre que si c'est en mal, ce n'est même pas la peine, mais réponds-moi tout de même sincèrement. Je pense bien qu'un être aussi omnipotent que toi n'a pas grand besoin de mentir...

C'est vrai, après tout, salaud ou non, quelqu'un d'intelligent ne ment jamais. Tout au plus, l'intelligent contourne, omet, brode, persuade par de belles paroles pour déformer à sa guise la réalité, mais jamais il ne ment. Mentir est une chose bonne pour les plus simples d'esprits ou les désespérés, les personnes telles que Tamao en somme, du moins quand il n'avait pas l'assurance que son état de vampire lui prêtait. Tamao avait tout de même bien envie, décidément, de demander à Atios pourquoi lui et pas un autre. Était-ce juste parce qu'il était arrivé là par hasard, ou bien pour autre chose...? Mais patience, la question pourrait être posée n'importe quand, il fallait juste ne pas se mélanger entre les sujets.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyDim 20 Déc - 14:02

- Comment le monde réagit-il face aux média ? La télévision contrôle les esprits depuis bien longtemps partout. Chez les communistes, les capitalistes, les chinois comme les américains. Toute ta race se soumet à la télévision, cette outil de contrôle des masses. Je compte me servir de votre défaut. Ce défaut. Connais-tu l'arme nucléaire ? Einstein était un grand homme. Il voulait que cette arme ne soit utiliser que sous forme de menace. Au fond, il a eut tort. Mais je respecte cette homme plus que tout. Je compte me servir des armes que les dirigeants de ton peuple utilise. Arme de dissuasions, propagande. Mais ce n'est pas directement pour mon intérêt personnel. Je n'aime pas faire ca de façon trop brutale. Je vais créer des armes non mortelle, et une arme de dissuasion nouvelle. Face à cela, les pays céderont. Si nous nous présentons comme la meilleure solution, il est même possible que le monde entier vienne vers nous pacifiquement. Je te l'ai dis, je ne compte pas vous tuer. Vous êtes bien trop précieux pour ca. Mais je compte bien prendre le pouvoir ; avec ou sans toi. Si je n'étais pas attacher aux élèves de cette école, j'irai me faire élire dans un pays comme président, en créant un passé factice, je finirai par instaurer la suprématie militaire, économique, scientifique de ce pays, et j'aviserai ensuite. Si tu refuse, tu peux perdre quelque chose qui te semble importance. Le pacifisme. Sans ton aide dans mes projets, tu n'aura aucune voix sur mes décisions. Je te propose de pouvoir tempérer mon jugement car autrement .. je n'aurai aucun scrupule à faire des guerres éclairs. Mais c'est .. regrettable d'en arriver là. Un peuple n'aime pas passer à l'autre camp. Cela risquerait de créer des tensions ; c'est pour cela qu'il faut que je fasse saliver le peuple de la terre entière pour qu'ils prennent mon autorité comme une délivrance. J'avoue, je suis un peu mégalomane , mais je te laisse un moyen d'aider ta race. Réfléchis y bien. Je te veux toi mais je ne te forcerai pas. Ca serait ... triste. Et d'ici une trentaine d'année, tu risque soit de me voir président du japon, de me proclamer empereur, et d'aller chercher des noises à la reine d'Angleterre. Tu sera bien plus utile à ton peuple en m'aidant qu'en me laissant prendre quelqu'un qui sera attirer par mon offre comme une mouche. Tu est ... bon. Si je fais quelque chose de mauvais, tu pourrais m'en empêcher. Voila pourquoi je te veux toi. Tu osera défier mon autorité, bien que je sois potentiellement capable de raser ta planète. C'est ce qui te différencie d'une grosse partie de tes confrères scientifiques, chercheurs, et autre médecins. La première étape, c'est la création d'une entreprise. Je sais que c'est ... plutôt tricher, mais je compte me faire une entreprise avec un compte en banque plus garnie que n'importe laquelle. Ensuite ? Eh bien, on va aller aider nos chers amis Bantou, en Afrique, puis partout dans le monde. Tu va me prendre pour une ordure de me servir de ces pauvres gens, mais l'opinion publique nous verra bien, et l'investissement là-bas, purement humanitaire, il va les aider. La prochaine étape sera le vaccin contre le Sida, que tu VA développer. Ensuite ? On le fera payer au prix fort aux autre pays, tout en proposant des campagnes de vaccinations à bas prix chez nous. Tout sera fait pour que le peuple nous vénère comme des sauveur, mon petit Tamao.

Atios venait de finir son discours particulièrement mégalomane. Tout était prévu pour que l'humanité agisse en bon petit toutou, dévoué, soumis. Atios se mit à rire de façon légèrement diabolique en caressant un faux chat noir, une illusion, sûrement, pour la caricature.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyDim 20 Déc - 16:03

Ah... Alors c'est pour ça? Parce que je suis bon? Et... Et tu me crois capable d'avoir cette influence sur toi, c'est... Ça?

Tamao n'en croyait pas ses oreilles. En un rien de temps, sa tête se déploya en arrière et il partit d'un grand rire éclatant, foutrement cynique, qui raisonna dans toute la grande demeure. Un drôle de rire pour la voix d'un ado qui n'a pas mué... Quelque chose d'éraillé, mais pas de si ridicule de ça cependant... Et pourquoi rire? Il l'expliqua l'instant d'après, même si pour lui la raison était tout à fait simple.

Est-ce que tu réalises que malgré mon état présent où je parais déjà un peu plus convaincu, je vais finir par m'endormir, me réveiller sous l'état d'un humain bête et niais, et que je ne serai même pas en mesure d'ouvrir la bouche devant un gars comme toi qui peut mettre fin à mes jours sans même claquer des doigts? T'as l'air de me surestimer pas mal!

Et de s'éloigner d'Atios de quelques pas en ramenant nonchalamment les bras derrière la tête pour s'étirer un peu. Avec l'arrogance que son état de vampire le faisait acquérir, tout ça le faisait quand même bien rigoler.

C'est comme cette histoire de vaccin, là... Tu me sous-estimerais pas un peu, par hasard? Si personne n'a pu la trouver, pourquoi un naze comme moi? Aurais-tu oublié que toutes mes inventions foirent?

Re-rire. Dans cet état, Tamao se considérait plus bas encore que lorsqu'il se considérait d'un point de vue humain. C'était carrément de la cruauté envers lui-même... Enfin, depuis qu'il est devenu vampire, il est un être encore plus complexe, mais ça, on l'aura déjà assez précisé. Impossible de parler de lui en raisonnant dans des cases... Ceci dit, il fallait bien cette cruauté réaliste pour considérer les faits en face.

Je veux bien concevoir le fait que si ton plan fonctionne, tu pourrais me faire regretter ainsi qu'à toute l'espèce humaine de n'avoir pas saisi cette opportunité, tout ça, et à voir ce dont tu es capable et comme tu envisages la chose, le fait que ton plan fonctionne n'est pas inconcevable justement, pas du tout... Mais tout de même... Un pleurnichard complètement faible et lâche, incapable de réussir même une custo correctement... Quand bien même je serais "bon" comme tu dis, ça te servira à rien... Alors, tu penses vraiment avoir bien choisi ton bonhomme? Non, franchement...
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyMar 22 Déc - 3:58

- Hum ... tu connais le film Star wars ? dit-il en levant le bras, à la Dark Vador. Tamao se fit littéralement soulever de terre, et si ce dernier connaissait le film, il devait connaître aussi l'étape prochaine ; Le seigneur Sith étrangler souvent ses ennemis. Foutrement pratique! Mais Atios se maitrisa, il n'aimait pas qu'on lui dise non, c'était certain, surtout quand c'était son idée, qu'elle lui semblait juste & parfaite.

- Biensûr que oui je me rend compte que tu n'est qu'un pétochard qui foire son talent car il n'à aucune confiance en lui ! Mais là c'est différent. L'Ordinateur du labo que j'ai créer, c'est ce qui va t'aider à faire ton boulot, avec tout le reste. Tu ne peux pas acommplir des milliards d'expérience à la chaine et être efficace. Les Humains essayent de cette manière. Toi, tu n'aura juste qu'à proposer tes idées à l'ordinateur. Il fera une estimation & simulation des résultats. Tu as ce qu'en laboratoire, ils tueraient pour avoir. Et j 'ai confiance en toi. Et à mon contact, tu sera forcément quelqu'un de meilleur. Ca se vérifie avec tout les élèves avec qui j'allais en classe pour m'amuser de vos leçons pathétiques. Enfin bref. Je n'aime pas parler du passé
. Pour la première fois, de la tristesse et les regrets semblèrent hanter le visage de cet être. Bien qu'il était extrêmement puissant, son coeur semblait plus humain qu'autre chose.

- Je te dis que oui ! Si tu avais plus confiance en toi, tu réussirai plus de chose. Et de toute façon, le laboratoire que j'ai confectionné te permettra de te perfectionner sur tout les domaines.
Les drones assistants t'expliqueront comment procéder.
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Satsuki Yotsuba
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyMar 22 Déc - 14:58

Bon, avouons-le, Tamao avait quand même eu un peu les boules lorsqu'Atios l'avait soulevé de terre. Mmh. C'était clair... Si on ne se joignait pas à ce gars-là, avec la détermination qu'il avait, on devenait son ennemi... Heureusement pour le binoclard, la surpuissance qu'il avait devant lui et à qui il avait encore le front de tenir tête ne l'étrangla pas. Il continuait même de le raisonner pour le convaincre. Mmh... Décidément, il mettait tous les atouts de son côté... Ceci dit, il était certain que s'il se risquait à énoncer le moindre point négatif, ça perdrait de sa crédibilité... Évidemment, c'était comme un pacte avec le diable. On ignore ce qui va se passer après... Tamao laissa parler Atios tout en reprenant un peu son souffle, avant finalement de relever les yeux vers lui.

Oui... Évidemment... Si je refuse, je ne m'en tirerai tout de même pas à si bon compte, pas vrai?

Il haussa les épaules en détournant le regard, toujours avec cette même arrogance. Que dire? Lui rappeler que même s'il acceptait quoi que ce soit ce soir, il aurait tout oublié le lendemain en reprenant son état normal, et qu'il aurait sans doute bien moins de front qu'à présent? À quoi bon? Atios semblait franchement s'en moquer. Peut-être qu'il ne réalisait pas que ça pourrait franchement être un problème. Dans sa mentalité humaine, Tamao était bien plus humble et avait plus encore de sens de la morale apprise dans les écoles primaires, que dans son état présent...

Mais oui, même les puissants ont leurs limites. Toi, tu auras beau dire, ton machiavélisme s'arrête dans le fait que si jamais je m'oppose à toi ne serait-ce qu'à propos du moindre détail, tu me frapperas bien sûr, mais jamais dans mon dos. Toujours de front, tant tu seras remonté...

Le jeune garçon fit quelques pas tout en faisant dos à son terrible interlocuteur. Il semblait ne pas comprendre l'ampleur de la menace... Ou alors, la comprenait-il tout en s'en moquant? Mmh, c'est tout de même moins probable... Bon. Gagner du temps, comme il avait toujours continué à le faire, gagner du temps, contourner, ne jamais rien dire qui pourrait le compromettre ou l'engager dans quoi que ce soit. À nouveau, il prit le parti de parler au conditionnel.

Bon. Et quand bien même, en admettant que j'accepte de faire affaire avec toi... Dans la réalisation de ton plan, des personnes que j'aime seront blessées ou auront à en souffrir. Au final, j'y perds plus que j'y gagne. Un être tel que toi me trouvera peut-être faible de m'attacher à autrui de la sorte mais... Même dans mon état présent, je ne peux pas oublier certaines personnes. C'est un peu stupide, je te l'accorde, mais c'est comme ça...
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyMer 6 Jan - 15:10

- Je te demande plus vraiment ton avis. Au final, je peux te faire chanter, je peux prendre en otage des proches, voir même t'accorder un souhait. Je peux tout faire sauf ramener les morts. Je peux juste les invoquer, mais pas les recréer à 100%. Du coup, s'tu veux discuter avec un ancêtre, un amis, ou même Einstein, je peux lui demander un entretien. Je peux même te rendre immortel et sans besoin de me filer ton âme. Je ne fais pas ce genre de trafic douteux. Moi c'est un service rendu pour un service rendu. Ou alors un service rendu ou mon pied à ton cul. C'est aux choix. J'en connais beaucoup qui préfère me rendre service que se faire biopsier à coup d'Excalibur. Remarque, je peux aussi te guérir de ton vampirisme, mais tu perdra ta jeunesse éternel, et l'autre se souviendra de tout ce que ta mémoire de vampire avait stockée à part ; il y aura accès d'un coup. M'enfin bon, moi j'ai le temps, et les prochaines dizaines d'année ne dureront que dix minutes en dehors de ma cave. Bref, que les négociations commence. Et, je sais c'est que c'est salop, mais le non n'est pas acceptable ... dit-il avec un sourire très amusé. Il bluffait peut-être ; Qu'importe, il avait attendu parfois des millier d'année sur place dans des dimensions différente. Autant dire que maintenant, l'éternité n'était qu'une formalité, bien que foutrement chiante. Il leva la main, un siège apparu sous les fesses de Tamao, où il fut projeté. Une table se traîna, et des biscuits tombèrent sur une assiette entre les deux. Atios lui, s'était installer dans un magnifique fauteuil richement décorer qu'il avait dû voler à un roi d'une époque ancestrale.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyJeu 7 Jan - 8:30

Tamao se gratta la tête. C'étaient quoi ces histoires? Il commençait à être fatigué de tout ça... Il aurait aimé s'endormir sur le moment et se réveiller avec plus rien dans la tête... Il le ferait à un moment ou à un autre, mais pour l'instant, ce type n'avait décidément pas l'air prêt à le lâcher... Par contre, il y avait un truc dont il espérait au moins c'était cette ambiance de merde. Cette table, ces horribles sièges... Le vampire n'aimait pas ça, pas ça du tout.

Mmgn... C'est quoi ces horreurs? C'est comme dans mes cauchemars... Est-ce que je peux commencer les négociations par le fait d'exiger qu'elles se fassent dans une ambiance un peu plus agréable que celle-là? Tout ce bazar intuile, ça me donne envie de vomir...

Les biscuits qui n'étaient pas plus utiles que ces ignobles meubles, les sièges décorés comme je-sais-pas-quoi surtout celui de son Omnipotent Interlocuteur, et puis aussi, et surtout peut-être, le fait que tout ça n'était que le produit d'une magie utilisée de façon, au goût du vampire qu'était Tamao, bien abusive... Oui, ça lui donnait bel et bien la nausée. Pas question qu'il "négocie" dans ces conditions-là... Bon. En attendant la réponse d'Atios, Tamao revint point par point sur ses conditions, comme il pouvait...

Bon... Le fait d'avoir pour moi la jeunesse éternelle, c'est déjà pas mal un pas vers l'immortalité, non...? Alors, pourquoi aurais-je besoin de plus? Quand au fait d'invoquer les morts, je m'en tape, mais si tu savais... Tout ce que je veux, c'est que tu laisses en vie les personnes qui me sont chères, comme ça, pas besoin de réparer grossièrement les dégâts après. Quand à la "guérison" de mon vampirisme...

Tamao sourit et passa sa langue sur ses canines allongées, en fixant Atios dans les yeux. Décidément son regard avait l'air bien moins con dans ces moments-là...

Tu crois vraiment que j'y ai intérêt? Dans mon état, alors que je viens de me taper plusieurs verres de sang... Tu crois vraiment que j'ai intérêt à te dire de me faire devenir comme avant? Cette façon de parler me répugne, mais dans mon état d'humain à jeun, je dirais : "c'est le Tamao vampire qui parle".

Et il ponctua cette phrase entre guillemets par une grimace réprobatrice. Quelle façon de parler terriblement aliénante. C'était dégoûtant...

Je suis un vampire et je tiens à le rester, dans l'état dans lequel je me trouve. Enfin, j'ai une chose à te dire également... Les négociations que tu me proposes...

Étrangement, à l'instant, Tamao allait faire preuve d'honnêteté, plus encore que s'il avait été dans son état d'humain probablement. En tant qu'humain lâche et faible, il aurait peut-être bien été plus facile à soudoyer... Dans l'état où il était à présent, c'était autre chose. Peut-être bien qu'il avait plus de facilité à comprendre ce que son coeur, pas si pourri que ça on l'en remercie, voulait réellement et à être plus honnête avec lui-même. Le Tamao vampirique qui se montre d'une meilleure nature que le Tamao humain... Plutôt étrange, non? Preuve en tout cas que tout n'est jamais noir ni blanc dans ce monde, décidément.

...Elles sont tout à fait inutiles, pas vrai? Tu es un salaud intégral, tu connais très bien l'échéance et tu ne me laisseras pas le choix de la réponse... Alors pourquoi négocier? Enfin... Je vais tâcher de bien me faire comprendre : quels que soient les extras à la con que tu me proposes, j'en ai rien à foutre. À quoi ça sert de m'acheter si tu ne me laisses déjà pas le choix? Alors, puisque sinon je risque de me retrouver dans de beaux draps, il faut bien que j'accepte, mais c'est pas la peine de me proposer quoi que ce soit en échange, ou alors c'est se foutre intégralement de ma gueule.
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MessageSujet: Re: La maison qui n'était plus là. (Satsu)   La maison qui n'était plus là. (Satsu) EmptyVen 15 Jan - 9:50

- Désolé, j'aime pas qu'on me dise non, et j'aime avoir le dernier mot. Et dire que ce qui fait ta particularité m'emmerde au plus haut point... de toute façon, tes proches, les gens que tu aime, tu aura tout le loisir de les protéger toi aussi si tu me rejoins. Pour l'instant, tu n'est qu'un scientifique qui n'à jamais participer à la recherche ou d'inventions qui feront un énorme pas pour l'humanité. Imagine ce que tu pourrais découvrir rapidement! Tu pourrais soigner les pires maladies qui ravage ton hypocrite de peuple! Tu pourrais sauver des millions, voir des milliards de vie! Et même améliorer le confort de vie de ces frêles être que sont tes congénère proche! Tu me fais bien rire petit être de pacotille que tu est! Tu as le temps devant toi, c'est vrai. Tu à l'éternité devant toi. Mais pas eux. Tout ce que tu aime et qui resterons humain, tu les verra disparaître! Un par un, tôt ou tard! Imagine-toi dans les bras de ta dulcinées en étant toujours l'être minuscule que tu est, alors qu'elle ne sera même pas l'ombre de sa jeunesse passée! Certes, je suis un salop, certes, j'utilise des méthodes pas très jolie, mais j'agis pas que dans mon intérêt. Tu pourrais rendre heureux le monde dans son ensemble, et tu te borne à te dire que je suis qu'un salaud égoïste ? Si je n 'étais qu'un salaud égoïste, je te demanderai pas ton avis, je raserai continent & îles, pays & nations, et me ferait proclamer dans le sang! Réfléchis donc bien à ce que tu dis. Atios, était pour une fois, bien plus effreyant que d'habitude. L'audace du petit être énerver au plus point l'être omnipotent au sang chaud. Oui, il était pas du genre à rester calme quand il était persuader d'être dans le vrai. Quand on à le pouvoir, il finit par monter à la tête de celui qu'il à. Tant qu'un être ne fait pas d'erreur avec qui l'affecte, il continuera à s'en servir de façon bien moins éclairer que s'il avait déjà vécu le fruit d'une erreur; Atios était dans cette position d'ignorance que peux avoir sa propre puissance sur les autres aspect de son environnements.

- Je considère donc que le sujet est clos. Je te consulterai de la façon que tu veuille que je protège tes êtres chers plus tard. Si tu veux rester, je ne t'empêche pas, mais j'ai un amis qui va venir.
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