Le retour d'un taré mégalomane que tout le monde connaît.

[HRP:bon, la première réponse est réservée à Marv', Prière de le respecter svp.]

Pour un magicien confirmée, la réalité n'était qu'une limite de plus. Les barrière du plan matérielle aussi. Les dimensions parallèles des portes entre-ouverte. Au final, la plus grande limite de l'homme était les lois de la physique. Pouvait-il s'imaginer qu'une infinité d'univers semblable au leurs, peupler avec une même âme existait ? Où chaque âme avait une situation particulière ? Ou les guerres avaient aussi bien était perdu, gagner ou résolues pacifiquement ? Qu'au confins de l'univers se trouvait des peuples différents, tous plus ou moins tournées vers la technologie, ou la magie? Pouvait-il s'imaginer, que des plans étaient peuplées d'ombre maléfique, ou encore de dieu à la retraite en train de faire un billard en mangeant un pain-fritte américains avec du jambon et du fromage avec un rhum coca ? Que dans un univers parallèle, l'homme était devenu une proie pour les dauphins mangeurs d'homme ? Non, l'Homme était encore sourd, muet, et aveugle à tout cela, et il le serait sûrement encore longtemps. Mais les rares adeptes des arcanes de la magie, parfois, arrivaient à découvrir l'immortalité biologique, le voyage à travers les plans et la téléportation à grande distance instantanée. Tout comme eux, Atios, un être aux pouvoir assez grand, avait pris le temps de voyager. Des vacances donc. Il avait décider de revenir sur le plan mortel où il connaissait le plus de gens, où son plus grand rival existait (il était toujours enchaîner à la réalité du plan primaire.). Il avait une certaine part de responsabilité dans l'augmetation des pouvoirs de ce dernier. Il lui avait fourni la lame maudite Soul Edge, et lui avait coller nom de de défaite, l'entrainant toujours plus haut dans le panthéons des grande puissance de ce côté là de l'univers. Il avait quelque raison personnelles pour revenir après quelque temps d'absence, son projet pour l'humanité et sa domination mondiale, avec ou sans Len pour l'y aider, ainsi que d'autre raison plus simple, ou d'autre beaucoup plus complexe. Reste qu'il s'était transporter dans l'endroit le plus agréable parmi ceux qu'il eut connu chez les humains : Le rotenburo. Peu importe qui pu être présent, il attérit dans l'eau, serviette sur la tête, immergé dans le liquide aqueux sans chlorure de sodium. Un bon petit bain, alors qu'un clone s'amusait à gérer ses affaires.

Alors que Len, avec pour seul vêtement une serviette nouée à la taille, courait après Lan et que Atios apparaissait dans le rotenburo... mais que se passait-il avant cela ? Revenons un peu en arrière, au moment où Len se prélassait dans le rotenburo, méditant sur ses activités ou autrement dit ces derniers combats. Dernièrement il s'était frotté au frère de Médusa, Kiara Hopper-Rose ainsi qu'à la sale bête qu'était cette chimère de Faith. Il les avait combattu et vaincu, pas sans difficulté mais en réalité il ne s'était pas fait blessé gravement. Rien à voir avec son combat contre MDF ou ces anciens combats... Il se souvenait du temps où il combattait des gens aux pouvoirs supérieurs aux siens, tel que Fate, Arcueid... ou Atios. La personne qu'il considérait comme son principal rival, tandis qu'intérieurement il le voyait comme son meilleur ami. Cela faisait un bon moment qu'il n'avait pas entendu parlé de lui. Il faut dire que depuis qu'il avait disparu, ses séjours à l'hôpital s'étaient faits plus rares.

* A qui vais-je me mesurer à présent... hein, Atios ? *

Len leva les yeux vers le plafond et les ferma quelques instants, se remémorant d'anciens souvenirs qu'il avait. Il les rouvrit et sortit de l'eau, se dirigeant vers le vestiaire pour se sécher et se changer...

- KONO GAKI DE MER** !!! RENDS MOI IMMÉDIATEMENT MES VÊTEMENTS !

Les bruissements d'une confrontation se firent entendre, des bacs de serviette basculèrent sur le sol alors qu'une minuscule silhouette aux cheveux bleus sortait en trompe du vestiaire. A sa suite se trouvait Len, vêtu de sa serviette. Il venait de se faire dépouiller de ses vêtements par l'être qui s'acharnait à rendre sa vie difficile, le très connu... LAN TAO-HOPPER !!

- REVIENS ICI QUE JE TE TUE !!!

- Tu m'attraperas JAMAIS !!! Je suis plus insaisissable que le vent !

Nous en revenons donc au présent, après ce flashback descriptif. Len poursuivait inlassablement Lan, incroyable heureux d'être pourchasser de la sorte. Puis voilà que Len s'arrête, ressentant la distorsion qui accompagne la matérialisation d'un être magique. Lorsque celui-ci apparait, Len se frotta les yeux. Une fois. Deux fois. Il ouvrit la bouche, sans qu'aucun son ne s'en échappe. Même Lan s'était arrêté, tournant les yeux vers la scène qui se déroulait devant ses yeux. Len retrouva son sens de la parole, malgré l'incrédulité de la situation.

- Omae wa... Toi...

Atios venait à peine d'apparaitre quand une sorte de cacophonie mêler à un chaos parvint à ses oreilles ; celui-ci provenait du vestiaire (où il n'avait pas été, puisqu'il n'avait pas le loisir d'enlever ses vêtements de façon humaine pour autre chose que jouer avec les filles humaine, qui était plus aux goûts que d'autre créature forte attirante.... même s'il avait été sage avec les humaines ces huit cent ans durant.) Un cri très explicite d'une personne connu d'Atios provoquer par une autre personne connu, qu'il vu détaler avec des habits dans les bras. Atios sourit. La nostalgie de ces dernières années dans un autre univers ou le temps était beaucoup plus long que chez les humains (quelque mois terrestre = quelque centaines d'années) avait permis de sentir le besoin si humain d'avoir des amis, des gens à qui parler.

- KONO GAKI DE MER** !!! RENDS MOI IMMÉDIATEMENT MES VÊTEMENTS ! dit Len, poétiquement, à son futur fils. REVIENS ICI QUE JE TE TUE !!! compléta t'il. Ah, l'instinct paternel, c'était si magnifique!

- Tu m'attraperas JAMAIS !!! Je suis plus insaisissable que le vent ! Compléta la voix emplie de taquinerie, celle qui appartenait aux diable de fils de Len du futur. Un vrai petit parasite, si mignon, et pourtant si insupportable, même pour le tonton Atios qui avait eu la patience d'attendre 800 ans pour revenir ici. Mais d'un côté, il aimait bien ce gosse. Il irait loin ce petit, il en avait l'intime conviction. Mais voila que futur père comme futur fils s'arrêtèrent, incrédule l'un comme l'autre de le voir. Atios se téléporta hors de l'eau, transférant sa serviette autour de son entre-jambe.

- Qui veux-tu que ce soit d'autre ? Oui, c'est moi Atios. M'enfin, vu que la surprise ai raté, je vais plus me cacher... Je revien. dit-il en se téléportant dans le ciel, relachant son aura, jusqu'à lors complètement étouffer, pour de la discrétion. Imaginer le raz-de-marée de l'année 2004 ; c'était un peu ca, mais en plus grand, et simplement en terme d'aura. Une véritable vague d'énergie traversa la terre entière, jusqu'à se stabiliser. L'aura de Len eut pour une fois, quelque chose d'assez comparable pour s'opposer. Mais pour le moment, les auras étaient stable, aucune agressivité, donc elles seraient elles aussi calme. Après ce message muet mais très limpide, Atios revint.

- J'avoue, j'ai pas fais dans la discrétion, mais tu sais, retenir une telle pression, c'est dur... Alors, on dit plus bonjour à Tonton, Lan ? Et toi Len, t'à l'air d'avoir un peu rouiller. J'osais espérer que ta futur compagne t'entrainerai un peu. Mais bon, passons. Ca va bien depuis tout ce temps ? dit-il en souriant.

- Sachiburi... Atios. commença Len, alors qu'un demi-sourire s'étendait sur son visage. Je n'ai pas encore eu l'occasion de prendre ma revanche face à elle, mais tu arrives au bon moment. Après que je me sois occupé de MDF, tu seras le suivant.

Len ressentit la vague d'énergie provenant de l'aura libérée de Atios. Encore une fois, tout ceci intensifiait son envie de combattre. Mais il ne comptait pas le faire aujourd'hui car il avait déjà une personne en tête. De plus il devait avouer que Atios avait raison... il n'avait toujours pas repris son entraînement. Dans son état actuel il ne pourrait pas vaincre MDF ni même Atios. Il devra s'y remettre rapidement, en plus ces deux là n'étaient pas les seuls à avoir un bon niveau. Comment pourrait-il affirmer sa supériorité s'il ne retrouvait pas son véritable niveau ?

- ... Sinon, à part ça, tout va bien. termina-t-il.

Lan, quand à lui, s'était approché de Atios et l'observait depuis quelques secondes. Il perdit tout d'un coup son air pensif et laissa éclater une joie immense, tout en sautant au cou de Atios.

- YOUPII TONTON ATIOS EST DE RETOUR !! cria le jeune enfant, tout heureux et tout excité. Dis, dis, tu m'as ramené quoi comme cadeaux ?

... Il ne se détournait jamais de ce qui l'intéresser.

- Oh, pour moi ca fait très longtemps, effectivement. dit-il en souriant de façon assez enfantine à Len. Son petit périple extra-planaire loin des autres ne l'avait pas endurci plus que ca. M'enfin content de savoir que tu n'à pas arrêter de participer aux roustes du coins. Quant à Médusa, tu va avoir du fil à retordre. Même moi j'aurai eu du mal à la battre avant mes petites excursions sur des mondes assez spéciaux. Mais j'ai retrouver le vieux con qui avait inventer la théorie du Kaléidoscope... alors bon, question combat, ca devrait aller maintenant. dit-il, en tripotant la pic de Lan, le regard innocent.

Mais très vite, la pic lui monnta devant le visage, manquant de l'empaler ... Il eut le réflexe de pencher la tête en arrière alors que Lan voulait un cadeau. Mordiou, il n'y avait pas vraiment penser... Et son père l'aurai sûrement hacher à la petite cuillère s'il s'était amuser une arme maudite aux gosse. Il n'y pouvait rien, s'il collectionnait ces saloperies. Il se mordit la lèvre avant de faire apparaître une lance ... en mousse.

- Tiens, voila. Ton père t'apprendra à t'en servir .. quand ... quand tu sera un peu plus grand. Et garde la bien, elle à de la valeur.

Finalement il regarda Len en face et lui dit :

- Alors, t'à conclu avec sa mère ? dit-il en se préparant à esquiver un coup qui risquait de partir, le sourire au lèvres.

- Peu importe ses pouvoirs. Je l'écraserai comme je l'ai toujours fait : avec toute ma force et ma puissance !

Len nota tout de même que Atios semblait avoir enrichi son arsenal de pouvoirs. Len avait déjà du mal contre Médusa DF et Atios venait de lui dire qu'à présent il ne devrait plus avoir de problèmes pour la vaincre. Mais il n'allait pas baisser les ras si rapidement. Il n'en serait que plus fier de lui si la victoire serait difficile à obtenir. Atios venait de donner une arme à l'aspect étrange au petit diablotin qui lui rendait la vie difficile. Lan avait les yeux rempli d'étoiles et commençait à caresser son cadeau comme un jouet attendu depuis plusieurs mois.

- Youpii !! Merci Tonton Atios ! s'exclama Lan en sautillant de partout, avant de s'arrêter. Mais pourquoi tu me donnes pas Excalibur ? Ou Avalon ? Ou Balmung ? Je suis sûr que tu t'en sers plus alors donnes les moi toutes ! S'il te plaît Tonton ! S'IL TE PLAÎT !!!

Lan s'accrocha aux deux jambes de Atios, au moment où celui-ci demandait à Len si il avait conclut avec Médusa. Len s'apprêtait à balancer son pied sur Atios, mais il se retint et préféra donner son dos à Atios.

- La situation ne pourrait pas être pire... lâcha-t-il douloureusement.

- Hey non mon petit, ces objets là ont une valeur très particulière à mes yeux. Dit-il en mettant Lan sur ses épaules. Et fais gaffe avec cette Lance. Si je la scellais pas, t'aurai déjà pu empaler mortellement quelqu'un avec ... dit-il, le sourire en coin. Il écoutait Len qui lui indiquait qu'au final, entre lui & Médusa, c'était pas la grande forme. Que dire ? Si c'était la merde entre Len & Médusa, il n'y pouvait rien, vu qu'il les avaient laisser se débrouiller sans lui. Et c'était pas lui, sûrement pas LUI qui donnerait des conseils amoureux vu qu'il s'était pris assez de refus pour une éternité solitaire. Bouarf, ton rejeton est la preuve que c'est pas mort entre toi & elle. Tiens, ca te dit de venir avec moi aménager un local pour la semaine ? Vu que ma propriété sur les collines est toujours là mais délabrer, et qu'en semaine faut dormir sur le campus, il serait bon que je me réinstalle. Dit-il, neutre.

- Bon d'accord Tonton... lâcha Lan à contre cœur, avant de reprendre sa mine enjouie en levant ses deux bras en l'air dont sa lance. Ce soir je vais desceller ton cadeau et l'essayer sur Tonton Tacos ! hurla-t-il avec joie, certains allaient souffrir ce soir et pour une fois LDF ne recevra pas de tables. Len ne se laissa pas décourager. Après tout Atios avait raison il n'avait pas encore perdu. Pour l'instant Médusa était encore en colère suite à ce qu'il était arrivé à son frère par l'action de Len. Aussi il y avait été un peu fort en lui cassant le poignet et en lui tranchant l'autre bras. Mais il n'allait pas abandonner aussi rapidement, surtout pour satisfaire Kiara.

- Je t'accompagnerai et si tu as de la place je voudrais m'installer chez toi. Je n'ai pas vraiment envie de reprendre une chambre au foyer donc ta propriété me parait beaucoup plus tranquille. répondit Len, cachant maladroitement sa joie de revoir son meilleur ami/rival de toujours.

- Tu as raison, c'est comme ca que tu dois raisonner, mon petit Lan. Mais je crois que ce soir, tu va devoir annuler. Je sais que tu est du genre inventif, du coup, j'aurai un oeil dessus. Mais je t'encourage à tenter de braver mes protections, ca nous sera bénéfique tout les deux. dit-il à Lan. Effectivement, quand on à personne pour réussir à dépasser les précautions que l'on prend, on ne peux pas rendre plus effective. Quant aux problème épineux de Len, (du moins largement plus que les cheveux de ce dernier, bien qu'il ai une grosse pique planté sur le crâne) Pas de problème, mais bon, je sais qu'elle à tendance à dire que je suis un affreux homosexuel, faudra que je redouble mes efforts pervers sur les filles du coins du coup. Remarque, on aura qu'à aller en boite dans la ville d'à côté. dit-il, le sourire aux lèvres. Parce que, j'suis pas du genre à dormir avant une heure du matin, faut que je m'occupe le soir. Et même si les devoirs qu'ils filent me prennent la tête, je pourrai tenter de les faire, je trouve plus amusant d'aller faire un truc en ville le soir. Y à même des trucs marrant à voir.

Oui, des trucs marrant à faire, et à voir, y en avait des tas. Aller emmerder une bande de voyou sur leurs territoires, les doubler, torturer ces derniers ... sauter du haut d'un gratte-ciel vers un autre... et des trucs plus commun, un bowling, faire la fête, visiter les boutiques...

- Tant que je peux toujours m'entraîner, ça ne me dérange pas...

Len n'avait pas l'habitude de faire ce genre d'activités. Mais il avait promis à Satsuki qu'il ne recommencerait pas à s'entraîner jusqu'à ce que mort s'ensuive. Ainsi le programme que Atios lui proposait l'arrangeait plutôt bien, surtout que les deux garçons avaient déjà fait quelques conneries ensemble et que Len appréciait de passer des moments pareils avec son rival, ou plutôt ami dans ce genre de situation. Il aurait toujours le temps de s'entraîner, ça personne ne pourrait le changer...

- Tu me proposes un défi ? Un vrai défi ?!! Je le relève !! Si j'empale Tonton Tacos ce soir à l'aide des pouvoirs de Erin, oui je lui ai déjà donné un nom, alors je gagne ! ET TU DEVRAS ME PRÊTER BALMUNG PENDANT UNE SEMAINE MOUHAHAHA !!!

Lan, quand à lui, avait les yeux qui brillait, pas très rassurant pour certaines personnes mais pour nous qui ne risquons rien nous trouvons cette réaction amusante. KDF lui par contre va rapidement déchanter, ce soir il y avait des chances qu'aucune table ne soit jetée sur LDF... Il n'aura pas à remplaçait un énième fois le mobilier de sa maison, quel soulagement... Mais tout cela ne sera possible que si Lan parvient à déjouer les protections que Atios avait imposé sur la lance.
Pour la santé de KDF, prions pour que Lan trouve une autre occupation que de libérer les pouvoirs de la lance et de l'essayer sur son oncle.

- Ne l'empale pas, sinon j'aurai tes parents sur ton dos.. Héhé. Quant a Balmung, je te la prêterai une semaine. L'arme ne fait pas le guerrier, de toute façon. Entre de mauvaise mains, elle n'est qu'une arme. Dans les mains de son égal, elle est l'extension du guerrier. Dit-il, le sourire en coin. Oui, les parents de Lan, était peut-être pire que Lan, ce qui expliquait le tempérament du jeune Lan. Len du futur, en lui-même, n'était pas un mauvais père. C'est juste qu'il avait ses spécificités. Tout comme la mère de Lan, avait elle même ses propres spécificités. Pour rester poli. Déjà qu'à l'époque, elle n'était pas commode, et sûrement le pire exemple possible que l'on pouvait prendre en terme d'éducation. Mais il n'avait pas à se mêler de ce genre de chose. D'ailleurs, les choses dont il préférait s'occuper était multiple. A l'occasion, quand Lan serait plus grand, il aurai des choses à lui apprendre. Mais il était un peu jeune et plein de fougue pour le moment. D'ailleurs, avant de lui apprendre la magie, Atios aurai juger plus utile de le préparer. Bien qu'il n'était pas le mieux placer pour dire ca, apprendre la magie à tout va à des gens peu préparer peux devenir dangereux pour les bénéficiaires d'un tel savoir. L'expérimentation, était dangereuse, autant pour lui que pour un apprenti mage. Enfin.. Ce n'était que son avis. Et ses parents - il l'espère- seraient en mesure de le sauver en cas de besoin. Atios se leva, en silence.

- J'ai à faire. Len, je t'attendrai chez moi. Je profiterai des bains quand je pourrais me rinçer les yeux sur quelques excroissances mammaires, haha. Et sur ces mots, il disparu, sans raison.

- J'me demande quel serait le meilleur endroit... le mur du salon... la salle de bain... le jardin... Mince c'est dur de choisir !

Lan n'écoutait plus Atios. Il avait eu ce qu'il voulait et son cerveau travaillait à présent à l'élaboration d'un plan, fantastique d'après lui qui ne sera pas apprécié de la manière par certain. Malgré le fait qu'il soit issu de l'union de deux personnes aux pouvoirs phénoménaux, Lan était lui-même phénoménal pour son âge. Sa puissance et son intelligence pourrait le transformer en guerrier parfaitement accompli, si on omettait son caractère... Ses talents étaient uniquement employés pour son amusement et uniquement dans ce but. Mais bon, quand on pense que tout ce qu'il fait n'est qu'un amusement pour lui on peut se mettre à craindre qu'il ne tente de jouer à conquérir le monde.
Ne parlons pas de malheur et oublions ça.
Len salua Atios avant qu'il ne disparaisse comme il était venu. Il put ensuite dire les mots qu'il gardait pour lui et qu'il ne disait jamais en public, sur ce qu'il ressentait à l'instant.

- Tu es revenu plus fort... Il est à nouveau temps pour moi de surpasser ces stupides limites humaines. Après que je me sois occupé de MDF, ce seras à ton tour... mon ami.

Len fixa ses poings. Il sentait tout son corps lui dire qu'il était lui aussi impatient de combattre au-delà de ses limites. Mais chaque chose en son temps, il lui restait encore quelque chose à régler...

- Bon, sale morpion... on peut reprendre où on s'était arrêté.

Lan s'immobilisa et fit face à Len. Il jeta un coup d'oeil en arrière, jaugeant la distance qui lui restait à parcourir pour atteindre la porte... avant de faire un large sourire au petit chinois colérique.

- Attrape moi si tu peux... clone raté.

- Rien ne me ferais plus plaisir. J'espère que tu n'as pas peur de mourir.

Et c'est reparti. Lan se remit à courir à toute vitesse, poursuivi par Len, tenant la lance de Atios d'une main et les vêtements de Len dans l'autre main. La scène semblait identique qu'auparavant, mais elle ne l'était pas du tout... en tout cas pas en profondeur.
Len ne souriait pas quand il poursuivait Lan tout à l'heure.