La lune brillait d’une lueur assez faible, elle était en son quartier. Le ciel était couvert de quelques étoiles. Le chant des oiseaux gracieux, doux était remplacer par ce lui du chant de la nuit, ceux des grillons et autre. Le vent soufflait en apportant avec lui un vent frais et doux. Les vagues qui du lac qui s’ondulait selon la force du vent était à peine éclairé.

Le vent doux caressait le visage d’une jeune fille aux yeux couleur noisette, au visage inexpressif, aux longs cheveux bruns. Son visage inexpressif était explique par son absence. En faite elle rêvassait en regardant la plage. C’était l’un de ses endroits favoris, là où elle aimait passer ses journées. La jeune fille était adossée contre un cocotier les bras croisés, elle rêvait. Caché, où plutôt silencieuse elle restait là, sans bouger. Puis quitta le monde des songes et maintenant elle s’assit sur un rocher plat, puis s’allongea dessus, regardant la lune.

Elle se mit à chanter d'une voix douce et mélancolique une chanson, une chanson qui lui tenait énormément à coeur, cette chanson lui était nostalgique, c'est celle que lui chantait Dame Fushigi. Souvent elle chantait accompagner d'une flûte, mais la chanter sans accompagnement était encore plus jolie et agréable à entendre. Cette chanson elle la chantait grâce, son âme était comme mélée à celui de sa mère, elle se sentait rassurée.C'était assez compliqué à expliquer. Portant sa main sur le coeur elle continuait a chanter, s'avançant dangereusement vers l'eau, mais lorsque son pied toucha l'eau, ses ailes bicolores apparurent et la fire léviter. Des ailes noires et blanches. Sa bague autour de son doight brillait, d'une lueur plutôt bleuté. Le vent commençait a souffler vraiment fort. Elle commençait à avoir froid, des frissons parcourus son corps. Mais elle paraissait insenble.

Elle était vêtue de son uniforme de lycéenne, rien de plus banale. Mais que faisait une lycéenne ici? Rien. Puis l’ange entendit des bruits de pas, des bruits légers. Se retournant lentement, ses yeux bleus essya de voir le visage de l’inconnu.