MAHORA LIVE!?
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

MAHORA LIVE!?


 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Ptite histoire...d'amour?XD

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Lycéen


avatar
Enériel Zéphyr

▬ INSCRIPTION : 31/12/2007
▬ ÂGE : 31

▬ MESSAGES : 849
▬ LOCALISATION : Bretagne


Feuille de Perso
▬ NOM : Talik Hakagami/Rosalin S.T Hakagami
▬ CLASSE:
▬ AMOUREUX(SE) DE : Ev... *SBANG!*


Ptite histoire...d'amour?XD _
MessageSujet: Ptite histoire...d'amour?XD   Ptite histoire...d'amour?XD EmptyMer 26 Mar - 9:51

Je tiens tout d'abord à dire que j'ai mis les noms et adjectifs au pif et que c'est le générateur qui à fait que l'histoire est comme ça!XD


Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Daïsuke embrumait Mahora. Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Il traversa le campus, et bizarrement sourit au clochard qui le regardait d'un oeil morne. Après avoir longtemps marché, il arriva enfin devant la maison.

Il chercha alors ses clefs, mais s'aperçut que sa poche était vide. Il réalisa alors que celle-ci était percée. Il se frappa le front: comment allait-il entrer chez lui? Après avoir passé en revue les différentes possibilités, il décida de rentrer par la fenêtre entrouverte. Il jeta un coup d'oeil rapide alentour, passa une jambe, puis l'autre, et se retrouva dans la cuisine. Soudain, la lumière s'alluma...
- C'est toi? Que fais-tu là? Pourquoi tu n'as pas sonné?
Cristal était là, debout sur le pas de la porte de la cuisine, et tenait dressée au-dessus d'elle une poêle à frire.
- Et toi? Répondit Daïsuke. Je ne pouvais pas savoir que tu étais là!
Le visage de Cristal se radoucit. Elle posa la poêle et sourit:
- Je n'avais pas de travail, aujourd'hui.
Elle était belle. Ses yeux, sa bouche, tout s'éclairait chez elle.
- Viens, dit-elle.
Daïsuke pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil.
Il ferma les yeux, et bailla.
- Viens sur mes genoux, dit-il à Cristal. Je vais te raconter quelque chose.
Celle-ci obtempera, et fit comme si elle ne se doutait de rien. Mais elle savait exactement ce qui allait se passer. D'ailleurs, elle ne fut pas sitôt près de lui qu'il la serra dans ses bras et se mit à l'embrasser fougueusement. Peu après, elle le regarda et lança:
- Tu es tellement prévisible que tu en es touchant!
- Ah oui? Fit Daïsuke. Ça, c'est ce que tu crois. Car j'ai la preuve du contraire.
- J'aimerais bien voir ça!
- Viens, je vais te le dire en secret... dit-il.
Mais Cristal, pas dupe, se jeta sur lui avant qu'il n'ait eu le temps de tenter quoi que ce soit, et l'embrassa à son tour.
- Je t'aime, dit Daïsuke.
- Je t'aime aussi, dit Cristal.
Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens.
- Voici maintenant quatre mois que tu m'es apparue. Et tu es la seule personne que j'aie jamais aimée.
- Il en est de même pour moi, mon chéri, déclara Cristal. Personne ne pourra remplacer ton si fort sourire. Tu es unique, grâce à plein de petites choses. Personne n'a ta démarche, Personne n'a tes cheveux. Personne n'imite aussi bien que toi le cri du chat. Personne ne connait l'histoire de Mahora aussi bien que toi. Personne à part toi ne m'a jamais dit que j'étais belle. Bref, personne à part toi ne mérite d'être dans mon coeur.
- Embrassons-nous encore... souffla Daïsuke.
Ils s'embrassèrent donc. Au loin, on entendait ''Kyle's Mom Is A Bitch'' de South Park. D'où cela venait-il? Quelle importance, du moment que c'était là. Bientôt, la musique, l'amour, les entraînèrent dans un tourbillon sans fin. Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. Mahora était loin. Ils virent passer un sapin, au dessous d'eux. Puis deux. Maintenant, ils étaient sur la mer. Ils frissonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris. On se serait cru dans un tableau de Gaugain. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait. Quelques gouttelettes de pluie vinrent alors troubler cet océan, tels des pizzicatos que le vent sifflant emportait au loin avant de les renvoyer à la figure des amoureux. Après quelques instants les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. Cristal, que la folie saisissait, se voyait roter au milieu des éclairs... Plus la musique jouait plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissaient, se brisant bientôt contre leurs pieds dans une explosion d'écume crépitante, poussées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immenses et la pluie tranchait le ciel plus sombre que la plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que ça faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonnaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leurs mains... et tout s'arrêta soudain.
- Cristal...
- Oui?...
- Cristal... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Daïsuke.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop beau pour que je te quitte, répondait Cristal. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Talik. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.


PS: Fait grace à un générateur d'histoires(http://www.unpeudamour.com/roman/leroman.php)
Revenir en haut Aller en bas
http://blogdunebelette.wordpress.com
Tout-puissant


Médusa Hopper
Médusa Hopper

▬ INSCRIPTION : 26/07/2006
▬ ÂGE : 29

▬ MESSAGES : 47029
▬ LOCALISATION : roaming the world


Feuille de Perso
▬ NOM : HOPPER
▬ CLASSE: Je ne suis pas le cursus scolaire
▬ AMOUREUX(SE) DE : *S'accroche au bras de Len*


Ptite histoire...d'amour?XD _
MessageSujet: Re: Ptite histoire...d'amour?XD   Ptite histoire...d'amour?XD EmptyMer 26 Mar - 9:58

XDDDDDDDDD Noms au hazard, je me foutais de la gueule du générateur, donc pas taper!

Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Len embrumait Mahora. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Plus vite qu'il ne l'aurait pensé, il se retrouva devant la porte.

Sans attendre, il sonna. Quelques secondes s'écoulèrent. Les tempes de Len battaient. Comme personne n'ouvrait, il sonna une nouvelle fois. Mais rien ne se passa. Il frappa, sonna, frappa, sonna encore et encore... puis il décida d'attendre.
Il attendit une heure. Puis deux. Au bout de trois heures, désespéré, il se leva, et après avoir sonné une dernière fois, tourna les talons et s'en alla. Mais à peine fut-il en route qu'un bruit de verrou attira son attention. Il fit volte-face, et aperçut Médusa sur le pas de la porte.
- Je... excuse-moi, dit-elle. Je suis désolée, je... je...
- Tu es si démoniaque, la coupa Len.
- Entre, ajouta Médusa.
Len pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil.
Il ferma les yeux, et bailla.
- Viens sur mes genoux, dit-il à Médusa. Je vais te raconter quelque chose.
Celle-ci obtempera, et fit comme si elle ne se doutait de rien. Mais elle savait exactement ce qui allait se passer. D'ailleurs, elle ne fut pas sitôt près de lui qu'il la serra dans ses bras et se mit à l'embrasser fougueusement. Peu après, elle le regarda et lança:
- Tu es tellement prévisible que tu en es touchant!
- Ah oui? Fit Len. Ça, c'est ce que tu crois. Car j'ai la preuve du contraire.
- J'aimerais bien voir ça!
- Viens, je vais te le dire en secret... dit-il.
Mais Médusa, pas dupe, se jeta sur lui avant qu'il n'ait eu le temps de tenter quoi que ce soit, et l'embrassa à son tour.
Puis Len approcha sa bouche de l'oreille de son amie et chuchota quelque chose d'imperceptible. Soudain, une larme coula sur la joue de Médusa.
- Moi aussi, je t'aime, dit-elle.
- Ça y est... cela fait déjà un an... cela fait une année, une année que la foudre m'a frappé... cela fait un an que nous nous sommes rencontrés. Et je voulais que tu saches que tu es mon premier amour. Le premier et le dernier.
- Oh... c'est bien vrai?
- Oui, c'est vrai.
- Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi Froid à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Len rougit. Il se sentait bien. Au loin, un lapin criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
- Ma puce... Médusa...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un sapin, en train de Mourir à l'air libre. Près d'eux, The Click Five chantait ''Just The Girl'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Len fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Quelqu'un, Médusa réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Len rouvrit les yeux.
- Médusa...
- Oui?...
- Médusa... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Médusa, car hier matin, Talik a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Len est plus galant que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''

Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.


Le début est louche!O.o
Revenir en haut Aller en bas
https://www.facebook.com/2bitcosplay
Collégien


Sakura-chan
Sakura-chan

▬ INSCRIPTION : 19/11/2007
▬ ÂGE : 27

▬ MESSAGES : 618
▬ LOCALISATION : Dans le ch'nord!


Feuille de Perso
▬ NOM : Sakura (Arazuma)
▬ CLASSE:
▬ AMOUREUX(SE) DE : De quelqu'un mais chuut .x.


Ptite histoire...d'amour?XD _
MessageSujet: Re: Ptite histoire...d'amour?XD   Ptite histoire...d'amour?XD EmptyMer 26 Mar - 10:23

Delire xD


Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Nicolas embrumait L'Elysée. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Après avoir longtemps marché, il arriva enfin devant la maison.

Il chercha alors ses clefs, mais s'aperçut que sa poche était vide. Il réalisa alors que celle-ci était percée. Il se frappa le front: comment allait-il entrer chez lui? Après avoir passé en revue les différentes possibilités, il décida de rentrer par la fenêtre entrouverte. Il jeta un coup d'oeil rapide alentour, passa une jambe, puis l'autre, et se retrouva dans la cuisine. Soudain, la lumière s'alluma...
- C'est toi? Que fais-tu là? Pourquoi tu n'as pas sonné?
Carla était là, debout sur le pas de la porte de la cuisine, et tenait dressée au-dessus d'elle une poêle à frire.
- Et toi? Répondit Nicolas. Je ne pouvais pas savoir que tu étais là!
Le visage de Carla se radoucit. Elle posa la poêle et sourit:
- Je n'avais pas de travail, aujourd'hui.
Elle était riche. Ses yeux, sa bouche, tout s'éclairait chez elle.
- Viens, dit-elle.
Nicolas pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Mais soudain, Carla se jeta sur lui. Sans qu'il n'ait eu le temps de réagir, elle l'embrassa fougueusement. Cela dura longtemps. Nicolas sentait son coeur battre la mesure de cette musique silencieuse... Cela était doux, comme à chaque fois. Cela n'en finissait plus... jusqu'à ce que les lèvres de Carla se détachent, pour glisser dans un souffle imperceptible:
- Tu m'as manqué...
Puis Nicolas approcha sa bouche de l'oreille de son amie et chuchota quelque chose d'imperceptible. Soudain, une larme coula sur la joue de Carla .
- Moi aussi, je t'aime, dit-elle.
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et j'ai toujours su que c'était toi l'amour de ma vie. Et ce, malgré mes aventures passées.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Carla .
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus mannequin que je n'ai jamais connue! La plus mannequin de tout L'Elysée! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si reconnu par les pingouins...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce Premier Ministre, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Nicolas, tu as beaucoup de qualités...
- Embrassons-nous encore... souffla Nicolas.
Ils s'embrassèrent donc. Au loin, on entendait ''Ode Au Président'' de Quelqu'un D'inconnu. D'où cela venait-il? Quelle importance, du moment que c'était là. Bientôt, la musique, l'amour, les entraînèrent dans un tourbillon sans fin. Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. L'Elysée était loin. Ils virent passer un arbre a sous , au dessous d'eux. Puis deux. Maintenant, ils étaient sur la mer. Ils frissonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris. On se serait cru dans un tableau de Monet. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait. Quelques gouttelettes de pluie vinrent alors troubler cet océan, tels des pizzicatos que le vent sifflant emportait au loin avant de les renvoyer à la figure des amoureux. Après quelques instants les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. Carla , que la folie saisissait, se voyait emmerder au milieu des éclairs... Plus la musique jouait plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissaient, se brisant bientôt contre leurs pieds dans une explosion d'écume crépitante, poussées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immenses et la pluie tranchait le ciel plus sombre que la plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que ça faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonnaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leurs mains... et tout s'arrêta soudain.
- Notre mariage a été la plus merveilleuse idée de notre vie, murmura Carla .
- Je suis bien d'accord avec toi...
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Nicolas.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop chiant pour que je te quitte, répondait Carla . Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Jacques Chirac. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.
Revenir en haut Aller en bas
Tout-puissant


Satsuki Yotsuba
Satsuki Yotsuba

▬ INSCRIPTION : 11/07/2006
▬ ÂGE : 31

▬ MESSAGES : 55086
▬ LOCALISATION : Dans un endroit que j'aime.


Feuille de Perso
▬ NOM : Satsuki Yotsuba
▬ CLASSE: 2A
▬ AMOUREUX(SE) DE : Watashi wa koko ga harimasu kara...^^


Ptite histoire...d'amour?XD _
MessageSujet: Re: Ptite histoire...d'amour?XD   Ptite histoire...d'amour?XD EmptyMer 26 Mar - 10:48

XDD Enfin quelqu'un qui a retrouvé ce site! XD
Bon, allons plomber allégrement Love Hina, même si c'est vraiment méchant... Et pardon à Ken!

Hinata n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Keitarô. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Sans comprendre, il fut face à la porte.

Sans attendre, il sonna. Quelques secondes s'écoulèrent. Les tempes de Keitarô battaient. Comme personne n'ouvrait, il sonna une nouvelle fois. Mais rien ne se passa. Il frappa, sonna, frappa, sonna encore et encore... puis il décida d'attendre.
Il attendit une heure. Puis deux. Au bout de trois heures, désespéré, il se leva, et après avoir sonné une dernière fois, tourna les talons et s'en alla. Mais à peine fut-il en route qu'un bruit de verrou attira son attention. Il fit volte-face, et aperçut Naru sur le pas de la porte.
- Je... excuse-moi, dit-elle. Je suis désolée, je... je...
- Tu es si bourrine, la coupa Keitarô.
- Entre, ajouta Naru.
Arrivé au salon, Keitarô s'assit dans un fauteuil et soupira. Mais soudain, Naru se jeta sur lui. Sans qu'il n'ait eu le temps de réagir, elle l'embrassa fougueusement. Cela dura longtemps. Keitarô sentait son coeur battre la mesure de cette musique silencieuse... Cela était doux, comme à chaque fois. Cela n'en finissait plus... jusqu'à ce que les lèvres de Naru se détachent, pour glisser dans un souffle imperceptible:
- Tu m'as manqué...
- Je t'aime, dit Keitarô.
- Je t'aime aussi, dit Naru.
Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens.
- Depuis toutes ces années que nous nous connaissons, je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Oh... c'est bien vrai?
- Oui, c'est vrai.
- Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi stupide à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Keitarô rougit. Il se sentait bien. Au loin, un singe criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
- Ma puce... Naru...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un cerisier décrépit, en train de se taper dessus à l'air libre. Près d'eux, Homer Simpson chantait ''La Fameuse Ode à Ned Flanders'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Keitarô fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Anne, 31 Ans, Naru réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Keitarô rouvrit les yeux.
- Notre mariage a été la plus merveilleuse idée de notre vie, murmura Naru.
- Je suis bien d'accord avec toi...
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Keitarô.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop attardé pour que je te quitte, répondait Naru. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Ken Akamatsu. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Ils s'embrassèrent pendant des heures. Des jours. Des années. Si d'aventure vous ne croyez plus à l'amour, sachez qu'en ce moment même ils s'embrassent quelque part.


PS : Médu-chan, j'aime bien le coup de la toile de quelqu'un XDD
Revenir en haut Aller en bas
http://akhtscartoon.canalblog.com
Lycéen


Risa Tsubaki
Risa Tsubaki

▬ INSCRIPTION : 25/11/2006
▬ ÂGE : 32

▬ MESSAGES : 13729
▬ LOCALISATION : A traîner, comme d'hab


Feuille de Perso
▬ NOM : Michiyo Natsuke
▬ CLASSE:
▬ AMOUREUX(SE) DE : Vous pensez que c'est bien d'aimer ? Si j'aimais... Je ne pourrais plus aider les gens, et je devrais penser à moi, non ?


Ptite histoire...d'amour?XD _
MessageSujet: Re: Ptite histoire...d'amour?XD   Ptite histoire...d'amour?XD EmptyMer 26 Mar - 14:17

Bon, en v'la un que j'ai essayé... ça le fait pas T-T

Yaoi XD
par Ma-Je


Les cheminées fumantes enveloppaient Shinmakoku d'une brume artificielle, et firent tousser Yuuri. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.

Rapidement, il sortit sa clef, et fébrilement, la fit tourner dans la serrure. Il n'avait pas abaissé la poignée que la porte s'ouvrit.
- J'ai pensé à toi toute la journée!
Wolfram se tenait là, devant lui. Sa bouche jaloux se fondait en une sorte de croissant de lune mielleux, et ses yeux brillaient comme deux étoiles.
- Tu viens? Dit-elle.
Yuuri pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Puis il fixa Wolfram. Celle-ci était debout près de lui. Lui tremblait d'émotion. Elle, ne disait rien. Il se leva, s'approcha d'elle.
- Wolfram...
Elle détourna la tête.
- Wolfram, répéta-t-il.
Alors elle le regarda. Au moment où leurs regards se croisaient, leurs lèvres se touchèrent.
- Euh... bredouilla Yuuri.
Mais les mots ne venaient pas... alors Wolfram passa sa main derrière la nuque de son ami, et l'embrassa. Cela dura une éternité. C'était la première fois qu'ils ressentaient une telle émotion, et ils ne s'arrêtaient plus.
Puis lorsque les premières étoiles scintillèrent dans leurs yeux épuisés, leurs lèvres se quittèrent. Comme deux plongeurs en apnée, ils reprirent leur souffle en même temps que leurs émotions.
Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Wolfram poussa un soupir qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Yuuri en profita pour articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Voici maintenant quatre mois que tu m'es apparue. Et tu es la seule personne que j'aie jamais aimée.
- Il en est de même pour moi, mon chéri, déclara Wolfram. Personne ne pourra remplacer ton si idiot sourire. Tu es unique, grâce à plein de petites choses. Personne n'a ta démarche, Personne n'a tes cheveux. Personne n'imite aussi bien que toi le cri du dragon. Personne ne connait l'histoire de Shinmakoku aussi bien que toi. Personne à part toi ne m'a jamais dit que j'étais sexy. Bref, personne à part toi ne mérite d'être dans mon coeur.
- Ma puce... Wolfram...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un Cerisier, en train de embrasser à l'air libre. Près d'eux, Simple Plan chantait ''Shut Up'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Yuuri fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de De Vinci, Wolfram réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Yuuri rouvrit les yeux.
- Wolfram...
- Oui?...
- Wolfram... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Wolfram, car hier matin, Tinou a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Yuuri est plus boulet que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''

Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.

Et une deuxième :

ça le fait pas non plus XD

Yuri
par Ma-Je


Mahora n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Shiia. Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.

Sans attendre, il sonna. Quelques secondes s'écoulèrent. Les tempes de Shiia battaient. Comme personne n'ouvrait, il sonna une nouvelle fois. Mais rien ne se passa. Il frappa, sonna, frappa, sonna encore et encore... puis il décida d'attendre.
Il attendit une heure. Puis deux. Au bout de trois heures, désespéré, il se leva, et après avoir sonné une dernière fois, tourna les talons et s'en alla. Mais à peine fut-il en route qu'un bruit de verrou attira son attention. Il fit volte-face, et aperçut Sakaime sur le pas de la porte.
- Je... excuse-moi, dit-elle. Je suis désolée, je... je...
- Tu es si sadique, la coupa Shiia.
- Entre, ajouta Sakaime.
Shiia pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Mais soudain, Sakaime se jeta sur lui. Sans qu'il n'ait eu le temps de réagir, elle l'embrassa fougueusement. Cela dura longtemps. Shiia sentait son coeur battre la mesure de cette musique silencieuse... Cela était doux, comme à chaque fois. Cela n'en finissait plus... jusqu'à ce que les lèvres de Sakaime se détachent, pour glisser dans un souffle imperceptible:
- Tu m'as manqué... Après avoir repris ses esprits, Shiia lança:
- Tu sais, je...
- Chut... fit Sakaime.
- Je...
- Il n'y a pas de mots...
- Si...
- Non...
- Si... je t'aime, Sakaime.
Celle-ci fut prise d'un sanglot:
- C'est vrai? Oh... moi... moi aussi mon amour!
- Ça y est... cela fait déjà un an... cela fait une année, une année que la foudre m'a frappé... cela fait un an que nous nous sommes rencontrés. Et bien que j'aie eu d'autres aventures avant de te connaître, je t'aime cent fois plus que toutes les autres femmes réunies.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Sakaime.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus ironique que je n'ai jamais connue! La plus ironique de tout Mahora! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si naïve...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce chat, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Shiia, tu as beaucoup de qualités...
- Embrassons-nous encore... souffla Shiia.
Ils s'embrassèrent donc. Au loin, on entendait ''Dernière Danse'' de KYO. D'où cela venait-il? Quelle importance, du moment que c'était là. Bientôt, la musique, l'amour, les entraînèrent dans un tourbillon sans fin. Il n'y avait plus de plafond, plus de mur. Mahora était loin. Ils virent passer un arbre-monde, au dessous d'eux. Puis deux. Maintenant, ils étaient sur la mer. Ils frissonnèrent... était-ce le vent qui s'était levé et qui faisait frémir un peu leur peau? Quelques nuages voilèrent le ciel. A mesure que les notes s'envolaient, la musique devenait de plus en plus belle, et le ciel de plus en plus gris. On se serait cru dans un tableau de Monet. Des larmes de joie dans la voix, la musique jouait. Quelques gouttelettes de pluie vinrent alors troubler cet océan, tels des pizzicatos que le vent sifflant emportait au loin avant de les renvoyer à la figure des amoureux. Après quelques instants les gouttes grossirent, s'écrasant lourdement sur la surface de l'eau. Sakaime, que la folie saisissait, se voyait rougir au milieu des éclairs... Plus la musique jouait plus le temps s'agitait, plus le ciel s'assombrissait, plus les vagues grandissaient, se brisant bientôt contre leurs pieds dans une explosion d'écume crépitante, poussées par des bourrasques assassines... leur baiser dansait sur cet air tourmenté, cet océan symphonique, cet opéra dramatique, les vagues étaient à présent immenses et la pluie tranchait le ciel plus sombre que la plus noire des nuits, c'était affreusement grand et terriblement beau, si beau que ça faisait mal, la musique hurlait sa douleur, de plus en plus fort, les notes tourbillonnaient, le vent devenait tornade, les vagues devenaient rouleaux, les amants tournoyaient, autour de leurs bouches, autour de leurs mains... et tout s'arrêta soudain.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Shiia.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop grande pour que je te quitte, répondait Sakaime. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Fate. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Ils s'embrassèrent pendant des heures. Des jours. Des années. Si d'aventure vous ne croyez plus à l'amour, sachez qu'en ce moment même ils s'embrassent quelque part.
Revenir en haut Aller en bas



Contenu sponsorisé





Ptite histoire...d'amour?XD _
MessageSujet: Re: Ptite histoire...d'amour?XD   Ptite histoire...d'amour?XD Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Ptite histoire...d'amour?XD

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
MAHORA LIVE!? :: En dehors du jeu... :: Espace membres-
Sauter vers: