Dans le ciel au dessus de la forêt, c’est le calme plat. Mais s’ils ont voit, observant bien on voit une sorte d’étoile filante, mais une étoile filante alors que la nuit approche on avait plutôt l’impression de voir une boule de feu arriver sur la planète. Cette boule de feu prenant peu à peu la forme d’un ovale qui réduit de taille par la même occasion laissant les débits derrière lui. Approchant dangereusement la terre ferme, la boule de feu se fait voir par une forme métallique une queue de fumée noire derrière lui finissant sa route dans la forêt en prenant le temps de stopper sa course effréné, au bout de plusieurs centaines de mètre, la fumée noire continuant à emmètre dans le ciel sombre de la nuit. Forte heureusement qu’il fasse nuit, mais la secousse qu’avait provoqué la chute de la masse métallique avait surement éveillé quelqu’un qui se trouve dans les environs. C’est seulement au bout de quelque instant que quelqu’un frappait se qui semblait une porte en métal, on entendait aussi quelqu’un parler dans une langue complètement inconnue. Impossible de comprendre se qu’il dit surtout à travers la porte, puis une lame noire fini par transpercer la porte qui avait l’air pourtant solide pour la couper lentement mais sûrement, un peu de fumée sortant de l’entaille. L’être qui tenait l’épée répétait sans arrêt la même chose Il fini par sortir. Un petit garçon aux cheveux blanc, habillé entièrement de noir, ses yeux jaunes regardant autour de lui pour voir si personne n’était dans les environs. Constatent que son moyen de transporte était bel et bien foutu, il ne resta pas plus longtemps sur les parages, essayant tout de même d’éteindre le feu avec un peu de magie d’eau sous forme de jet sortant de la paume de la main. Une fois fini, il ordonna, toujours dans une langue étrange et incompréhensible, à l’épée de reprendre sa forme inoffensive à savoir une forme de bracelet noir, le bracelet parlant dans la même langue que lui. Il ne fit rien de plus. Il prit place dos à l’un des arbres et attendit tranquillement. Repos nécessaire afin d’être prêt à une quelconque présence hostile.

Quelqu’un venant de l’espace ne pouvait pas tomber plus bas. La terre ferme est stable et aucune grotte ne semblait être apparemment, sinon le vaisseau aurait fait effondrer le sol sur lui-même. Rien de bien malheureux n’est encore arrivé bien que cela cacherait l’appareil. Si seulement c’était le cas juste après que Duscisio ait eu étend le feu. En sortant il n’y avait pas bien personne. Avant il faisant quelques petite chose et pour sur il en mit du temps. Comment se retrouver là dedans alors qu’il avait prit un mauvais coup dans la fumée. A se demander s’il n’était pas mort bien que personne ne le sait, tout du moins pour le moment.

Toribrioé ne s’arrêtant pas de lui crier de se réveiller dans cette langue inconnue, sous sa forme d’ectoplasme alors qu’elle ne pouvait pas le toucher c’est un contact froid spirituel. Son kimono de combat qu’elle portait à l’époque. Essayant en vain de le secouer, ne passant à travers lui tout le temps et sans espoir de le réveiller à temps peur d’une explosion qui n’arrangerait pas les choses. Le temps passe mais finalement Duscisio se réveille dans le chaos de l’atterrissage. Il n’a jamais fait une tel arriver avant. Sans doute dût à la gravité de la planète plus forte que Tifivicia lorsqu’il rencontra la première fois Duscisio alors qu’ils ne se comprenaient pas l’un l’autre. Difficile de faire mieux en termes de rencontre. Enfin bon, rien ne peut être parfait dans la vie comme dans la mort. Sans nul doute que Toribrioé doit beaucoup à Duscisio et Duscisio à Toribrioé autrefois princesse d’un royaume planétaire. Qui pourrait le croire. Maintenant il fallait savoir qu’elle était l’état des lieux une fois sortie du vaisseau. Langue parlé, technologie, culture, mentalité. Les personnes de cette planète attaque t’il n’importe qui de différant comme Duscisio ? Etait t’ils sympathique ou méfiant, dur ou simplet, agressif ou pacifiste ? Mais se n’est pas en restant dans le vaisseau qu’il le saura.

Il était tant de se lever maintenant afin de sortir du vaisseau, éteindre le tout et enfin savoir se qu’il en est de sa situation. C’est en fouillant le vaisseau qu’il cherchait des affaires apprendre d’utile, vêtements, armes en tout genre laisser par les sujets de la reine de Tificivia.

Il sortit au bout d’un moment à se cacher le visage de la fumée toxique plus ou moins pour lui, ne lui faisant que couper une respiration presque inexistante, mais des picotements aux yeux et à la gorge qui lui sont désagréable par contre. C’est après avoir éteins le feu qu’il se mit contre l’arbre. Qui se douterai qu’il fut observé par deux des habitants de la planète, en pleine nuit maintenant, le bras portant Toribrioé sous sa forme bracelet par-dessus sa jambe plier, pied poser à plat sur le sol, le regard de Duscisio poser sur la porte du vaisseau qu’il avait découpé à l’épée pour en sortir. En même temps, quoi de plus normal de se demander se qui a fait tout ce bouquant alors que tout était calme, une masse entre marron et grise présent sur le sol encore fumante.

Laissant tomber son bras sur le côté, il fut tout de suite avertis de deux présences visibles par Toribrioé présent sur le poignet maintenant au sol. Duscisio se pencha pour regarder les deux personnes présentes en train de regarder l’épave. Ne comprenant pas se qu’ils disaient aucun doute qu’il allait devoir encore une fois prendre un peu de temps avant de pouvoir communiquer avec tout le monde. Il se redressa et se leva rapidement sans montrer le moindre signe de fatigue. Ne faisant que quelques pas pour se trouver face à eux, levant son bras gauche et ouvrant la bouche pour les saluer.

Bonsoir, messieurs.

Mais que dit t’il ? Impossible de savoir pour ses deux personnes ne connaissant pas un mot de se qu’il dit. Cela pouvait être prit par n’importe quoi, mais le signe de main n’avait rien d’agressif. Il se pointa du doigts pour se faire comprendre le plus possible et en premier se présenter sous le nom de…

Duscisio.

Il pointa ensuite le doigt sur ses deux jeunes hommes attendant de savoir se qu’il voulait entendre, c'est-à-dire leur nom, s’il continuait plus loin, il les arrêtera tout de suite. Il fit signe avec ses deux mains comme un ouvrage à lire, espérant qu’il comprenne cela également parlant dans sa propre langue sans qu’ils ne comprendre quoi que se soit malheureusement.

Vous savez ou je peux trouver quelques choses pour apprendre votre langue ?

Bien sûr qu’il ne comprendrait pas. Comment voulait t’il comprendre une langue si difficile à leur oreille, preuve un soutenable qu’une langue pareil ne pouvait exister sur cette planète. Leur tête pencher sur le côté il avait l’air de deux personnes perdu en plein milieu d’une conversation, sauf que cette fois ci c’était uniquement la faute d’une différence de langue et rien d’autre. Cette barrière pour l’instant infranchissable devait être percée rapidement pour éviter le moindre conflit entre les deux peuples différents, quelques jours devraient suffire. Néanmoins ils comprirent qu’il fit un salut plus ou moins compréhensible par le geste qu’il avait accompagné l’intention. Toribrioé restant muette le temps de savoir si ce peuple avait une connaissance magique suffisante pour qu’elle parle et se montre sous forme d’épée, forme d’ectoplasme réserver uniquement pour l’œil de Duscisio ou ceux qu’ils sont digne de confiance. Il ne connait personne pour le moment, donc personne ne verra la forme fantôme de la jeune femme décédé présente sous une forme de bracelet noir autour du poignet droit du jeune garçon devant cette masse de métal qui semblait également intriguer les deux personnes en face de lui. Comment nommer autre que personnes quand t’on ne connait pas le nom de la planète. Pour Fallacia, c’est fallacien. Pour Ichlavicia, c’est Ichlavicien. Pour Tifivicia, c’est Tifivicien. Et pour cette planète ? Le nom Earth qu’il a vu sur le petit vaisseau en orbite avant d’arriver sur la planète serait le nom de la planète ? Alors ce peuple se nommerait Earthien ?

Ses deux là se présentèrent de gauche à droite et respectivement Calpis et Ramune. Il se moqua discrètement du nom de Calpis en lui faisant penser au nom Clapis, étrange ressemblance, qui ne voulait simplement dire le liquide jaunâtre d’un quelconque animal. Il n’en dit pas car la compréhension de son petit rire ne serait pas possible.

Dans le doute le regard qu’ils posaient sur le jeune albinos venant d’un autre monde, ne pouvait faire que des suppositions. La ressemblance avec un être humain est flagrante, la seul chose qui les différencies ici serait ses yeux jaunes dût la couleur de son sang et sa peau et cheveux blanc dût à son albinisme. Il pourrait très bien avoir les yeux rouges, verts ou autre couleur normal enfin si le rouge fait partie des couleurs de yeux normaux sur la planète, s’il ne sait pas la couleur de leur sang il ne peut supposer que cela soit le cas qu’il existe également des albinos sur cette planète qui aurait cette couleur de yeux et de sang, se qui ne serait guère étonnant.

Par contre le mot livre fut prononcé, livre. Il prononça encore une fois ce mot de leur langue tout en faisant le signe qu’il a fait la première fois. Ce mot serait son premier mot apprit dans leur langue, une bonne chose en sachant qu’il pourra demander à autre personne de savoir ou se trouve ce livre qu’il pourrait avoir pour les comprendre enfin.

Livre ?

Il refit encore une fois le mot suivi du geste pour savoir si c’était bien la traduction de sa question. Il avait l’air stupide en posant cette question mais se n’était pas sa faute. Il ne savait pas parler leur langue et c’était bien dommage, il est sur le point de faire le premier pas avec sa première rencontre, c’est une très bonne chose en sachant que cela est fait amicalement et non pas les armes, se qui n’arrangerait surement pas les choses, ni de les facilité non plus. Il recommença à poser sa question avec le nouveau mot aprit et par la même occasion il montra sa langue en même temps que le mot prononcer avec de savoir s’il peut se faire comprendre pas des gestes, se qui se trouve être beaucoup plus facile entre eux.

Vous savez ou je peux trouver un livre pour apprendre votre langue ?

Bien entendu le fait qu’il se moque un instant de son nom sur une ressemblance fortuite et d’un hasard des plus contraignent. Il n’avait plus qu’à espérer qu’ils ne le prennent pas trop mal. Il lui sera difficile de lui explique la raison dans ses conditions. Ne paraissant pas totalement gêner, qu’il pouvait bien comprendre que se ne soit qu’un gamin après tout. Néanmoins tout semblait allez pour le mieux. Son premier allait peut être l’aider et se fut le cas bien qu’il cherchait le mot qu’il fallait pour trouver se qu’il cherche pour apprendre leur langue. Livre. Le fait est que maintenant il faut trouver un libre lui permettant de savoir comment il communique entre eux par la parole de leur langue aussi étrange que cela puisse lui paraitre Bien que cela soit le cas dans les deux sens pour les trois êtres présent ici sans compter Toribrioé qui gardait le silence encore et toujours. Par contre quelque chose n’allait pas. Celui qui tendit le livre, était prêt à lui prêter mais l’autre lui criait presque dessus en lui, disant des phrases que Duscisio ne comprenait pas, surement à cause du livre en question.

Voila qu’ils se disputaient maintenant. Se qui n’arrange pas les choses mais en pensant à une chose importante, se trouvant derrière lui. Le vaisseau est toujours là, quelques trous par ci par là, mais il était toujours là. Autant l’utiliser comme habitat temporaire le temps qu’il apprendre quelques trucs sur cette planète dont il ne connait toujours pas le nom. Il se retourna et alla encore une fois dans le vaisseau pendant que ses deux là se chamaillait, pour en ressortir et allez sur le toit du vaisseau pour y poser quelque chose, il y alla en un seul saut. Quoi de plus étonnant quand on est en grande partie magicien, il l’activa et une sorte d’écran apparu brièvement pour ne plus apparaitre du tout. Toute personne mise à part Duscisio et Toribrioé ne pourront entrer à l’intérieur maintenant, mais la machine volante reste visible, cela va attirer des regards mais peu importe. Il redescendit. Voyant qu’il continuait à se chamailler encore et encore pour un petit livre, Toribrioé prit la parole d’une voix assez basse afin que seul Duscisio ne l’entende.

Je pense que l’on devrait chercher une bibliothèque ou quelque chose dans le même genre dans les environs. Se sera plus facile.

Hm tu as raison…

Il répondit à son bracelet en levant le bras droit et en le regardant et finalement le baisser. Il leva la main mais ne s’arrêtant pas de se crier dessus, il préféra commencer à marcher dans une direction au hasard afin de quitter la forêt en premièrement puis trouver un lieu remplit de livre pour y apprendre leur langue. Il disparu finalement entre les arbres et buissons alors qu’il faisait nuit noir, une petite lumière se baladant entre la végétation pour y voir un peu plus clair.