Len DF mit sa main sur sa tête, comme pour se gratter un peu les cheveux. Son autre bras toujours tendu, il garda son autre main sur sa tête. Il ferma les yeux et souria. Son visage prit momentanément une teinte rougeâtre, comme de la gène. Sa lui arrivait donc à lui aussi ? Malgré tant d'années... Mais bon, vu la situation on lui pardonne pour une fois. Donc, avec son teint de tomate, Len DF rouvrit les yeux et les baissa légèrement, ne pouvant pas regarder sa " femme " pendant les dix secondes à venir.

- Oui, je suis allé voir mon père pour obtenir sa bénédiction. Je veux faire ma vie désormais, passer du temps ... avec mes enfants. Ces mêmes enfants que j'ai eu avec toi, la femme que j'ai aimé un jour et avec qui je veux passer le restant de mes jours. Oui Médusa-chan.

Len DF, prit d'une soudaine montée de courage, releva la tête et regarda son amour... de gorgone ( Désolé xD ! J'ai pas pu m'en empêcher ! ). A cette instant, il sentit qu'il fallait aller jusqu'au bout. Rien ne doit l'arrêter, c'était bien plus important qu'un combat. Mais c'est de Len dont on parle, donc malgré tout son courage et son envie de parler clairement jusqu'à la fin, il fallait que sa gène le fasse rougir encore plus. Juste maintenant. Il sentait le stresse le gagner, sa gorge était sèche et ses lèvres collées, l'empêchant de dire un mot de plus... Et puis quoi encore ?! Ce n'était pas cette putain de gène qui allait paralysé Len Tao, qui plus est le Len Tao du futur ! Il secoua sa tête brèvement et sans se préoccuper de son teint encore un peu rouge, il releva la tête et gagna sa confiance.
Cette minute dura une éternité pour ce jeune amoureux, mais il était gonflé à bloc et près à aller jusqu'au bout sans reculer d'un moindre centimètre. Même si il se pouvait que ce soit perdu d'avance...

- Je m'excuse de t'avoir menti, j'ai longtemps réfléchi avant de le faire. Mais il fallait que j'accomplisse cette tâche, seul... Je ne voulais pas que tu sâches que je retournais chez mon père... je voulais savoir si je pouvais accomplir quelque chose pour toi, sans l'aide de personne... Je m'en excuse. Médusa-chan, c'est avec toi que je veux passer le restant de mes jours. C'est avec toi que je veux vivre paisiblement et éduquer Lanny et Kiri. C'est encore avec toi que je veux déjeuner et dîner, et avec toi que je veux m'endormir !
Ce coffret... contient des an-ann....anneaux... Je tenais à te faire une demande en mariage. Je te demande en mariage, Médusa-chan... Le veux...-tu ?

la voilà la phrase conne qui devait casser l'ambiance ! Len DF tenait donc le coffre à bout de bras. Il le rapprocha de lui et l'ouvrit. A l'intérieur, deux anneaux luisaient dans une belle couleur bleu, semblant limpide comme l'eau. Impossible de décrire ce bleu, vu qu'il semblait les regrouper et les faire passer dans l'ordre. Chaque bleu luisait à tour de rôle sur les anneaux... Len les montra donc à Médusa.

- J'ai pensé... Qu'ils iraient bien avec tes yeux...

Se détendre, ceci était dit pour se détendre... len DF voulait détendre l'atmosphère s'étant installé, mais c'était inutile... A quoi lui serviraient ses putain anneaux si Médusa refusait sa demande en mariage ? Ce qui paraissait assez probable vu les mauvais coups de son " mari "...

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Du côté des adolescents vraiment déplorables, je parle bien sûr de ceux incapable d'aligner deux syllabes sans se transformer en tomate humaine... Aïe ! Bon ok, je recommence.
Donc du côté de Chibi-Len, les choses n'allaient pas si mal, si je puis me permettre. Il était là, abasourdi mais intérieur heureux, à regarder Médusa DP le remercier avec un grand sourire qui faillit faire éclater son coeur... Coeur ?! Le coeur ne servait donc pas qu'au combat ? Les sentiments n'étaient pas enregistrés dans le cerveau ? Normalement c'était son cerveau qui devait souffrir, pas son coeur... ( LEN : Tu crois vraiment que je me pose ce gnre de question ? == Accouche !! ) Mais pour le CHibi-Len, c'était des raisonnements inutiles. Car question connaissances sur les relations, il était le premier à répondre absent. Il s'embarassa pas de ces questions sans réponses, inexplicables, il n'y pensa pas.

- Ah, demo... Arigâto Médusa-chan. Cette robe te va très bien, elle fait ressortir la couleur de tes yeux.

Et il lui souria. CHibi-Len réussit son compliment, que l'on peut considérer comme une traduction du premier, qui n'était pas très compréhensible. Mais pourquoi Médusa-chan lui paraissait soudain si belle, si dénué de protection qu'il sentait au fond de lui qu'il devait la protéger et la serrer dans ses bras, dont les main étaient tant tâchées de sang... Non il ne devait pas, il ne le pouvait pas temps qu'il serait pas en mesure de la protéger de tout dangers.

- Ano... Tu veux boire quelque chose ?

Il décida de passer une partie de la soirée avec elle, juste pour discuter entre " amis ". Pourtant... Chibi-Len crût entendre que son cerveau lui disait d'éviter d'aller plus loin, en tout cas cette nuit là ( A cause du maudit frérot xD !! ).

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Et du côté du démon angéloque, connu aussi sous le nom de Lan Hopper ? Ben tout aller bien. Un Nikuman d'un côté et une choppe d'eau avec une tranche de citron de l'autre, il s'empiffrait littéralement... Non plus précisemment, Lan voulait faire honneur à la délicieuse nourriture de Satsuki-Neechan, avant que quelqu'un ne passe avant lui... Tiens, voilà que Satsuki s'amène par là pour ébouriffer les chveux du ch'tit ange. Lan tourna la tête vers elle. ici, il était vraiment adorable, surtout envers les filles. Pourquoi ? Parce que il ne peut pas les torturer sans une raison bien particulière, et surtout des gens qu'il apprécie autant. Lanny était dôté d'un caractère assez instable, mais une plus grande partie était celle du petit ange gamin Kawaii. Il gardait cette forme assez souvent, comme en cet instant où il sauta au cou de Satsuki.

Satchan-Neechan ! Chaa Va bien ? Je suis content de te voir, Satchan ! Lanny-kun est content de pouvoir manger ta nourriture aussi, c'est toujours aussi bon !

Il descendit de son cou et souria. Il sentit sa soeur s'approcher, sa grande soeurette qu'il aimait tant ( C'est beau l'amour entre un frère et ne soeur T_T * Pleure XD * ) .

- Konnichiwa Kirimoki-nii ! Tu as goûté les Nikumans de Satchan ?

Kiri lui parlait de la nurriture déà préparer tantôt par leur Père... Lan souria encore plus et ria, après avoir terminé son Nikuman bien entendu.

- Ceux de Satchan sont bien mieux, ils sont bons pour le ventre. Mais ceux de Papa sont cool ! Ils font " BOOM " dans le frigo !! Mais je préfère manger ceux de Satchan, parce qu'ils sont co-mes-ti-bles-euh ~nee !

Len DF... aux fourneaux... Nikumans verts avec des pattes... Sa craint un max non ?

Nero Bovino a écrit:

Lorsque Sachiko avait littéralement crié qu'ils allaient être amis pour la vie, Nero-san avait levé sa sucette en l'air, secondant en répétant simplement "Pour la vie!". Abaissant sa sucette pour se la fourer au complet dans la bouche, le jeune Bovino tournait sur lui même en regardant la jeune Takahashi courir en rond autour de lui. Son premier ami à Mahora était une fille, et était un peu moins désagréable que l'adolescente qu'il avait croisé à la ville ... En plus, elle avait son âge. Il venait à peine d'arriver dans cette école, et avait déjà une amie, c'était bien. Une fois qu'il remarqua qu'elle avait arrêté de courir autour de lui, il lâcha sa sucette, qui restait dans sa bouche fermée. La jeune fille avait sauté dans ses bras. Il avait beau avoir tenté de la rattraper, ses efforts étaient vains : Le brocoli à l'affro noir venait de retomber sur le derrière, Sachiko assise sur lui. Bien sûr, il n'avait mal, mais bien qu'il avait une larme perlant au coin de son oeil vert, il ne l'avouait pas : Il allait conquérir le monde! ... Rêves d'enfants, car on voit bien que dans 10 ans, sa conquète du monde n'a pas vraiment avancé, et qu'elle est même abandonnée. Enfin bref ...

- N-N-Nero-san ... Va conquérir le monde ... NYÉHÉHÉHÉ!

Sachiko était présentement assise sur Nero-san. Pauvre petiit. M'enfin, la petite n'était pas du tout embarassé ou autre. Même plutôt amusée. Elle regarda Nero tout en lui souriant. Le petit brocoli faisait trop pitié avec une larme sur le coin de l'oeil. Il fallait avouer que ses deux-là formaient en quelques sortes un duo parfait et se pour longtemps pensait Sachiko. Elle était contente d'avoir enfin un ami de son âge. C'était si rare de trouver des personnes si jeunes à Mahora. M'enfin, c'est un peu normal. Les deux allaient conquérir le moondeee! Pas vraiment, c'était en quelque sorte un délire entre-eux qui faisait bien marrer la petite gamine.

- Nous sommes les meilleurs !

Sachi réfléchit deux secondes avant de dire à voix normal sans crier comme avant:

- Nous devons nous trouver un nom pour notre duo !

Sachiko qui venait tout juste de rencontrer le jeune brocoli était déjà prête à former un duo de toute allure avec Nero-san. Elle se releva pour ne plus l'écraser en quelque sorte lui tendant la main pour l'aider à se relever. Sachiko lui souriat comme à son habitude.

- N'allez, rejoinds-moi et formons un groupe parfait!

- J- ... Je ...

La couleur rosée des joues de MDF n'avait pas augmenté, ses joues étaient restées rosées, mais le rouge n'avait pas augmenté. Elle avait simplement écouté le discourt de Len, en baissant légèrement la tête, embarrassée, surtout lorsqu'il fit mention de ses yeux. Le court regard qu'elle avait apporté à ces deux objets circulaires, léger, fins [...] lui avait amplement suffit : C'était magnifique, au point où elle s'était ENCORE permit de penser qu'elle ne les méritait pas, et que ses yeux ne sont pas si magnifique que Len semble le sous entendre en disant que ces anneaux iraient bien avec ses yeux. Une chose est sûre, cependant, Le discourt du jeune homme l'avait touché. Oui, elle aussi, elle aurait bien aimé passer tant de temps à ses côtés, pour pouvoir même s'endormir avec lui, chose qu'elle ne pouvait faire que très rarement ces derniers temps ... Mais elle ne pouvait pas devenir une femme parfaite ... Elle ne sait même pas cuisiner, elle ne peut pas faire elle-même les repas qui lui seront attribués ... Même à cet âge, elle ne peut pas faire cuire un repas complet et le lui servir ... C'est une chose horriblement honteuse, pour elle, ça compte beaucoup. Exprimer son "amour" au travers de ses plats, ce serait vraiment une bonne chose ... Si seulement elle pouvait l'apprendre, elle pourrait sûrement en faire plus ... Au final, sait-elle vraiment faire quelque chose d'autre que combattre?
Médusa ne s'y connait que de façon passable en mariage, mais si ses souvenirs sont exactes (Ce qui n'est probablement pas le cas), ne devait-elle pas demander à son père avant? Bah, d'abord, pour le faire, faudrait qu'elle retourne dans son époque, retrouve où il peut bien habiter, et surtout, le plus difficile ... Lui demander. Chose complètement impossible quand connait quelques brides de son passé. À très bien y penser ...

« Pour ce petit exemple, je vous transporte en 2002. Médusa a donc dix ans, si vous faites bien le calcul. La pièce dans laquelle nous nous trouvons pour ce bref paragraphe est humide, en céramique ... Dans cette pièce s'élève une légère fumée grisâtre, et de la vapeur translucide. Les tuiles en céramique composant le plancher et les murs sont d'un turquoise pâle, et quelques unes d'entre-elles sont mouillées par les traces de pas menant directement vers une baignoire plutôt grande, pleine, prête à déborder. L'eau se remua légèrement en quelques grosses bulles, puis laissa finalement apparaitre le visage d'une gamine. Ses courts cheveux bleus étaient un peu plus foncés à cause de l'eau dans laquelle ils trempaient, flottant à la surface, légèrement depuis quelques minutes. Les yeux verrons de cette petite trahissent vraiment son identité : Médusa Hopper-Rose, dix ans, en train de prendre son bain ... Et à côté de la baignoire, c'est qui ce grand brun à la tête plus petite que ses épaules?! Une chose est sûre : Il avait une clope au bec, et était plutôt grand. Ce grand bishônen musclé mesurait un mètre quatre-vingt à peu près. Appuyé contre la baignoire, fumant lentement son tabac enroulé, il fixait devant lui, avant de se retourner vers la jeune fille qui avait appuyé ses faibles avant-bras contre la parois de la baignoire. Le petit sourire et la mine naïve présente sur le visage de la gamine était vraiment pas ce qu'on voyait habituellement avec la Médusa actuelle ... Ça faisait changement.

- Hi-ni, Qu'est-ce que tu fais dans la salle de bain?

Évidemment, comme dans le trois quart de mes RP, le dénommé "Hi" n'avait pas eu le temps de répondre. Une aura démoniaque s'était élevé. Non, pour une fois, ça ne venait pas de Médusa! Ça venait bien sûr de l'homme à la queue de cheval qui venait de défoncer la porte de la pièce (Vive la discrétion! Qu'elle famille de fous, sérieux.=_="). Les traits féminins de son visage s'étaient froissés, alors que ses yeux lançaient des éclairs - au sens figuré -. Le grand sourire sadique présent à ce moment était sûrement pas là pour faire joli. Alors qu'il commençait déjà à parler, son bras avait saisit le chandail de l'homme, dont la clope tomba dans une des flaques d'eau présentes par terre.

- Hi-tan, petite merde! Puis-je savoir qu'est-ce que tu fais dans la salle de bain en même temps que mon adorable fille?

- Hahaha, Sera ... C-C'est pas ce que tu penses ... Vraiment ...

Excuses inutiles : Il s'était vu propulsé hors de la salle en même temps que cet homme aux très longs cheveux bruns. Lorsque Médusa ouvrit à nouveau les yeux, il était en sang, par terre, remuant à peine son bras ... Et une pencarte sur laquelle était inscrit "Elle lave ses cheveux en premier!".»

Finalement, demander à Papa Serateed la main de sa fille ... Ce n'est pas une très bonne idée. De toute façon, elle est pas vraiment obligée de lui demander ... D'après la gorgone, son père ne s'y opposera pas ... Pour ce qui est de Kiara, elle l'a perdu de vu depuis un bon moment ... Ou en d'autres mots : Len, Kiri et Lan sont tout ce qui lui reste comme "famille". D'ailleurs, le premier qui ose leur toucher risque d'avoir à faire avec une Médusa vraiment mais vraiment enragée ... Ah, mais ce poste est pas supposé être heureux/triste? Continuons, alors. Une grande inspiration se fit entendre, elle provenait de Médusa DF, qui se tenait debout plutôt près de Len. Lorsqu'elle expira, ce fut un peu plus léger, le rouge de ses joues avait complètement disparut. Un léger et rassurant sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme, ces mêmes lèvres qui, une fois qu'elle avait relevé la tête juste après, vinrent se poser doucement sur celles de son mari, en même temps que sa main droite dans la nuque de Len. Après tout, elle est petite, elle n'y peut rien. À peine une ou deux secondes plus tard, la jeune femme s'était retiré, reculant un peu, en gardant ce même sourire qu'elle avait prit plus tôt. Son sourire était un de ceux qu'elles ne faisait que très rarement. Contrairement à ses sourires habituels, celui ci n'était pas forcé ... Il était bel et bien réel. Elle avait réellement envie de paraitre heureuse. Pour une fois, elle ne cachait pas ses sentiments derrière des faux : Il est évident qu'elle aime Len, comme elle le répète si souvent ...

- Tu me prends pour qui?:3

Cette phrase ... Elle n'était pas vraiment encourageante, non? Mais vu ce qu'elle avait fait récemment, et vu ce sourire qu'elle ne faisait que très rarement, cette phrase n'était pas à prendre de façon négative. Le ton qu'elle avait prit n'était point agressif, ni violent, ni même impassible ... Il était ... Amusé. Mais le silence qu'elle laissa planer à ce moment était assez long pour que le moment devienne horriblement stressant. Ce silence fut finalement rompu, par B.B.-chan elle-même. Ce silence était simplement son moment de réflexion ... Elle ne voulait pas répondre quelque chose de trop ordinaire, mais apparemment, elle a opté pour la façon la plus simple de répondre : La façon habituelle, traditionnelle, habituelle, clichée ... Mais pourtant si simple ... Le genre de phrase qui fait chaud au coeur lorsqu'on aime vraiment celle qui la dit. C'est sur que ça doit être enrageant, voir triste pour les vrais amoureux, d'apprendre qu'une femme veut pas les marier et qu'ils ont fait tout ça pour rien ... Heureusement, La réponse de Médusa est positive.

- Je ne sais pas quoi répondre ... Mais je crois que, Oui, je le veux.

Son regard se baladait un peu partout. Passant par Len vers le ciel ... puis vers le balcon où les amoureux se trouvaient. Son sourire s'élargit. Cet endroit lui rappelait tant de souvenirs, et à bien y penser, il y avait une quelconque ironie dans ce genre de scène. Une demande en mariage à l'école où elle travaille, cette même école où elle a fait ses études à partir de l'âge de 13 ans ... Ça fait un peu drôle ... C'est aussi l'endroit exacte où elle a avoué ses sentiments à son petit Lenny-kun, au début de l'année 2008 ... Non, c'était exactement à minuit, Commençant la nouvelle année 2008. On s'en fout, mais pas elle. On lui a souvent répété (Père-poule l'oblige) qu'elle ne devait accepter de laisser son corps ... d'épouser qu'un homme qu'elle aime vraiment, et apparemment, ça a assez duré pour qu'on ne puisse pas vraiment douter de leurs sentiments l'un envers l'autre. Bon, okay, ils sont peut-être encore un peu coincé, mais on ne change pas tant que ça en quelques années ... Faut un peu s'y attendre, de toute façon. Et puis, Médusa n'est majeure que depuis deux ans, ce genre de demande la gêne un peu, et c'est bien normal, mais c'est Len qui lui a demandé, elle ne pouvait qu'accepter ... En plus, il lui est impossible de nier que ça lui fait vraiment plaisir. Elle va ... Se marier ... Avec celui qu'elle aime?

- Tes compliments me font plaisir, je n'en mérite pas tant ..., Médusa avait baissé la tête. Je peux même pas faire une bonne femme. Par contre, ça ...

Bon, okay, une chose est sûre : Elle est naïve pour avoir crut les paroles de Len, paroles dont elle n'a aucune preuve, à part ces magnifiques anneaux ...
Mais si on lui demande pourquoi elle lui a pardonné, elle va répondre que c'est parce que ce qu'il a dit était trop mignon ... Et que de toute façon, si il continue ses coups pervers et ridicule, elle peut toujours le frapper ... Puis finalement, prier pour qu'il redevienne normal. Ah, oui, revenons à ses paroles. "Par contre, ça ... ", Médusa avait commencé une phrase, dont la fin se fit rapidement savoir. Sa main venait de partir s'écraser contre la joue de Len. Oui, elle l'avait gifflé. Sa claque n'avait pas été très forte, par rapport à ce qu'elle sait faire ... C'était évident qu'elle s'était retenue pour pas vraiment blesser Len ...

- ... C'est pour m'avoir laissé avec ce pervers ... Je mérite pas de compliments, mais je veux pas que tu me laisse avec un tel mec ... Ça fait mal une fois que je l'apprend ... , termina-t-elle, sur un ton plutôt triste, il faut le dire ... Oui, Médusa est la seule femme capable d'embrasser et de giffler un mec en l'espace de 5 minutes.XD ... Mais je te pardonne ... Si tu me fais un câlin.<3, termina-t-elle, avec un ton des plus adorables.

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... Un long silence plana. Médusa ne savait pas vraiment quoi dire. Len paraissait si galant aujourd'hui, si ... bah, galant. C'était drôle à voir, mais en même temps, ça l'attirait. Ça donnait un côté élégant, en plus de ce côté froid et mignon qu'elle adorait déjà tant. Il lui avait proposé à boire ... Mais qu'est-ce qu'elle aimait boire, au juste? Elle n'en savait rien ... Elle n'allait cependant pas refuser cela, vu l'effort que le jeune garçon semblait faire pour ne pas rougir, et vu l'effort qu'il faisait pour lui adresser la parole tout simplement. Bien sûr, n'oublions pas ce compliment qui avait presque fait rougir la gorgone, bien qu'elle n'osait pas y répondre. Autour d'elle, elle ne voyait personne qui pourrait se permettre un commentaire désobligeant (Éliminons Kusari dont elle se fout complètement, et Kiara qui attend toujours la réponse du mec-chat.=="), donc pourquoi pas passer un peu de temps pour ... discuter? Bien sûr, Médusa n'avait aucune arrière-pensée ... Bien que ça ne lui déplairait pas d'aller un peu plus loin que le stade ami, elle n'osait pas l'avouer, et ... ne voulait pas qu'on se fasse des idées à son sujet.

- Je ... Oui, si ça ne t'ennuies pas ... Du punch ... Non-alcoolisé.

Pourquoi se sentait-elle obligée de sourire? C'était insensé! Mais elle ne pouvait pas s'en empêcher. Son regard était posé sur Len, mais finalement, elle le détourna. Pour se changer l'idée, elle regardait un peu les autres gens présents ... Elle avait rapidement remarqué ce duo de gosses, non pas Sachiko et Nero, mais bien Lan et Kiri. Ces derniers, Nikuman aux mains, semblaient parler de cette même nourriture. La plus vieille des deux prit une bouchée de son petit pain à la viande, levant la tête au ciel en mâchant, puis avala, avant de reposer son regard sur son frère.

- Je n'y avais pas goûté avant, C'est vrai que c'est beaucoup plus comestible.

Sur le visage de la petite, un sourire se dessina, puis elle rigola à la "blague" à propos des nikumans verts explosant dans le frigo ... Un peu dégueulasse à nettoyer après ... Mais c'est vrai que c'est marrant sur le coups.

Atios entra après avoir longuement hésité, encore une fois, il n'avait ni cavalière, ni petite amie, ni fille à qui demander une danse, bref, génée d'être venu, en uniforme avec une cape (il à des goûts anti-conformiste celui-là), il regardait les gens. Il en connaissait beaucoup, mais peu d'entre eux avait un souvenir tangible de lui. Son mp3 sur les oreilles il se posa, seul, remarquablement silencieux et seul contre un des murs. Danser tout seul n'était pas son truc, danser tout court non plus, alors il se demandait bien pourquoi il était venu. Atios était pas mal, mignon, et certaines filles passaient devant lui, hésitante à lui demander une danse. Atios était connu pour ne s'être jamais épris d'une fille au point de sortir avec elle. Niveau relation en couple, c'était zéro ! Le plus vide des zéros, mais comme le fou, le zéro représentait rien, mais aussi des possibilitées infini. Atios avait un mauvais préssentiment Et il avait sur lui, le Sceal breaker, l'arme anti sceau qu'il avait crée. Cette arme pouvait briser n'importe quelle sceau éxistant : Le coût était plus cher, plus le sceau était puissant. Cela se ressentait sur la mentalité de la personne. La fênetre du plafond démontraient la lumière d'une pleine lune sur Atios. Il la regarda, souriant.

Kusari continua de regarder la petite Kiri puis son regard s eposa sur un garcon habillé d'uniforme avec une cape. dans ses pensé il dit.

*Hé bien y en a qui ont peur de rien*

Kusari continuait de regarder autour de lui cherchant des connaissance à lui mais personne d'amical le connaissait aussi restait-il à ne rien faire, à part boire le ponch alcoolisé, sans pour au tant devenir saoul son métabolisme l'en n'empêchait.

Taiki venez d'être déposer au collège Mahora. Il avait eu pour simple consigne de trouver quelqu'un et de lui demander à s'inscrire. Seulement, il n'avait pas la moindre idée d'où trouver quelqu'un d'important. Tendant l'oreille, il entendit un brouhaha qui semblait être de la musique venant de ce qui ressemblait à une salle de bal. Pour en être certain il y entra.

Il vit tout de suite que c'était sans doute une fête, mais pourquoi, il n'en avait pas la moindre idée. Se faisant tout petit et discret il avançât jusqu'a ce qui ressemblait à un buffet. Etant nouveau, il était normal pour lui de ne pas trop se faire remarquer et de trouver quelqu'un d'important comme un professeur ou un délégué de classe. Mais un peu trop timide pour faire cela dès son arrivé, il prit place sur une chaise a coté du buffet et gouta a quelque pâtisserie.

Juste une passagère comme ça. Rien de plus qu'une passagère. C'était devenue une façon de se consoler et une excuse pour ne pas rester longtemps. Pourtant Katsumi l'emprunta aussi et se dirigea a l'intérieur de la place.

* J'ai pas envie d'y aller...*

*Moi non plus mais c'est pour voir a quoi ressemble un entourage...*

L'ennuie ne devait pas tarder a s'installer mais pour ne pas l'obliger a s'incruster plus, la jeune fille ce dirigea vers Taiki puisque lui aussi semblait rien faire. Katsumi prit une chaise et s'assoie a côté sans prononcer le moindre mots. La jeune fille était immobile devant toute ses pâtisseries. L'adolescente en prit une ou deux mais jamais deux sans trois et regarda son voisin de chaise.

"Chalut..."

Besoin de parler ou de dire n'importe quoi avec la bouche plein de gâteau. Elle les avala et continua a parler cette fois, normalement.

"Ton nom ?"

Sans demander si il allait, comme Katsumi ne voulait pas rester longtemps, Elle commença juste a dire ses premiers mots. Spirale était sous sa veste a regarder la nourriture.

Taiki qui jusque là manger les pâtisseries une à une pour savoir leur gout et a quel point se gout exciter ses papilles vit une fille traversant la salle pour se diriger directement au buffet.

*Tien? De la compagnie? De toute façon, j'en est marre de manger, et puis je commence à ne plus différencier les gouts.*

La fille habiller tout en noir prit place sur une chaise a coté de Taiki. Elle s'emblait l'ignorer. Elle manga une puis deux pâtisseries et pour finir en goba une troisième avant de parler a Taiki. Celui ci surpris que la première personne du collège lui parler aussi directement répondu timidement.

" Heu ... M-Moi c'est Taiki et toi? "

Du côté de "Kii-Nii", comme disait si bien Médusa lorsqu'elle venait à peine d'apparaître, il s'était arrêté un instant devant une des fenêtres. Il ne regardait pas les amoureux qui s'étaient placés sur le balcon mais bien son propre reflet. Il grimaça un moment, foutu teinture, ça lui apprendra à vouloir tromper les gens à l'entrée de l'école ... Il n'était pas assez fier de cette couleur bleutée, sachant qu'il préfère le roux ... Oui, ces deux jumeaux sont zarb, ça doit leur coûter cher de teinture quand même ... Bref, après avoir grimacé devant cette vitre, il lâcha son propre reflet du regard, regard qui croisa ensuite les deux n'adultes qui s'étaient isolés dehors. Encore une fois, Il tira la langue, avant de se détourner vers la salle de bal. Des gens qui dansaient, des gens qui parlaient, des gens qui s'empiffraient ... La petite Médusa qui parlait précédemment avec un garçon ... Un petit sourire se dessina sur son visage. Il était loin de penser qu'il avait tout faux en croyant qu'elle prévoyait lui foutre un râteau ... Tout ça pour dire qu'il a un peu trop confiance en cette jeune fille et ses conneries.

Kiara s'approcha donc finalement du buffet avec la même coupe dans laquelle il buvait plus tôt, et la remplit de punch ... alcoolisé. S'éloignant du buffet, il en but une gorgée.

La jeune fille se retourna vers la sale et regarda le monde qui y avait... C'était beaucoup. Beaucoup beaucoup trop... Elle répondis comme même en se retournant vers le jeune homme.

"J'm'apelle... Katsumi."

Elle ne présenta pas sa peluche ici et Spirale ne se faisait pas nom plus trop remarquer. Trop de monde n'était pas très bon pour la santé.

"Tu fais quoi ici ?"

Il avait l'aire timide mais ça la dérangeait pas et parla comme même librement puisqu'elle ne savait pas trop comment parler au autre...

Ainsi Taiki avait rencontré, pour première connaissance du collège, cette fille dont le nom était Katsumi. Elle semblait bien mystérieuse, peu bavarde, un peu sordide. Mais sa ne gênerai surement pas le gros naïf qu'est Taiki.

" Oh cool de te connaitre Katsumi!"

Maintenant qu'il c'était présenter l'un à l'autre, Taiki semblait être moins renfermer sur lui même. Espérons qu'il ne s'ouvre pas déjà complètement à elle. Se serait bête que le petit mangeur d'âme se face de suite reconnaitre et qu'il s'expose au danger que le père de Kira le retrouve... Après tout les efforts de ses parents.

" Ce que je fait ici? Je viens de la région du Shinkansen. Je ne sais pas trop pourquoi mes parents m'on mit ici mais ma mère m'a dit que le papa shinigami de Kira voulait me tuer alors ça doit être pour ça ..."

L'imbécile, son esprit naïf et irréfléchi avait reprit le dessus et il venait tout juste de donner la véritable raison de sa venue a Mahora a une parfaite étrangère. Qui plus est sans doute une non magicienne?

Atios se faisait bien chier : Il fallait l'avoué. Après tout, lui, était contre un mur, comme un gland depuis une demi-heure, alors qu'un enfoiré avait osé le matter avec un air de dire "t'as pas honte de porter une cape ?" Rien à foutre, au moins lui avais de la présence, se consola t'il venant tant de discrétion optique de la part de Kusari, qu'il ne connaissait pas, et de plus, il n'avait pas trop envie de le connaitre, vu ses regards osé et facile à lire de loin. C'était un sacré bordel; Une fille en robe blanche était rentrée, ainsi qu'une autre, un garçon, et encore un autre. L'un d'entre eux le troubla, à se matter à la fênetre avec un air de frustré. Il mattait ses cheveux... bizarre. Détournant le regard, il regarda stupéfait Taiki, ce jeune inconnu qui semblait d'être arriver, déjà en très bonne compagnie. Il laissa échaper, pour lui-même :

- Eh bah y en à qui perdent pas de temps ô_ô.

Décidement, le mec maniaque -à la limite narcissique, vu de loin-, l'intéressait bien plus que l'autre. Atios, légèrement un peu confus regarda le jeune homme, de loin, tirer la langue vers l'extérieur. Son sourire sadique, flippant, était devenu drôle à voir. Encore un conard de plus à Mahora ; Eh merde. Ca faisait beaucoup de crime à Mahora ; On retrouver génèralement certain élève en morceau, et bien entendu, les parents, était peu content de retrouver leurs enfant à l'hopital, dont l'autopsie -de ce qu'il restait...- était souvent formel : C'était du cannibalisme. Et bien entendu, les autoritées, avait souvent des plaintes contre l'école. Ce sujet alarmant, il le savait, avait au moins deux cause. Médusa Hopper, et Iris Backer. Pour Iris, il pourrait réussir à l'empêcher de faire se genre de chose, mais pour Médusa... c'est une toute autre et très mauvaise histoire. Médusa, en résumé, était une fille qui se foutait de tout, des humains, des règles, des gens, - à la limite de ses amis-, au vocabulaire peu courtois, aux manière très indélicate, et une réputation entachée par le sang et le cannibalisme. Pour Atios, qui n'avait rien contre le fait qu'elle ai un caractère de merde, il savait pertinament que pour lui faire rentrer dans le crâne que l'école pourrait fermer pour cause de crime, meurtre et autre plainte : CA SERAIT LE NIGHTMARE TOTAL!! Atios, qui tenait à ce moment là, regardait le ciel avec un air à la limite sur le bord de la crise de nerf, et son verre vola en éclat dans ses mains. Il tourna la tête de gauche à droite, de sorte à se resaisir. En plus, Médusa était "Ou-sama", ou plutôt Mahora no Urado, ca sonnait mieux pour une cannibale fan de maccabée soit disant gardienne de Mahora. Soit elle jouait un double jeu, soit elle était idiote, parce que elle devait protéger Mahora et ses élèves, pas les bouffer, à moins que ce n'était pas des gardiens. Cette histoire, il le craignait, allez encore le foutre dans le bordel, et il s'en voulait presque de seuleument penser à agir pour empêcher les massacres à Mahora. Totalement désintéresser du mec -il en parier sa main au feu- narcissique, qu'il avait d'ailleurs perdu de vue, et dont il ne soupconnait pas l'identité : S'il savait, le pauvre, il ferait tout pour l'éviter, mais non, comme un con innocent,t il s'avance, marche de toute sa prestance, sa cape frottant le sol avec grâce, prenant un verre de ponch non-alcoolisée, avant de le recracher, en voyant nez-à-nez celui qu'il avait épier sans vergogne. Comme dirait l'ancien : Eh merde.

- What the hell ...

Dodge ... Dodge ... Avec un peu de chance, Kiara avait réussis à éviter la plus grande partie du punch en se penchant sur la droite. Une fois qu'Atios semblait avoir terminé son "cirque", Kiara saisit une serviette en papier qu'il était déposée sur la table pour essuyer son visage, la mine plus ou moins ennuyée. Disons qu'il n'avait pas trop comprit ce qu'il s'était passé, déjà qu'il n'avait jamais vu ce garçon, et qu'il ne comprennait pas pourquoi il faisait ça. C'est vrai quoi, il sort de nul part, se prend un verre de punch et le recrache, à quoi ça a bien pu l'avancer de faire ça? Balançant la serviette dans une poubelle près de là, le regard de Kiara se retourna vers Atios. Pour ce qui est de la coupe que tenait précédemment Kiara, il avait eu le temps de la déposer sur la table, mais il s'en était fallut de peu ... Parce qu'elle chavirait maintenant, menaçant de tomber. Kiara plaça sa main pour l'arrêter, et la releva de manière à ce qu'elle tienne bien droite.(Ouh, le truc mal rédigé.ô_o)

- Je savais que cette école était étrange ... Mais je doute que c'était une quelconque salutation ...

Soupirant légèrement, le garçon leva ses yeux verrons au ciel, remarquant par la même occasion la pleine lune, avant de reposer son regard sur la salle de bal.

Bah voila, la confiance règne enfin. Taiki arrivait enfin à parler normalement. Pourquoi ce plaindre ? Déjà cinq minutes que Katsumi était entrée et la peluche bougea déjà pour partir. Mais c'était dommage de partir sans dire au revoir aux début de conversation. Mais comme elle ne savait pas quoi ajouté.

"Tu voudrais pas partir d'ici avec moi Taiki ? Je vais rien faire d'autre et j'ai besoin d'avoir quelqu'un pour écouter mes conneries."

Après son accord évident, Tous sortir... *Je ne faisait que passer...*

- Désolé. avait-il dit Atios en prenant un air naturel tant qu'il le pouvait. En effet pendant que le jeune homme aux cheveux roux devant lui avait tenter une esquive et qu'il s'essuiyait, Atios avait la figure quelqu'un ayant vu le diable, c'est à dire totalement suprise et stupéfaite. Cette mine changea aussitôt qu'il songea à ce qu'il adviendrait de lui. En effet, ce qui était devant lui n'était pas... humain. Non. Alors qu'Atios activait ses yeux un court instant, toutes les formes humaine autour de lui prirent une couleur rouge. Atios distinguait les auras, les formes de vie, et même les ressemblances. Atios failli de nouveau cracher sur Kiara. Aussi improbable cela fut-il, il y à avait des "ressemblances" entre Médusa et lui. Depuis le temps qu'il était là, jamais il n'avait entendu de rumeur au sujet d'un frère chez Médusa. Atios desactiva sa vue magique et ses yeux reprirent une couleur normal. Plus loin, un élève ayant vu les changements, se carressa le front, se demandant s'il n'avait pas fumer.

- Hum, effectitmvent, je suis désolé de cet incident. Et hum, puisqu'on en est là, salut à toi. Atios. Atios A. et toi ?

- Je m'apelle Kiara ... Kiara V. Rose.

Le mec se tenant devant Kiara était décidément très étrange ... Ce qui explique pourquoi Kiara n'avait pas donné beaucoup d'information sur lui. Ce nom ... Rose ... Pas très courant chez un humain ... Ni chez une toute autre créature, cependant, ils étaient au moins 5 à posséder ce nom, mais jamais Médusa, elle, ne l'avait prononcé. Pour elle, ça sonnait trop comme la couleur, Rose, En Français, couleur qu'elle hait particulièrement, mais allez savoir pourquoi elle a, de temps en temps, les cheveux roses ... Cette fille n'a jamais été très bien dans sa tête. Bref, Récupérant sa coupe de punch qu'il avait laissé sur la table du buffet, Kiara en but une gorgée, alors que son regard peu stable quitta encore son interlocuteur, pour aller se loger sur les différentes personnes présentes en ce bal. Certains s'en allaient déjà, wow ... Étrange.

Atios sentait déjà que le fameux Kiara V. Rose le trouvait étrange. Nan mais, vu oh combien il était loquace, il en était quasiment persuader. Qu'à cela ne tienne, Atios avait failli de nouveau cracher un verre de ponch au son du "rose". Rose, c'est rose. Et pour Atios, voyant défilé un Kiara, puis un V, et enfin un Kiara au cheveux rose, il était diffilice de se retenir de rire, ce qu'il parvint à faire, gardant son ponch dans sa bouche. Qui d'ailleurs était dégeulasse. Il se demandait donc pourquoi il continuait d'en boire. Ca lui éviterai de tremper ce fameux Kiara V. Rose. D'ailleurs, ce coup-si il s'ettouffa en voyant Médusa avec des cheveux rose. Mais merde, elle était complétement atteinte cette folle ?! Dans le dos de Kiara, il manquait de frapper par terre à genou, et dès qu'il se retournait vers lui, il reprenait difficilement une tête normal. Ca dura plusieurs seconde avant que ca passe. Kiara mattait sans vergogne -lui aussi- le futur couple déjà formé sur à peine une page de rp .... euh je m'égare. Bref, Atios profita pour dire :

- Nan, mais t'sais, il va pas l 'amener direct dans son pieu. Y manquerait plus que ca! Remarque, t'avais Médusa qui avait un gosse y à vacheeeeeeeement longtemps. Je me souvien qu'il s'était fait empaler sur une poutre. avait-il dit, sur un ton innocent, ne pensant plus à la ressemblance entre le fameux Kiara V. Rose et Little Bakemono-chan.

hj: et c'est là que c'est Kiara qui crache son ponch avant de menacer Atios avec une fourchette à toast... MDR *sors.*

- Ça m'étonnerait même pas si il le ferait ...

Par contre, voilà la révélation choque lorsque Kiara entendu la dernière phrase. Le garçon avait placé sa main devant sa bouche, sentait qu'il allait recracher son punch. Eh bien, il ne le fit pas, il avait réussis à se retenir de le faire, avalant sa gorgée, avant de se frotter le front avec le dessus de sa main. Il avait aussi levé un sourcil, fixant le garçon qui lui avait dit cette ... connerie.

- D'après ce qu'on m'a dit, cette "Médusa" est bien la petite là-bas pas plus haute qu'une table?

En prononçant cette phrase, Kiara avait désigné Médusa. Bien sur, sa remarque à propos de la table n'était qu'une éxagération ... Elle a quand même quelques centimètres de plus qu'une table (Vous savez, cet objet monté sur 4 pattes, ayant généralement une surface plate sur laquelle on place des objets en tout genre, dont les bols de punch du bal ?), même si elle n'était pas si grande que ça ... Inutile de dire que Kiara paraissait plus ou moins choqué, bien que n'importe qui le serait en entendant ça ...

- ... Elle a l'air un peu jeune.

- Hum, techniquement, jeune p't'être, mais elle à au moins trois gosse. La poutrée, Lan et Kiri. M'enfin Lan et Kiri sont pas née dans l'présent. Là, le mec là-bas, c'est Ren Tao, son futur maris dans le futur. dit-il en pointant Len, qui était avec Médusa. N'empêche, tu la connais ? En tout cas, je souhaite qu'elle se perde dans sa chambre avec Len~~ (hj: ca c'est salop de ma part xd) Len est mon meilleur pote après tout, j'lui souhaite tout le bonheur du monde. M'enfin, ils sont mignon à être timide, mais faut qui passe à la vitesse supérieur, un jour où l'autre! soupira Atios, les bras croisées tout en fixant Len. Profitant que Kiara était choqué, et en train de mater le couple, Atios lanca un petit sort pour amplifier la passion de Len envers Médusa. Cette petite farce, il ne savait pas si elle allait marcher, après tout, il était scellé. Mais si Len ne faisait pas attention, ca allait être drôle! Sacré farceur, tu va passer pour un conard, comme d'hab se dit-il.

- Ouai, c'est bien cette Médusa.

hj: Je laisse Len décider si le sort fonctionne ou pas xD

HS: Faitent comme si j'étais plus là s'il vous plait.

Pour Len, les lèvres de sa femme lui parurent bizarrement plus douces que d'habitude. " Sans doute parce qu'il avait avoué son mensonge... " pensa-t-il tout d'abord. Le baiser qu'elle venait de lui accorder augmenta sa tension cardiaque. Qu'allait-elle répondre ? Avait-il fait une connerie en faisant une demande en mariage comme ça ?! ... Son coeur battait fort sous sa poitrine, son bras tremblait comme une feuille et sa main lui parut soudain lourde tout en étant vide. Qu'allait-il se passer si Médusa refusait sa demande en mariage ? Cela parut tellement normal pour Len qu'elle refuse, après tout le mal qu'il lui avait fait en la laissant ainsi avec Dark-Lenny. Len trouvait même étrange qu'il n'est pas reçu la main de Médusa dans son visage, tout en restant étrangement positif. Il pouvait tout aussi bien recevoir Ragnarok dans le ventre... Rien de plus normal n'est-ce pas ? ='D

- Tu me prends pour qui?:3

Sa y est, le moment tant attendu. Il se prépara mentalement à paraître détendu et impassible lorsqu'elle lui balancera sa demande en mariage au visage, de même que son poing ou autre chose du même genre. Prêt mentalement, retirant tout énergie de son visage pour ressentir le poid de son erreur, il attendit passivement sa sentence...

- Je ne sais pas quoi répondre ... Mais je crois que, Oui, je le veux.

" Bip... Bip ?! " Réaction étrange, son bizarre atteignant ses oreilles... traduction de cette phrase et retraduction pour bien la comprendre... O_o Len eut envie de se frotter les yeux pour être sûr de ne pas être en face d'une illusion. Mais il dut reconnaître qu'il se trouvait belle et bien dans la réalité, et que ce qu'il avait entendu était tout ce qu'il y a de plus réel. " Elle avait dit oui. " pensa-t-il de nouveau. Faisant outre de toutes ses prévisions, de toute sa préparation... Elle avait répondu "Oui.". Sur ce même endroit où Médusa avait déclaré sa flamme pour le nouvel an, l'an 2008. Sur ce même endroit, à une époque différente de la leur, elle avait accepté de devenir sa femme, à lui le mari ayant fait preuve d'une certaine infidélité. COmment devait-il réagir maintenant, alors que son esprit était persuadé qu'elle allait refusé ?! Len souria puis fixa Médusa. C'était bien trop facile comme ça. Ses idées allaient être remises en place très rapidement... Cette prévision fut exacte. La main de Médusa fusa et s'écrasa sur sa joue. La tête de Len partit sur le côté d'un coup sec, mais doux en même temps. Sa joue se teintait d'une très légère couleur rouge vif. Len compris que Médusa s'était retenue de donner une véritable gifle. Seul son coeur était blessé, et pas à cause de la baffe. Il était blessé car il avait dû mentir à sa femme pendant tout ce temps, pendant cette dernière année. Cette baffe n'était qu'un maigre soulagement pour Len. La douleur semblait le rassurer un peu, pour une raison inconnu de nous, jeunes narrateurs normaux... Faudrait lui demander s'il est pas masochiste certaines fois. >3 Mais bref, Len regarda Médusa et la prit dans ses bras. Sa joue rouge collée contre les doux cheveux bleus de sa femme, il ferma les yeux.

- Je te présente toute mes excuses Médusa... Je n'aurais pas dû... Demo... Pardonne moi... s'il te plaît Médusa... s'il te plaît.

Il serra un peu plus fort au moment de la dernière phrase. Sa voix était sincère et remplie de regrets. Il disait la vérité, il regrettait amèrement son comportement, mais ne parvenez à expliquer pourquoi il était si important, tout comme il ne comprenait pas comment il avait pu lui faire ça...

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Passons désormais au petit ange armé de son pic de cheveux bleus et de son sourire angélique plus dangereux encore que toute arme magique. Hopper Lan, ignorant tout des affaires de ses parents, tenait paisiblement un Nikuman à la main. La pauvre chose n'eut aucune chance face à l'appétit gluton du gamin affamé. Il fut englouti, sans avoir pu découvrir le monde...~

- Mhm... Oishii desu~ !

Lan appréciait à sa juste valeur le buffet préparé par Satsuki. Sa lui donner envie d'aller la chercher et de lui sauter dessus pour lui faire un é-nor-me câlin, vu qu'elle remplissait son estomac avec de bonnes choses. Mais pourquoi ne pas le faire ? Il ne trouva rien à redire à cette idée fantastique. Il attrapa des Nikumans pour le trajet ( XD !! ) et Se mit à courir, en laissant tombé un Nikuman sans le remarquer.

- Où es-tu ? Satchan-oneesama...

Il se mit donc à sa recherche, fourrant un Nikuman dans sa bouche... pour le plaisir. >3

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Chibi-Len, c'est à dire le Len de cette époque, servit donc un verre de punch à Médusa. Il lui tendit le verre tout en gardant un petit sourire. La soirée ne serait pas si ennuyeuse que ça tout compte fait... Lui était heureux de pouvoir passer quelques instants avec Médusa Hopper, la Médusa que lui connaissait et appréciait tant... Il profita du moment où il se tourna pour se servir de l'eau fraiche pour se poser quelques questions sur leur relation : Quel était son nom ? Etait-ce de l'amour ? De l'amitié ? De plus, Len devait avouer qu'il ne connaissait quasiment rien de Médusa. Il ne savait rien sur ses activités, excepté sa passion pour la lecture. Nous pouvons nous poser une certaine question à ce moment du récit : Qu'adviendrait-il de ses sentiments s'il voyait la véritable personnalité de Médusa en action ? Sa personnalité qui la faisait tuer et faire souffrir, par simple plaisir quelques fois ? Sachez que si Len devait être en face d'un évenement comme celui-ci, je ne sais pas ce qui pourrait se passer. Mais ne nous embrouillons pas, ce bal est une occasion de faire progresser ce couple de coincés ! Et ceci pourra être possible grâce à mon cher ami Atios ! ( Mwahahaha je ne t'oublie ! XD ) Ce bon plaisantin eut l'idée de lancer un sort sur Chibi-Len, une sorte de coup de pouce divin. Alots que Len buvait tranquillement son verre d'eau, il sentit monter en lui brusque coup de chaleur. Le front brûlant, il se posa des questions sur ce phénomène étrange. " Sans doute le stress d'être en face d'elle..." se dit-il, avant de boire une autre gorgée d'eau fraiche. La sensation était toujours présente, et lui paraissait étrange. Il se sentait tout bizarre. Son corps se détendait lentement et son rythme respiratoire et cardiaque se calmaient. Alors qu'il était au bord de la crise de nerf depuis qu'il était proche de Médusa, il se sentait beaucoup plus à l'aise depuis un instant. Il passa sa main sur son front, toujours chaud bouillant.

- I-Il... Il fait chaud ici.

La sensation était toujours présente, toujours aussi étrange... Que se passait-il donc ? Et surtout, qu'allait-il se passer ?!!

Un aura se fit sentir, Il venait d'entrer dans la salle. Lorsqu'elle avait sentit cet aura, Médusa avait serré les dents. Son regard s'était tourné vers la lune. Pleine lune. On pu voir, en l'espace d'une seconde, que sa pupille prit la forme d'une fente, et que son iris de l'oeil droit s'était teint de rouge sang. Un rouge meurtrier. Rapidement en elle montait une envie de meurtre qu'elle n'avait pas eu depuis de nombreuses années, et qu'elle avait recommencé à avoir cette année, de plus, elle l'avait autant dans le futur que dans le "passé", à chaque pleines lunes. Elle secoua légèrement la tête, comme si elle voulait se retenir, et ça avait marché ... Son oeil avait reprit sa couleur et sa forme habituelle. Un beau bleu indescriptible. " Tes yeux sont bleus comme le ciel", lui avait si souvent répété son père, mais il n'avait pas toujours raison, et Médusa, autant du présent que du Futur, le sait très bien. Cette présence qui avait déclenché cette réaction qu'elle essayait de retenir depuis au moins une demi-heure était maintenant partie. La jeune femme s'était retenue pour ne pas pousser un soupire de soulagement, qui aurait fait horriblement étrange dans le genre de conversation qu'elle avait actuellement avec son mari, mari qui venait juste, à ce moment précis, de la prendre dans ses bras. Elle sentit le rouge lui monter aux joues, et sentit aussi un petit sourire qui se dessinait de force sur son visage, elle ne savait même pas pourquoi.

Au moment où Len DF l'avait prit dans ses bras, la Médusa de la même époque avait laissé tomber ses bras, les yeux grand ouverts. La Terre appelle Médusa, pourquoi ne répondez-vous pas? Biip ... Biiiiip ... Biiip ... Aucune réponse. Même si elle lui avait elle-même demandé de lui faire un câlin, son cerveau semblait s'être arrêté de fonctionner. Elle ne bougeait même pas, comme si, sur le coups, elle avait fait un arrêt cardiaque. Malgré cette longue pause dans son comportement, elle entendait toujours Len lui demander de l'excuser. Il la suppliait même avec un "s'il te plaît" répétitif. En prononçant la dernière phrase, il avait serré Médusa un peu plus fort dans ses bras. Cette dernière ne pu s'empêcher d'esquisser un sourire. Ses bras se débloquèrent à ce moment même, pour se passer autour du corps, ou plus précisément, autour de son torse. Sa main gauche était placée au niveau de son cou environ, alors que l'autre était placée plus bas. Sa tête s'était déposé contre son torse, sachant qu'elle est trop petite pour atteindre son épaule, alors qu'elle entendait toujours ses "S'il te plaît" résonner dans sa tête. C'était dans sa tête, elle le savait, mais elle savait qu'il les avait vraiment prononcé ... Et ça la rendait mal à l'aise. Il n'avait vraiment pas à la supplier, et c'est ce qu'elle ne comprenait pas : Elle ne mérite pas ça.:/

Son regard fixait le vide, pourtant, elle continuait de sourire. Son coeur battait beaucoup plus rapidement que plus tôt. Même à cet âge, Médusa n'arrivait pas à comprendre cette réaction. Ça lui faisait mal, pourtant, elle avait une grande envie de sourire ... Mais aussi de pleurer. À ses yeux, être heureux et avoir envie de pleurer est une réaction étrange et incompréhensible. Quelqu'un d'heureux sourit. Quelqu'un de triste pleure. Quelqu'un de neutre reste impassible, un point c'est tout. On ne peut pas être heureux et pleurer en même temps. Elle commençait déjà à beaucoup plus embrouillé que d'habitude, déjà qu'elle avait de la difficulté à voir sans lunettes, lunettes qu'elle ne portait que très rarement d'ailleurs. Elle n'est pas triste ... Au contraire, elle a juste envie de pouvoir rester encore plus longtemps dans les bras de Len, bien qu'elle sait très bien qu'elle ne pourra pas rester là éternellement.

- ... Je crois que ... J'ai envie de pleurer ... Je comprend pas., chuchota-t-elle simplement, comme si elle se parlait à elle-même.

À peine le temps de prononcer cette phrase qu'une larme s'était déjà mise à couler le long de sa joue. Elle la laissa continuer sa course le long de son visage, puis s'en détacher. Elle fixa cette petite goute, qui après une fraction de seconde, heurta le sol en formant le même genre de motif qu'une goûte de sang tombée d'un couteau ... Drôle d'exemple, mais dois-je vous rappeler que ça fait partit du métier de Médusa DF?! Ne prenez pas cela pour une sorte de psychopathie. Loin de Médusa sont ce genre de pensées depuis longtemps, elles ont été remplacées par de tout autres hobbies, par exemple ... Eumh ... Ça vous regarde pas.

La jeune femme vit quelques autres de ses larmes tomber par terre, et même si elle essayait de comprendre pourquoi, elle ne trouvait aucune réponse. Elle était heureuse, mais elle pleurait. Une de ses mains fut portées à son visage, et essuya ses deux yeux uns après les autres, même si les larmes n'arrêtaient pas de couler. Ce n'était pas les mêmes larmes que quelqu'un d'horriblement attristé, c'était plutôt léger, parce qu'après tout, c'est Médusa ... C'est rare qu'elle pleure ... Surtout que, vous l'aurez remarqué, la narratrice ne sait même pas comment décrire ce genre de situation. Un petit sourire se dessina sur son visage, un sourire triste, mais en même temps, penseur. Ça existe, ce genre de sourire? J'en sais carrément rien, donc nous allons passer à la raison de ce sourire : Len. En fait, il ne l'avait sûrement pas fait sourire volontairement, elle sourit tout simplement parce que ses propres paroles lui donnent envie de le faire. Les paroles ... Qu'elle comptait prononcer.

- Si je te pardonne pas, j'ai peur que tu me déteste ... Et je crois pas que je le supporterais. De toute façon, maintenant, tu es là ... Nee ?, prononça simplement Médusa DF à voix basse, en resserrant sa prise, par pur réflexe. Tu m'excuseras pour la gifle que je t'ai donné, j'espère ...

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Ah, tiens, Len était revenu avec un verre de punch pour Médusa. Cette dernière se contenta de hocher la tete, sans doute pour le remercier sans avoir à se taper un rouge tomate sur ses propres joues et une politesse si peu habituelle. Plus tard, le petit (ou grand ... ) Len s'était mit à agir un peu plus bizarrement. Il disait avoir chaud. Médusa leva un sourcil, en le dévisageant légèrement, puis haussa les épaules. Ce garçon était drôlement étrange. Il fait pas CHAUD, il fait même plutôt frais à cause de la brise nocturne qui commençait à s'installer et à entrer par les fenêtres, et par la climatisation qui venait d'être coupée très récemment.

- Pas plus que ça ... Il fait frais, même ... T'es sûr que t'as pas trop bu?, lança-t-elle, avec un ton plutôt impassible, mais pas hostile du tout, ni même sarcastique. Elle semblait même vraiment croire qu'il avait trop bu, même si côté alcool, elle ne s'y connait que dalle. Elle ne sait même pas ce que ça fait d'être saoule, sachant que les rares moments où elle l'a été, elle n'en a plus souvenirs ... Ou elle a préféré les oublier? Peu importe, il est évident qu'elle préfère ne pas y repenser, sachant que ces moments gênants sont beaucoup trop honteux à avouer pour *la narratrice joue le jeu* une jeune fille aussi classe, importante et supérieure qu'elle.

Médusa prit une gorgée du verre de punch que lui avait amené ce cher Len. Contraîrement à celui de Kiara qu'elle avait automatiquement recraché, elle avait avalé sa gorgée. Il n'y avait pas d'alcool dedans, c'était tant mieux, elle n'aurait pas à passer pour une idiote en recrachant à cause d'une petite erreur dans le genre ... Mwé, elle, c'est pas les effets secondaires qu'elle n'aime pas, c'est le goût qui l'insupporte. Elle n'arrive pas à comprendre les adultes, qui eux, en boivent toujours.

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Et voilà qu'Atios était partis ... Kiara avait à peine eu le temps de tourner le regard que son interlocuteur avait disparut, comme si il était repartit se fondre à la foule que Kiara n'appréciait pas du tout, foule qui l'empêchait même de voir la scène et les nombreux systèmes de son présents dans la grande salle de bal. En l'espace d'une seconde, il avait repensé à ce que ce brun louche lui avait dit. Trois gosses ? What The fuck? Il était pas bien lui, c'était impossible qu'une jeune fille de son âge puisse avoir un enfant, déjà que son corps est que très peu développé (Pas difficile à deviner si on regarde sa taille, donc aucun sous-entendu.='D). Enfin, il avait aussi ajouté que deux des gosses venaient du futur. What The Fuck, Again? Et encore, ça, il le croyait, mais il disait ça super facilement, ça pouvait même paraître choquant. Si jamais il était encore là, peut-être qu'il se serait même prit le verre de punch de Kiara en pleine face, juste parce qu'il a osé intervenir dans la relations de deux personnes ... C'était amusant ... En temps normal, mais ce temps là n'était pas normal.

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Kiri, de son côté, regardait son frère s'éloigner avec un nikuman. Il était étrange, il changeait souvent de caractère et d'activité, mais malgré ça, elle l'aimait quand même. Sa main se plongea dans le buffet pour en sortir un nikuman, alors qu'elle fixait toujours son frère, qui semblait chercher Satsuki. Lorsqu'il fut assez loin, elle se laissa tomber par terre, aux pieds du buffet. Elle avait ramené ses jambes contre elle, et avait mit son nounours sor ses genous, qui étaient maintenant presque collés contre sa poitrine inexistante. Elle approcha son nikuman de sa bouche, puis en prit une petite bouchée, qu'elle prit le temps de mâcher avant d'avaler, puis d'en prendre une autre. Elle suivit la même procédure que pour le premier nikuman, alors que son regard était maintenant rivé sur les quelques personnes qui dansaient. D'ailleurs, elle ne voyait pas ses parents ... Étrange ... Que pouvaient-ils être en train de faire?

[HJ - ENFIN TERMINÉ! ='D J'arrête ici, même moi je me trouve ennuyante.O_ô - /HJ]