23h50 ... La porte menant aux toits vient de s'ouvrir, laissant voir une petite créature sortir. Oui, petite est vraiment le mot approprié. Du haut de son mètre 38, elle semblait faible et facilement brisable ... Une petite fille aux longs cheveux bleutés. Sa tenue se résumait à l'uniforme de l'école porté à sa façon. Jupe carrotée et longs bas assortis, une veste noire portée par dessus la chemise blanche froissée, et des ceintures à piques. Elle n'avait rien mit de spécial, pour un jour qui ne l'était pas non plus. On est quel jour, aujourd'hui? Le 25 Juillet, et alors? Oui, le 25 Juillet à 23h53. On est bientôt le 26 Juillet. Aujourd'hui, aucun meurtre. Aucun jeu sadique. La jeune Hopper s'était tenue plutôt tranquille. Elle était allée en cours, avait fait ses devoirs, avait passé sa soirée à l'île Bibliothèque, et maintenant, elle était ici, devant la porte du toit, ressentant la brise fraîche balayer légère ses fins et longs cheveux. Elle fit un pas, puis un autre, puis un autre ... Elle s'était assise sur le dessus du toit, posant son livre à côté d'elle, et mettant une main dessus. Ça faisait maintenant 5 minutes qu'elle était là. 6 ... 7 ... 8 ... Médusa venait de lever les yeux vers le ciel ... 9 minutes ...

0h ... Les cloches d'une église provenant de la ville s'étaient mise à sonner. Du haut de son perchoir, la gorgone sourit. Ça faisait deux ans. Deux ans aujourd'hui qu'elle côtoyait des humains, deux ans qu'elle habitait dans cette école. Il s'en est passé beaucoup des choses. Elle a rencontré des gens comme Iris ou Satsuki, qui ont un peu changé ses habitudes et ses goûts ... Elle est tombée amoureuse ... Oui, maintenant, Médusa arrivait à se l'avouer à elle-même, elle est bel et bien amoureuse, c'est un des mauvais côtés de son séjour ici. Les bons? Ben, sa rencontre avec Iris, sûrement ... La bonne nourriture qu'elle peut y retrouver, les nombreux combats sanglants à regarder font que cette école est plutôt spéciale et agréable à vivre. Pendant ces deux années, elle avait été triste comme déprimée, mais que très rarement heureuse ... Peut-être quand elle lit? Mmh ... C'est vrai que les livres de magie de l'île bibliothèque lui permettent de se libèrer, de changer de monde, mais est-ce que c'est ça qui va la rendre heureuse? Sûrement pas. La plupart des moments que Médusa a vécu à Mahora étaient des moments de solitude, enfermée dans un endroit vide, avec personne ... Lorsqu'il y avait des gens, lorsqu'elle sortait de son coin sombre et de sa chambre, c'était sa vraie personnalité qui faisait surface. Une fille froide et sadique, envoyant chier les petits Homo Sapiens trop curieux ou emmerdant. Une fille très hostile, très vulgaire, ne suivant aucunement ce que lui disent les autres ... Une fille surtout très manipulatrice et solitaire. Cependant, elle adorait lire, et peut au moins se permettre de parler avec les rats de bibliothèques. Les livres, elle les dévore aussi rapidement qu'elle dévore un cafard. Elle le lit avec plaisir du moment que c'est pas un roman à l'eau de rose ...

J'suis pas tellement du style à suivre les influences
Je suis du genre hostile, alors ferme là, vas-y ferme ta gueule.

Actuellement, elle regardait les étoiles, l'air nostalgique. Il en avait tant, sûrement plus que le nombre de minutes passées dans cette école. Cette école, au début, elle ne l'aimait pas, mais elle finit par s'y habituer. Après tout, c'est là qu'elle a passé une partie des bons moments de sa vie, hors des moments passés chez la famille Rose, famille composée de quatre garçons et d'elle-même. Ça fait quand même beaucoup. Mais sachant ça, on se demande pas pourquoi Médusa est si masculine, nee? La petite main tendue vers le ciel, la jeune fille semblait essayer de toucher une étoile, tout en restant loin. Mais bien des gens savent que c'est sûrement pas ça qu'elle essaie de faire. Elle essaie simplement de passer le temps. Allait-elle finir par prendre son livre et lire tellement elle s'ennuie?

HJ: Message posté avec 7 minutes d'avance, j'attend pas vraiment quelqu'un ... Juste un poste comme ça.^^

HJ comme un poste ne peut rester seul bien longtemps... voila^^ HJ

Sur un toit en contre bas de celui de Médusa se trouvait une terrasse sur la quel des tables et des chaises était disposée, sur l'une d'elles Kusari lisait un livre à côté de lui était empilé une deux piles de livre de auteur différente.
Il lisait avec les livres avec une incroyable soif d'apprendre, lisant et retenant chaque information, pouvant allez d'une simple réaction chimique, à la histoire du monde en passant par des romans de tout types et les ouvrages de magie. S'il y avait une choses, que le semi-démon aimait faire c'était de lire, on pouvait lire dans ces yeux cette rare étincelle briller de plein feu, preuve d'une détermination sans faille.

Arrivé à la fin de son livre sur lequel il était il le referma et le lança sur la pile la plus éloignée, penchant la tête vers l'arrière il regarda la nuit étoilée, le spectacle était magnifique c'est alors que Kusari se mit à parler, mais c'est mots n'avait pas de cible ou plutôt elle était dédié aux étoiles.

Sommes-nous comme ses étoiles qui brille là haut dans la voute céleste, essayons-nous, comme elle, de briller plus que les autres dans une course effrainée, qui n'aurat pour seule conclusion que la mort?
Je ne le pense pas c'est surement c'est petit moment de brillance qui nous permettent d'aller plus loin de reppousser toujours nos limite...

Une voix que Médusa connaissait plus ou moins venait de se faire entendre en ce silence nocturne planant sur l'école Mahora. Sa tête se baissa, alors qu'elle s'appuyait sur le toit, pour regarder en bas. Pour une fois, les paroles de ce démon avaient plus ou moins atteint le cerveau de Médusa. Pour une fois, quelqu'un avait réussit à la faire parler de façon peu hostile, ce qui est plutôt rare, puisque Médusa renie la plupart des gens qu'elle croise, et en particulier Kusari, Nogi et Keiko.

Repousser ses limites ... Elle entendait ça souvent. Dans le passé, elle regardait de temps en temps les gens s'entrainer, pour repousser leurs limites. Elle trouvait ça ridicule, mais eux semblaient trouver cela important. Le plus grand exemple qui lui venait à l'esprit était Len. Médusa n'arrivait même plus à compter sur ses doigts le nombre de fois qu'il avait tout donné pour s'entrainer et qu'au final, il ne pouvait presque plus bouger, ni le nombre de fois où il s'est évanouit pendant un entraînement trop dur pour lui ... Mais maintenant, il doit avoir progressé, nee?^^

- Et repousser ses limites ne fera que nous rapprocher de la mort.

Ouais, c'est la façon dont Médusa le voit ... Repousser les limites jusqu'à se blesser, repousser les limites jusqu'à ce qu'un accident arrive ... Un accident arrive rapidement, et la mort aussi. Couper l'artère carotide en tombant sur un objet un peu trop pointu peut facilement tuer quelqu'un de très malchanceux.

Kusari tourna légérement la tête vers Médusa, bien que cela fut inutile il avait reconnu la voix de Médusa, Kusari retourna alors la tête et pris s'adressa à Médusa.

C'est surement vrai Médusa, néanmoins ne crois-tu pas que parfois c'est de jouer avec la mort qui nous donne l'envie de vivre et de voir jusqu'où l'on peu aller. As-tu déjà ressentit ce sentiment, cette montée d'adrénaline, à chaque fois que défie la mort elle-même?

Kusari prit deux tasses de thé et les remplit tendant l'une d'entre elle à Médusa, tout en buvant le sien.

Sentir une poussée d'adrénaline lorsqu'elle affronte la mort? Disons qu'elle est déjà morte deux fois ... Une troisième fois, ça devient chiant. Mais affronter la mort, qui un jour en aura marre de voir les gens se foutent de sa gueule, c'est plutôt marrant. Peut-être qu'un jour, "La Mort" en aura marre et décidera de tuer toutes créatures de ce monde, y comprit les créatures immortelles tel les bactéries, l'Hydre ou certains types de méduses comme la Turritopsis nutricula

- Je suppose qu'une fois de temps en temps, ça peut être bien ... Mais un jour, "La Mort" va finir par ne plus supporter que les gens passent leur temps à rire "d'elle".

Après cette phrase, la gorgone prit la tasse que lui tendait Kusari, en inclinant légèrement la tête. Aucun sourire, aucune expression. (Et non, comme dirait Cristale, "Aucune expression, aucun intérêt".XD) Elle apporta la tasse à ses lèvres, puis but une gorgée, avant de terminer son ... remerciement?

- Doumo.

Il n'y a pas de quoi.

Kusari reposa sa tasse et fit signe à Médusa de prendre une chaise, Kusari était naturellement sympathique et agréable, lui qui d'ordinaire ne rate jamais l'occasion de formuler une remarque sarcastique ici pas la moindre forme moquerie ne se laissait transparaitre. il reprit alors la parole.

Que me vaut l'honneur de ta visite Médusa-san?

Pour la première fois Kusari avait dit le prénom complet de Médusa et y avait même rajouter le suffixe san, vraiment étrange, Kusari n'était pas le même que d'habitude, comme si une autre personne avait pris sa place ou plutôt comme si on découvrait une des faces cachée de Kusari, une facette de sa personnalité, une personnalité calme, sereine et respectueuse.

Attendant la réponse de Médusa Kusari rebu une gorgée de thé.

Balayant une des mèches de ses cheveux avec sa main libre, Médusa avait tiré une chaise, puis prit place.

- Rien de bien spécial.

Mmh ... So what? Elle n'allait pas refuser une tasse de thé, ce serait ridicule. Apparemment, Kusari était plutôt différent du Kusari qui l'emmerdait si souvent. Mais Médusa aussi l'était. Pendant ce genre de nuit, elle est plutôt calme : Elle préfère rester à rien faire que se faire remarquer, elle ne sait pas non plus si elle est heureuse ou pas, mais qu'importe, hu? Le vrai bonheur n'existe pas, du moins, pas dans le crâne de Médusa. Et le sens de la vie, quel est-il? Encore une question à laquelle elle veut trouver une réponse. Pourtant, peut-on vraiment?

- Les toits sont publiques, je ne faisais que passer le temps en regardant le ciel.

C'est étrange pendant la journée, c'est comme on se devait de s'affronter et la nuit on est presque comme les humains, a parler sans aucune animosité, aucune arrongance.

Kusari bu une autre gorgé et reprépara du thé.

Pour ma part je ne suis qu'un semi-démon, il est donc normal pour moi de réagir comme un humain, mais je n'en ai pas honte. J'en suis même fier, de toute façon à quoi me servirai d'haïr ce que je suis?

- À rien.

À rien? Ah, parce que c'est Médusa qui ose dire que la haine sert à rien? Elle veut peut-être insinuer autre chose, c'est plus réaliste que dire que la haine sert à rien ... Elle qui hait tant de gens, ça fait superficiel de dire que ce sentiment est futile. Enfin, il l'est, mais c'est mieux qu'offrir son amitié sur plateau d'argent.

- Comme bien des gestes et des choix que nous faisons avec le temps, la haine de soi-même est bien inutile. Même si c'est ces mêmes gestes et choix qui construisent une vie et une histoire, La haine de soi-même, elle, ne servira pas à grand chose. À part peut-être à détruire la personne lentement ...

Détruire une personne lentement ... Cette idée, prise automatiquement du mauvais côté par le cerveau de Médusa, fut accompagné d'un petit sourire légèrement sadique lui étant bien habituel de ces temps-ci. Elle but une autre gorgée, il lui restait encore du thé ... Oui, elle le sirote lentement, C'est pas son genre de boire ce genre de truc. Quand elle abaissait sa tasse à nouveau, le sourire sadique avait disparut, pour laisser place à un air impassible, lui aussi, bien courant lorsqu'on côtoie Médusa.

Kusari regardait Médusa être elle-même et se mit à rire puis il lui dit sur un ton sympathique.

HaHaHa... Tu es vraiment quelqu'un d'étrange et incroyable Médusa-san.
Même si toi et moi ne réagissont pas de la même manière que d'habitude, je remarque que plus les choses changent plus elle restent les mêmes.

Kusari repris une tasse de thé et regarda vers le ciel étoilé avec une expression que beaucoup de personne qui l'avaient rencontrer ne connaissaient que trop bien, cette lueur dans ses yeux qui donnent l'impression que rien ne peux l'empêcher d'aller droit devant.

Puis regardant Médusa d'un air décidé et déterminé il lui dit.

Un jour je m'élèverais à ton niveau, aussi haut soit-il, je parviendrai à être ton égale, je t'en fais la promesse, tu peux me faire confiance.

Étrange? D'après les dires de Kusari, Médusa est étrange ... Aux yeux de la gorgone, elle est juste spéciale. Elle a juste une façon de voir les choses différente de celle des autres. Elle voit le monde d'une façon différente de tout les individus peuplant cette terre. Elle ... Croit que vivre est inutile, et encore plus si le but qu'on veut atteindre est trop haut. Le sien ne l'est pas : Elle veut se débarasser de ce truc qui la scelle, et elle veut pouvoir avoir un métier lui permettant de déchiqueter des gens en toute légalité, et le pire, c'est que ça existe, et que c'est bel et bien ce métier qu'elle fait à 23 ans.

Slurp ... Une dernière gorgée, puis la tasse fut posée sur la table, elle était vide. Un de ces habituels soupires se fit entendre, alors qu'elle levait les yeux au ciel, pour les reposer à nouveau sur le semi-démon aux cheveux bruns.

- Y'a plus haut que moi dans cette école.

À qui faisait-elle allusion? À Len, à Atios ... Mais elle était quand même plutôt fière de savoir que, dans 8 ans, elle allait être plus douée. Certes, elle avait les pieds bien dans la merde, vu qu'elle va être en couple à cette époque ... Et ça, c'est dégueulasse. Oui, ça, ça lui enlève toute l'envie de devenir forte. Si elle doit devenir forte et fonder une famille, elle préfère de loin devenir plus puissante d'une autre façon, qu'importe qu'elle soit-elle ... M'enfin, y'a quand même des limites, ça, c'est vrai.

- Mon niveau est peut-être haut, mais je ne suis pas "au top". Mais bon, il faut viser haut, et toujours plus haut ... Nee?

Kusari regarda Médusa dans les yeux et sur un ton calme et serein il lui répondit.

Il faut toujours viser plus, c'est vrai mais il faut apprendre à ne pas viser trop haut trop vite, c'est comme ça qu'on se brule les ailes j'en ai pris concience lors que tu m'as battu lors de notre première rencontre.

Qu'il y en est d'autre plus fort que toi m'importe peu en ce moment, j'ai un objectif que je dois atteindre, mais pour y arriver je dois d'abords te prendre comme objectif Médusa-san.

Kusari inspira profondément et repris.

ça peu sembler stupide mais c'est comme ça que je suis et on ne peut le changer pour le meilleur comme pour le pire.

- Essayer d'atteindre un but trop haut peut être s'avérer trop dûr, donc en viser un moins bas facilite la tâche ...

Médusa se disait ça pour elle-même. Son regard fixe était toujours rivé sur Kusari, mais sachant que Médusa a toujours été une fille pas très bien dans sa tête peut expliquer ce comportement anormal. Mais à Mahora, ce genre d'élèves ne sont plus très rares. Des vampires, des créatures mythologiques, des anges déchus, des démons, des mages ... Et des humains normeaux. Beaucoup d'humains normaux d'ailleurs, mais ces derniers restent généralement tous groupés ensemble, ce qui fait qu'ils ne fréquentent que très peu les gens possédant des pouvoirs magiques ou des dons étranges.

Médusa fixait Kusari et se mit à perler d'une façon qui aurait du être dit seulement dans ses pensées, bien qu'il comprennait que Médusa était quelqu'un de très renfermée, ayant subis beaucoup de choses pour la mettre dans l'état moral où elle est aujourd'hui.

Regardant Médusa un long silence sent suivit resservant une tasse de thé à Médusa. Kusari songea.

*Elle n'est pas la seule à avoir eu une vie difficile, j'ai été idiot de m'en apercevoir seulement maintenant*

Médusa-san je ne crois pas te l'avoir déjà dis mais j'ai vécu des moments difficile, et je me rends compte que toi aussi la vie n'a pas toujours été rose pour toi.

laissant un blanc avant de continuer Kusari repris avec ton protecteur.

Si tu veux bien me raconter, je t'écouterais jusqu'au bout. vois-le comme la demande d'un ami, je me doute bien que ce mot est compliqué pour toi, mais fais leffort de me l'expliquer, Médusa...

- Le passage privé de ma vie ne te regarde pas, par contre, l'autre passage, tu peux toujours le lire.

Médusa soupira puis leva les yeux au ciel. Non, la vie n'avait pas toujours été rose pour elle, mais on ne peut pas dire qu'elle soit la pire vie que quelqu'un puisse avoir. Un enfant battu n'aurait sûrement pas pu passer 4 ans de sa vie avec une famille normale, cependant, la vie de Médusa était pire que celle d'un enfant normal, avec une famille aimante. Au contraire, elle avait connu la mort, et s'était fait v ... Bon, je vais pas vous faire un dessin : Sa vie avant de se faire réincarner à cette époque était horrible, pire que la plus horrible des tortures.

- Tu peux te contenter d'aller voir à l'île bibliothèque, dans les livres anglais, il doit bien avoir un truc sur la mythologie Grecque.

... Médusa, y'a pas tout le monde qui est bilingue en ce monde.=="

Kusari regardait la réaction de Médusa, il se doutait bien qu'elle ne lui dirait rien aussi facilement, mais peut-être avait-elle besoin que quelqu'un s'ouvre à elle avant.

Si tu parle de l'histoire de la gorgone je la connais, qui la connais pas, enfin avec un peu de culture générale.

Kusira inspira longuement et repris.

Veux-tu connaître mon histoire Médusa? cela pourra peut-être te prouver que tu n'as pas à avoir peur de me faire confiance.

- Certes, bien des gens la connaissent, mais des détails ne sont pas affichés partout, comme la raison de son assassinat.

Médusa porta sa tasse de thé maintenant pleine à ses lèvres, puis en but une gorgée avant de la reposer sur son sous verre. C'est à ce moment là que Kusari lui proposait de raconter son histoire. Si elle aurait eu du thé dans la bouche, elle l'aurait recraché sous l'effet de la surprise. Pourquoi lui raconter son histoire? À quoi ça l'avancerait? Pourquoi devrait-elle faire confiance à quelqu'un? C'était impossible de pouvoir croire que Médusa trouve une réponse à ces questions, elle a horreur d'avoir de la compagnie. Mais la question à laquelle personne n'a jamais su répondre ... Médusa est-elle comme ça à cause de son passé, et parce qu'elle s'ouvre à personne, ou est-elle née comem ça?

- Si tu veux la raconter, vas-y, si tu veux pas, je m'en fous.

Hj vive le copier-collé Hj


mon histoire commence d'abord par mon père, étant un puissant démon du nom Dangil. il a, pendant des siècles, protégé le monde des humains de celui des démons, ignorant les siens le traitant de traitre et les humains de monstre. seulement parmis les humains une femme avait réussit à faire une chose que personne n'avait réussit à faire, avant elle, à Dangil. lui infligé une blessure, mais cette blessure était qu'elle avait pris son coeur,au sens figuré hein, elle ne lui arrache pas le coeur. S'étant épris d'elle il ne pouvait pas la laissé seule décidant de repousser tous démons voulant tuer les humains. quelques années plutard ma mère, Kitani Amélia mourut en me donnant naissance. Dangil atristé par la mort de la personne à qui il tenait plus que tout ne se laissa pas abattre et m'éleva seule medonnant une bonne éducation et me chérissant.
Pendant cinq ans,mon père et moi vécûmes heureux, mon père devenant fier de moi, puis une nuit lors de l'anniversaire de mes 5 ans, nous fûmes attaquer pas un groupe de personnes fanatiques et anti-démon, les vengels, ces derniers, attaquant par surprise, tuèrent mon père.
Ne sachant que faire de moi ils m'emmenèrent avec eux, sachant très bien que j'étais le fils de Dangil, m'enfermant dans une tour secrète, où pendant près de trois ans, je fus torturer, m'infligeant des souffrances inimaginables physiques et magiques, puis me laissant reprendre des forces et guérir mes blessures pour ensuite lme retorturer.
cette violence gratuite était seulement due au fait que le jeune semi-démon que je suis était ce qu'il redoutait le plus, des êtres mi-homme, mi-démon. Leur but était de me tuer mais avant ils voulaient tuer tout espoir avant d'en finir avec moi.
Puis le jour de mon huitième aniversaire, l'un des geoliers vint me dire:

- Salut l'erreur de la nature, tu sais quel jour on est, c'est le jour de la fête où on a tué le sale démon qui te servait de père, HAHAHA.

- ...

- Tu ne dis rien pas grave écoute bien ça. Tu savais que ton père voulait que nous ne te tuions pas, il s'était même laisser mourir pour te sauver, on la bien eu cet imbécile, car bientôt on va être lasser de jouer avec toi et tu mouras lentement et douloureusement alors qu'en penses-tu.

- Que je vengerais mon père

- Quoi!!?

j'arrachas les chaînes qui me retenaient, et éveillas son côté démoniaque avec les dires du geoliers massacrant ce dernier sans une once de pitié,je sortis de la tour en ayant bien pris soins de commettre un carnage parmis les geoliers et libérant les captifs. sortant enfin de la tour perdu et seul je pris une direction au hazard et la suivit.
Errant sans but et sans le moindre argent je se nourrissait de tout ce que la nature me donnait. Puis un jours comme si le destin avait choisit de laisser la fatalité me courir après, je fus rattrapé par les vengels, pourtant je tuas facilement ce petit groupe. je restais perplexe, je croyais avoir tué tous les vengels. A force de recherche et d'interrogatoir je finis par comprendre que les vengels était en faite une organisation mondiale dans ce monde et le monde magique traquant les démons.
D'ailleur en réponse à mes agissements , les vengels mirent ma tête à prix, à 4 millions de dollars, je me retrouvas alors traquer par plusieurs personnes.
Bien que cette traque me changeas pour arriver à ce que je devenu aujourd'hui, je commenças à gagner en technique, tactique et stratégie, c'est alors que le destin m'accorda un présent se retrouvant alors sur une montagne il découvrit deux katanas, Khage et Jigokhu rescpectivement noir et rouge. je les retiras facilement de la pierre où ils étaient figé et commença à le manier devant ainsi plus fort.
par un coup de chance je trouvas le moyen de m'effacer pour que la traque s'arrête, je me fis passer pour mort pendant cinq ans ce qui eut l'effet escompter, débarrassé des vengels et des chasseur de prime je décidas alors, de vivre une vie presque normal, et me rendis au japon en ayant au préalable appris la langue. sur place je trouva un boulot dans une cafétariat et m'inscrit également à l'école de cette cafétariat, Mahora.
Profitant de la connaissance que m'apportait l' îles bibliothèque, je restais longtemps dans les murs de cette dernières, apprenant plus sur moi-même et sur ce que j'étais. rencontrant plusieurs personnes, deux d'entre elle, déclenchèrent une volonté de devenir plus fort et me donnèrent ainsi de nouveaux pouvoirs, la première fut toi Médusa Hopper qui après une intercaltion me démontra ma faiblesse, en me battant à plate couture (topic à la cafèt: un semi-démon comme barman ). la deuxième fut Duscisio Balibe, un esprit, qui en l'affrontant en duel, me permis d'exécuter un ancien rituel liant mes armes moi même.

- ...

Il est quand même évident que Médusa piquait du clou depuis très longtemps. Les yeux mi-clos, elle releva la tête puis les ouvrit, surprise, une fois que Kusari avait terminé, comme si ce texte avait été ce qui avait provoqué cette soudaine chute d'énergie. C'est vrai quoi, habituellement, Médusa déborde d'énergie qui lui permet de ne pas s'endormir quand on lui parle de trucs qui l'ennuient, et actuellement, cette énergie était partie, comme si elle l'avait dépensé en faisant du sport. Elle regarda un instant autour d'elle, alors que son regard impassible finit par croiser celui de Kusari. Elle inclina la tête sur la droite, la mine toujours à moitié endormie, à la Kotomi qui dit "Bon-u-jour" pour les connaisseurs.

- ... Ça fait longtemps que j'ai pas dormit ... Mais j'ai quand même écouté, je peux faire les deux en même temps.

... Est-ce qu'elle dit vraiment la vérité?O_o

Kusari regardait Médusa mais sachant très bien que cette réaction était normal, en reculant sa chaise et se levant il alla près du balcon bien qu'il ne l'avouait pas, Kusari ce sentait blessé par son passé rémué les blessures du passé n'est jamais bon, ces cicatrices se réveillaient et lui pinçait le corps de toute part.

Après quelques secondes de silence sans regarder Médusa de voir dans quel état il était, Kusari lui dit.

Est-ce bien vrai ?

Médusa hochait lentement la tête. Son regard suivit un instant Kusari qui s'était relevé pour prendre un peu l'air, prendre l'air en s'éloignant à quelques mètres de la table pour aller près du bord du balcon.

- Oui, c'est vrai.

Sa tasse fut à nouveau portée à ses lèvres, les de la gorgone étaient toujours mi-clo, cependant. Elle prit silencieusement une nouvelle gorgée, avant de reposer son breverage. Son regard, lui, se reposa sur le ciel étoilé de cette soirée du mois de Juillet ... Et sur la lune par la même occasion, cachée par une légère couche de nuages qui venait juste d'arriver tel la brume d'un matin en Islande ... Sauf que la brume est plus épaisse et plus grisée que ces faibles nuages.

- Je comprend pas ... Je comprend pas pourquoi tu veux connaitre mon histoire.

Il n'y a rien à comprendre Médusa, ça fait partie du jeu.

de quel jeu parlait Kusari, il avait l'air assez compréhensible il n'avait encore pas dis un seul sarcasme et pourtant les occasion ne lui aurait pas manquer Kusari était vraiment bizarre ce soir, chassant ses souvenirs douloureux, il se retourna et regarda Médusa. reprenant la parole qui si devinait que Médusa se demandait de quel jeu il parlait, en même temps c'était normal, déjà qu'elle ne connaissait pas le terme "chaud lapin" des exclaircissements s'imposaient.

Je parle de jeu car je suis sur que tu approuveras mes dires si je te dis que la vie est une immense comédie dramatique, chacun joue son rôle et pourtant, nous n'en avons pas conscience. Alors pourquoi ne pas nous laisser aller au jeu, Médusa, tu peux peut être gagner quelques chose à me raconter ton histoire , mais ce qui est sur c'est que tu n'as rien à perdre à me la dire.

Hj A l'aide on m'a implanter le cerveau d'un philosophe zélé Hj

Vu ta présence en c'est lieu on peut difficilement douter de l'existence des dieux du moins ceux de la Grèce antique, pourtant existant ou pas ça ne change rien pour moi, je ne plie devant personne et je suis sur que cette règle régit aussi ton comportement, je me trompe?

Kusari 'avait même pas chercher à comprendre les gestes de Médusa pratiquer un peu plutôt, il ne s'en demandait même pas la raison, et ne s'y intéressait pas réelement la seule chose qu'il avait en t^te c'était va-t-elle me faire confiance ou pas.